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Chutes

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Message  Steph Mer 29 Déc 2010 - 0:02

Bonjour à tous,
Je vous présente cette nouvelle, qui devrait être postée en deux parties et dont voici la première.
Elle est issue d'un film vu récemment qui m'a donné envie d'écrire autour (l'Américain), pour ceux l'ayant déjà vu, rien à craindre tout est transposé dans un pays radicalement différents, avec une histoire différente, et une fin encore différente. Un point de départ amusant en gros.

C'est aussi un exercice de variation des styles pour séparer les flashback avec lesquels j'ai beaucoup de mal. D'ailleurs je m'aperçois que j'ai beaucoup de mal a faire des phrases courtes.

C'est aussi le premier texte que je soumet à un public qui m'est étranger.



-

Depuis 2 bonnes heures la voiture progressait, en assaut chaotiques. Au dehors, la nuit avait avalé les vignes avachies, amalgame végétal frisant l’incompétence même si teinté d’espoir, zébrée d’aqueducs béton préfabriquée, rependus en une fuite continue, monotone, une incompétence rendue complice involontaire d’une irrigation efficace. L’état pitoyable de la route dont il ne restait qu’une mince langue d’asphalte bordée de remparts, indiquait que le véhicule se trouvait toujours aux abords de Boulaone. C’étirait un simulacre de village, peuplé de cactus surgissant, déchiquètement méthodique de bloc s d’agglomérés, toile de fond d’une menace latente, d’un site dédie à la survie, où vivre n’avait pas de signification. Il fallait toujours ralentir à ces endroits, le risque de s’y voir arrêté suite à un fortuit accident devenait trop important, trop de véhicules sans feux, trop de silhouettes suicidaires, des émanations dansantes, éthérées.
Cette nuit, le temps était infini, inexistant. La traque devait avoir commencé. Le déroulement morne d’une vie anti-épisodique ordinaire venait de se transformer en fuite, pyrotechnie glaciale d’un mode d’existence qui bascule.
L’aiguille au compteur du vieux Mercedes jaune atteignait difficilement 110 km/h, un vieux taxi complètement pourri, plus blanc crème que jaune quand on le voyait au jour. Un tapis de fourrure synthétique sale du même type que l’étui qui recouvrait le volant recouvrait le tableau de bord, protégeant l’antique plastique puant d’un soleil inamical, au rétroviseur central, pendait un coran inutilisable et illisible retenu par une chaine jaune. Il sorti du vide poche cassé la dernière canette de Redbull et la calla contre son sexe, sous le volant. Tout semblait être organisé à l’intérieur de l’habitacle afin d’encombrer son champ de vision; cette bande bleu-vert terne, collée sur le pare-brise, la djellaba poisseuse balancée sur la plage arrière, les franges crasseuses dépassant des sièges, ainsi que cette boite de mouchoir papier vide posée face à lui. Il n’avait jamais compris pourquoi tant de gens tentait de vendre ces boites comme des guichetiers sur la 4 voies; ce pays où il fait toujours beau. L’engrenage fatigué craqua quand Nika passa la 4eme vitesse.
A la vue de son arme, le chauffeur déjà rendu silencieux par la mine dangereuse de Nika avait stoppé son auto et était descendu, préférant perdre un outil de travail que la vie. Son dernier job requérait une certaine habileté à faire comprendre au gens ce qu’on attendait d’eux, qu’ils le payent, se taisent, ou au contraire, parlent. Cette nouvelle compétence s’imposait comme connexion logique entre un passé fait de violence militaire et son avenir anesthésié dans la chambre froide d’une chasse à l’homme.
-
Six mois plus tôt, il descendait du Jokost, un antique cargo russe vieux de plus de cinquante ans, battant pavillon grec. Une cuite de plus, dans un port de plus, pas la pire déjà prise, non, c’est sur, mais une belle et grosse soirée à flamber sa paye et à boire.
