A l'est d'Eden

[FX-]

-A l'est d'Eden-


Chanter l'espoir, crier à la vie au devant d'un horizon tumultueux. Telle est la complainte d'un homme
qui se lamente.

Les pleurs des oiseaux effrayés, les bêtes sauvages grondes , le noir, l'obscur désoeuvrement d'un tonnerre sourd qui
s'effondre sur le vide sans réponse.
Au plus profond de ses yeux cristallins s'éveille une faim inssatiable; sur l'azur en détresse d'une aube orangée
la plus pure expression de son existence jaillie, au confind de son âme émaciée.
Vagabonde miséricorde, égérie d'une ultime bacchanale, le fruit défendu tout juste consommé ne laisse place
qu'à la frayeur de l'inconnu.

"Destin! Grand dieux des avenirs! Oh mon aimé tant désirable, je te veux a mon chevêt! Conte moi la vie je t'en pris,
je t'en supplis, comme une mélopée triste et monotone.
De mon vivant je veux connaître tes secrets! Je ne veux être un homme, je ne peux être un dieu...Oh astre céleste!
la famine qui me tiens est si grande, que je perdrai jusqu'à mon corps pour une seconde d'éternité!"

D'un rouge sanguin est l'âme obscurantiste de celui qui se refuse à chercher. De ce rouge de luxure et
de déperdition satinée, de celui qui tend a s'absoudre de la vérité.

Il fût un temps, une époque, un mythe ... Phantasmagorique et cylindrique, ou luxuriante fût la vie;
Brève et avide de sens, tel une rivière fougeuse et érotique, j'aillissant d'un émois violent,
d'une vigeur inébranlable.

En cette saison, le fruit mur de l'amour se languiçait de veine croisades, meurtrit , avide il se consummait.
Mais ce jour naquit, ou celle, nommée Paix, vint croquer la pomme; en un déluge de cascades et de tendres baisés,
ils s'échapèrent tels les Adam et Eve d'une génération Punk et révolté.

A l'heure d'un Néomantisme rare et passionné, trêves et veines palabres viennent s'échouer aux pieds de l'évolution.


Un cycle s'achève et un homme naît, brève métaphysique et angoissée fût la vie d'un grain de poussière dans l'univers.



>>> Bonsoir à tous, je suis nouveau par ici; je tenais à vous dire que je suis ouvert à toutes formes de critiques n'hésitez pas. Bonne soirée.

[Chako Noir]

Bon bon bon bon bon.. (stop.)
Je n'ai pas tout très bien compris. Je vois de quoi tu parles, m'enfin tout cela sent un peu le brut de décoffrage. On sent que certains mots sont très recherchés (bacchanale, obscurantiste ou phantasmagorique, qui au passage s'écrit avec un f... oui, attention à l'orthographe... des "tendres baisés" écrits comme ça, pour l'effet c'est pas terrible, ça fait "délicats éphèbes ayant subi une copulation" enfin voilà...)
Bref ! Le maniement du lyrisme est chose délicate, le problème dans ce texte est qu'il y a tellement de lyrisme qu'on en perd le sujet, sans voir où tu veux en venir. J'attends de lire un autre texte pour porter un véritable jugement, mais celui-ci est pour moi assez bancal.
Bonne soirée à toi aussi, et bienvenue ! (oui, c'est un commentaire un peu amer pour souhaiter la bienvenue, mais faut pas l'interpréter comme un échec, plutôt une invitation à la progression !)
:-)

[FX-]

Merci pour ton commentaire chako, bien loin de moi de mal le prendre. mon texte est effectivement très décousu, brut, écris en trois fois et peu retouché. Quand a l'orthographe il est et reste ma grande faiblesse =D

[Chako Noir]

À ton service ! C'est déjà la première étape vers la progression que de recevoir positivement un commentaire pas forcément élogieux. Pour l'orthographe, on conseille toujours un ptit tour ici http://bonpatron.com/ quand y a des lacunes. C'est toujours plus agréable pour le lecteur.

[Lifewithwords]

Bienvenue FX-! Tu aurais presques pu le poster en poésie ce texte. Je trouve que celle-ci va en s'amplifiant au fur et à mesure de la lecture. Le sens, lui, aplutôt tendance à faire l'inverse^^.
En fait je rejoins un peu Chako, c'est vrai que trop de lyrisme a tendance à diminuer, sinon le sens, au moins la force du message. Si je crois avoir compris ton texte, il ne m'a pas touchée...

Mais il y a de très bonnes choses, c'est joli, déjà. Peut-être qu'avec les mots recherchés en moins ce serait encore mieux passé finalement.
Bon courage pour la suite !

[Invité]

J'ai fait un premier passage pour aider un peu :

-A l'est d'Éden-

Chanter l'espoir, crier à la vie au devant d'un horizon tumultueux : telle est la complainte d'un homme
qui se lamente.