Le Jokost appareilla à Casablanca, chargé de saloprie chinoises bon marché, et resta à quai pendant la nuit. L’équipage d’alcooliques multiculturel dont il faisait parti avait migré en ville pour avaler des bières en société. Tous ceux envoyant de l’argent au pays étaient retournés sur le navire, sauf ceux repartis avec des gazelles tarifées et Nika endormi sur le bar. Quand vint le matin, la sécurité tenta de le foutre dehors, tout avait été très vite. Le grand balaise en costume avec ces manières de catcheur homosexuel fini nez fracturé entre les bouteilles derrière le bar. L’autre semblait moins vieux et moins con. Il avait tenté de reculer pour esquiver le tabouret de bar en inox. L’explosion sourde du bloc d’acier dans sa tête resterait son seul souvenir demain, de même que sa mâchoire fracassée. Nika sorti titubant du bar, vainqueur d’un match de boxe serré. Craquement de phalanges contre son visage, il chute, sonné. Un imposant berbère se tient devant lui bras croisé.
- Tu parlé français enfoiré !? Tu vas pas parter comme ca !
Il bondit, beaucoup trop vite, surprenant de la part d’un ivrogne. Le berbère traversa le portail à l’entrée accompagné du quintal slave en furie. Une volée d’insultes imprégnée d’alcool accompagne le travail du pilon qui enfonça le visage noir et maintenant sans vie. Nika c’était relevé, et se tenait à la grille. Un petit groupe c’était formé autour du matelot, hurlant et vociférant, mais, tous se tenaient à distance. Si la peur était un chiffre elle devait s’exprimer en mètres. Il cherchait un visage. Impossible, dans ce monde flou et compliqué, tout se passait trop vite. Au loin une sirène se rapprochait. Sa main droite était devenue poisseuse et collante, sa chemise puante était maintenant clairsemée de d’étoiles rouges. Crissements. Un gros Range Rover s’arrête. Jantes façon clip de rap U.S., marche pieds chromé, peinture jaune kitch, intérieur de la portière en cuir noir, mais à la place des salopes ondulantes et de la réussite américaine, un énorme arabe à l’intérieur semblait parler, amusé. Il parlait russe.
- MOHTE! Ca fait longtemps que je cherche un gens comme toi.
La foule c’était assagie, les cris c’étaient tus, Nika monta et écoutait le gros type qui lui parlait de sa « nouvelle vie ici ». Pas de rap, et en plus il allait s’endormir sans avoir baisé. Quand il se réveilla, sa nouvelle vie avait commencée. Bien payée, et le job n’étais pas dégueulasse.
Nika était le coursier d’Ahmed, son porte bonheur made in Ukraine, une patte de lapin de 115 kilos, lequel avait la faculté de stabiliser drastiquement tout système à contexte hypercritique tel que des transactions mafieuse ou des payements de dette. Ahmed était un gros narcotrafiquant du Maroc, le premier importateur en Espagne se plaisait il à dire. Ahmed connaissait tout le monde. Ahmed, payait toujours. Ahmed payait tout le monde. Ahmed payait bien. L’argent était son empire, et au Maroc, plus qu’ailleurs, tout s’achète. Surtout la police. Surtout Celia.
-
Giulia est une déesse. Elle était italienne, une créature sculpturale, racées, olympienne, de grands yeux noirs, inquisiteurs, ils avaient un coté un peu effrayant, habitués à déstabiliser les grands et les durs. Une gravure de mode aguicheuse et provocatrice comme une affiche Diesel. Tout en elle invitait au sexe; son port, ses manies de princesse insupportable et sa bouche surtout. C’était la fille attitrée d’Ahmed. Evidement il était marié, à une espagnole mais elle restait planquée sur son ile à Majorque, et aucun ici ne l’avait encore jamais vue. Ahmed toujours accompagné de son « ami russe » fini par les présenter l’un à l’autre. Nika, le slave ténébreux et violent, Giulia, l’éminence grise, le coup de foudre fut instantané, dès l’instant ou Nika eu croisé son regard il était perdu. Il se tenait alors toujours éloignée d’elle, et l’évitait soigneusement. Il avait été jusqu’à apprendre son emploi du temps afin de ne pas risquer de la croiser.
-
Un barrage de la gendarmerie tira l’ukrainien de son coma damné. Un militaires visage épais, large à l’encolure, moustachue taillée hâtivement, casquette chancelante, se pencha en avant et scruta l’intérieur tombeau ante christique. Il puait. Nika ajusta son blouson en cuir. Il en sorti un passeport neuf fournit par Ahmed, une tablette de carton à 25 000 dirhams, suffisamment réaliste pour berner jusqu’aux caissiers de l’immigration aéroportuaire. Le gros finissait le tour du véhicule et revint à la fenêtre. Derrière eux, le deuxième gendarme venait d’arrêter un camion et semblait parler à un sourd.
- Tu sais pourquoi je t’arrête?
Bien sur qu’il savait pourquoi il l’arrêtait. Sans doute parce qu’il avait doublé le camion sur une ligne blanche, et en excès de vitesse. Sans doute parce qu’il voulait son putain de Bakchich. Sans doute aussi parce qu’avec sa tête de russkov il était suspect, voir inquiétant, qu’il conduise un grand taxi, la micro-réalité de l’instant décryptée dans un éclair fugace de prescience autodestructrice.
- Ramsin dirham?
Il restait un espoir de ne pas transformer une formalité fiscale autochtone en charnier moral. Nika rabattit le pare-soleil à la recherche d’une poignée de Dirham. Une photographie bâclée par le service communication du roi se détacha et tomba sur le siège passager. Il la fourra négligemment au milieu du fatras improbable dont était rempli le vide poche, le tout sous l’œil inquisiteur du gendarme. Le grand derrière fit signe au camion de repartir, il avait visiblement ce qu’il voulait. L’autre, commençait à s’impatienter et tapait la tranche du passeport sur l’intérieur de sa paume gantée. Il se pencha un peu plus en avant intrigué par le pli collé fait par sa veste contre son flanc. Nika décida. Le geste de curiosité maladroit transforma la vie en une séquence chiffrée, commentée, circonstanciée, imagée, cliniquement établie, et bientôt oubliée dans le cimetière administratif d’un tribunal. Le pandore venait de voir la marre de sang noirâtre sur le sol du taxi. Il prit le glock, ouvrit la portière violemment. Le pre-mort chancela souffle coupé en arrière, hurla, hoquetant en arabe. Deux balles atteignirent le deuxième flic au ventre avant qu’il n’ait compris, la première se frayant un chemin a travers se entrailles rebondit contre une côte, la seconde était juste l’implacable et médiocre traitement récursif d’un chirurgien chargé d’ôter tout espoir. Son flanc le faisait souffrir maintenant et recommençait à saigner. Le vecteur mortuaire à crosse thermoformable pointait le flic terrorisé. Il peinait vainement à essayer de sortir son revolver du holster, comme pour se donner bonne conscience. Les expressions anxieuses d’un visage servent uniquement à la conscience à se signifier qu’elle en désaccord avec une causalité extérieure, à se décharger moralement des conséquences d’une incapacité d’entrave à l’action, et ce bien souvent dans le cas d’un état argentique du sujet. Un état argentique réel puisque le représentant de l’autorité ici, avait un flingue chargé à la main. Ce flic perdait son temps.
- Hafouan rouilla
Quelques mots dont il n’était pas sur de la prononciation, mais il espérait que le gendarme ai compris. Il lui logea une balle dans le front et ce fut fini. Les flics ici sont trop pourris pour faire leur job sans essayer d’encaisser, mais trop lâches s’ils voulaient remplir leur rôle quand le peu de morale survivant l’impose. Dehors il faisait frais, Sidi Bennour était encore à une dizaine de minute de route défoncée. Après il arriverait sur la nationale ou les contrôle sont plus fréquents, mais nettement moins systématique, surtout si on ne commet aucune faute. Il jeta un œil sur sa grosse Rolex clinquante ; 23h30, il se rassit refrénant un gémissement.
Le magma noir, gluant, exsudait de son flanc, sapant énergie et espoir.
-
Une semaine avant son chaotique voyage, Giulia rejoint Nika sur la terrasse en toiture du Riyad de pacotille. Ahmed était descendu au Sahara occidental dans le but d’y régler quelque affaire, et,s étrangement un convoi de char s’y était rendu quelques jours après. Une révolte semblait il. L’air doux et chaud venait chargé d’embruns ce jour, au loin, les navires se tenaient la main en file droite, attendant comme des gosses disciplinés l’autorisation de rentrer au port, en chapelet scintillant. Ils étaient la tentation perpétuelle de Nika, reprendre la mer, reprendre sa vie qu’il n’aurait jamais du quitter. De temps en temps il repensait à sa vie sur le Kirovograd, navire de débarquement militaire, puis sur le Jokost, regrettant parfois d’avoir fait le choix de vivre loin, de ne pas revoir Kharkov et sa famille.
Giulia posa la bouteille de champagne qu’elle amena sur la margelle tuilée devant eux et vint se coller contre Nika.
- Je mal parlé francais.
- Alors ne dit rien. Contente-toi d’être là.
En un sens Nika comprit ce qu’elle attendait. Depuis peu il s’était acheté une conduite et ne buvait plus, et pour Giulia il fit l’exception.
Quand il se réveilla, il su que c’était perdu. Non, il le savait depuis longtemps. Giulia gisait endormie sous les draps qu’elle avait tirés contre son ventre.

Steph

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Message  Invité Mer 29 Déc 2010 - 13:22

Bon... Lu le début mais laissé tomber pour l'instant. J'y reviendrai peut-être plus tard à tête reposée. Pour le moment, ça me paraît brouillon, écrit très vite, des phrases jetées les unes après les autres et émaillées de fautes d'orthographe que je ne peux pas faire semblant d'ignorer trop longtemps.

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Message  Yali Mer 29 Déc 2010 - 13:29

Je comprends même pas la première phrase…

Yali

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Message  Invité Mer 29 Déc 2010 - 15:40

Difficile, orthographe et autres , comme par exemple le pléonasme famille périssol du début : la nuit, au dehors...
Pas de panique, il faut juste écrire une nouvelle fois le texte, le relire a voix haute, et encore une fois en tant que lecteur lambda.

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Message  Invité Mer 29 Déc 2010 - 15:53

d’un site dédie à la survie, où vivre n’avait pas de signification
Franchement il est impossible de faire une phrase ou la deuxième moitie conclue l'inverse de la première.
faut retravailler le tout.

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Message  grieg Mer 29 Déc 2010 - 16:01

tu forces l'image, et c'est déglinguée qu'elle nous parvient.
dès l'incipit tu nous colles de la personnification approximative, et tellement de mots, dans des phrases si imbriquées, qu'au final on n'a plus l'impression de lire, mais celle de jouer au mikado. Et comme je tremble pas mal...
pourquoi ne pas essayer de nous raconter ton histoire simplement, sans chercher à faire de la littérature ?

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Message  Steph Mer 29 Déc 2010 - 16:43

Ca commence fort. Effectivement, j'avais eu tendance a vouloir diablement compliquer les scènes qui se déroulent "au présent". Mais je vois que ca se paye cher. Je vais tacher de reprendre ce début et le rendre un peu plus digérable.

Quand tu parles de "personnification approximative", tu peux quoter le début du passage? Merci en tout cas pour les retours.

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Message  grieg Mer 29 Déc 2010 - 17:20

Steph a écrit:
Quand tu parles de "personnification approximative", tu peux quoter le début du passage? Merci en tout cas pour les retours.

oui
je te fais ça tout de suite
mais d'abord je dois dire que je me sens un peu con de t'avoir cueilli comme ça pour ton premier texte ici.
j'aurais pu y mettre les formes

grieg

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Message  grieg Mer 29 Déc 2010 - 17:45

Au dehors, la nuit avait avalé les vignes avachies, amalgame végétal frisant l’incompétence même si teinté d’espoir, zébrée d’aqueducs béton préfabriquée, rependus en une fuite continue, monotone, une incompétence rendue complice involontaire d’une irrigation efficace.


en une phrase tu personnifies deux éléments... L'un de façon classique, voir banale "la nuit qui avale", l'autre avec une idée qui me semble incongrue "la vigne incompétente" (je ne parle même pas du "teinté d'espoir" qu'une vélienne bien aimée aurait taxé d'envolée pseudo-lyrique), incongrue non pas tant dans sa signification - on comprends bien l'idée, et même l'atmosphère que tu cherches à rendre ainsi - mais plutôt parce que le terme est mal choisi, "incompétence" décuple la personnification, lui donne finalement plus de force, pour dire peu. Un pétard mouillé. Et puis tous ces mots, qui suivent, la ponctuation, les fautes d'accords qui nous troublent (sont-ce les vignes ou les aqueducs qui sont "répandus")... Autant d'élément qui rendent ton incipit troublant, et sûrement aussi incompréhensible que ma pénible tentative d'explication.

et puis si la nuit a avalé tout ça : on ne peut pas le voir.

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Message  Steph Mer 29 Déc 2010 - 17:54

Ah oui, effectivement. Grand mélange, l'incompétence qualifiait le travail accomplit ici pour amener à ce résultat, et plus vraiment la scène décrite. Mais les deux sont emmêlées. Pfiui, il y a du boulot. Et pour les critiques, toutes aussi dures soient elles, ca ne me gène pas.

Merci !

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Message  Invité Mer 29 Déc 2010 - 17:58

J'ai lu ça un peu trop vite pour pouvoir être vraiment précise, mais dans l'ensemble je trouve qu'il y a à boire, à manger et même à indigester ( néologisme !!)
Mais que c'est rempli d'énergie, qu'il y a des trouvailles intéressantes, que l'histoire a l'air de déménager et que ça vaut le coup que tu passes les dix prochaines années à bosser dessus ( non, je blague !!)
Mais par pitié, AERE ! Et les correcteurs, Word ou autre, peuvent faire le minimum syndical pour sauver ton texte des foudres des fervents d'orthographe ( dont je ne suis pas loin de faire partie)
Tel quel il faut énormément de bonne volonté pour arriver au bout, et on pourrait se dire : pourquoi prendre la peine de le faire pour quelqu'un qui ne prend même pas la peine de se relire !!!
Bienvenue, toutefois .

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Message  grieg Mer 29 Déc 2010 - 18:00

Steph a écrit:Ah oui, effectivement. Grand mélange, l'incompétence qualifiait le travail accomplit ici pour amener à ce résultat, et plus vraiment la scène décrite. Mais les deux sont emmêlées. Pfiui, il y a du boulot. Et pour les critiques, toutes aussi dures soient elles, ca ne me gène pas.

Merci !

mea culpa
j'ai tout lu de travers
mais bon ! faut dire... :-)
là, il faudrait un ou deux avis extérieurs pour dire si je dois me prendre une cure de sommeil d'une semaine, ou si c'était pas tout à fait clair.

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Message  Steph Mar 4 Jan 2011 - 13:20

Non non, on est bien d'accord, ce n'est pas clair du tout.

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