Les pleurs des oiseaux effrayés, les grondements des bêtes sauvages , le noir, l'obscur désœuvrement d'un tonnerre sourd s'effondrent sur le vide sans réponse.

Au plus profond de ses yeux cristallins s'éveille une faim insatiable, sur l'azur, en détresse, d'une aube orangée
l'expression la plus pure de son existence jailli dans les confins de son âme émaciée.

Vagabonde miséricorde, égérie d'une ultime bacchanale: le fruit défendu tout juste consommé ne laisse place
qu'à la frayeur de l'inconnu.

— Destinée ! Grand Déesse des avenirs ! Ô mon aimée tant désirable, je te veux à mon chevet !
Conte-moi la vie je t'en prie, je t'en supplie, comme une mélopée triste et monotone.
De mon vivant je veux connaître tes secrets ! Je ne veux être un homme, je ne peux être un dieu...
Ô astre céleste, la famine qui me tiens est si grande, que je perdrai jusqu'à mon corps pour une seconde
d'éternité !

D'un rouge sanguin est l'âme obscurantiste de celui qui se refuse à chercher. De ce rouge de luxure et de perdition satinée, de celui qui tend à s'absoudre de la vérité.

Il fût un temps, une époque, un mythe ... fantasmagorique et cylindrique, ou luxuriante fut la vie;
brève et avide de sens, tel une rivière fougueuse et érotique jaillissante d'un émoi violent,
d'une vigueur inébranlable.

En cette saison, le fruit mur de l'amour se languissait de vaines croisades, meurtri , avide, il se consumait.
Mais en ce jour naquit où celle nommée Paix,vint croquer la pomme en un déluge de cascades et de tendres baisers. Ils s'échappèrent tels les Adam et Ève d'une génération Punk et révoltée.

A l'heure d'un Néokantisme rare et passionné, trêves et vaines palabres viennent s'échouer aux pieds de l'évolution.

Un cycle s'achève et un homme naît, brève métaphysique et angoissée fut la vie d'un grain de poussière dans l'univers.

Il reste la concordance des temps à vérifier, et d'autres choses aussi.

[Invité]

-A l'est d'Éden-

Chanter l'espoir, crier à la vie au devant d'un horizon tumultueux: telle est la complainte d'un homme
qui se lamente.

Les pleurs des oiseaux effrayés, les grondements des bêtes sauvages , le noir, l'obscur désœuvrement d'un tonnerre sourd s'effondrent sur un vide sans réponse.

Au plus profond de ses yeux cristallins s'éveille une faim insatiable sur l'azur en détresse d'une aube orangée;
l'expression la plus pure de son existence jailli dans les confins de son âme émaciée.

Vagabonde miséricorde ! égérie d'une ultime bacchanale: le fruit défendu tout juste consommé ne laisse place
qu'à sa frayeur de l'inconnu.

— Destinée ! Grand Déesse des avenirs ! Ô mon aimée tant désirable, je te veux à mon chevet !
Conte-moi la vie je t'en prie, je t'en supplie, comme une mélopée triste et monotone.
De mon vivant je veux connaître tes secrets ! Je ne veux être un homme, je ne peux être un dieu...
Ô astre céleste ! la famine qui me tient est si grande, que je perdrais jusqu'à mon corps pour une seconde
d'éternité !

D'un rouge sanguin est l'âme obscurantiste de celui qui se refuse à chercher. De ce rouge de luxure, de perdition satinée, de celui qui tend à s'absoudre de la vérité.

Il fût un temps, une époque, un mythe ... fantasmagorique et cylindrique, ou luxuriante fut la vie;
brève et avide de sens, tel une rivière fougueuse et érotique jaillissante d'un émoi violent,
d'une vigueur inébranlable.

En cette saison, le fruit mur de l'amour se languissait de vaines croisades, meurtri , pressé : il se consumait.
Mais à cette période naquit celle nommée Paix, qui vint croquer la pomme dans un déluge de tendres baisers.

Ils s'échappèrent tels les Adam et Ève d'une génération Punk et révoltée.

A l'heure d'un Néokantisme rare et passionné, trêves et vaines palabres viennent s'échouer aux pieds de l'évolution.

Un cycle s'achève et un homme naît: brève métaphysique, angoissée est la vie d'un grain de poussière dans l'univers.

[Invité]

-A l'est d'Éden-

Chanter l'espoir, crier à la vie au devant d'un horizon tumultueux: telle est la complainte d'un homme
qui se lamente.

Les pleurs des oiseaux effrayés, les grondements des bêtes sauvages , le noir, l'obscur désœuvrement d'un tonnerre sourd s'effondrent sur un vide sans réponse.

Au plus profond de ses yeux cristallins s'éveille une faim insatiable sur l'azur en détresse d'une aube orangée;
l'expression la plus pure de son existence jailli dans les confins de son âme émaciée.

Vagabonde miséricorde ! égérie d'une ultime bacchanale: le fruit défendu tout juste consommé ne laisse place
qu'à sa frayeur de l'inconnu.

— Destinée ! Grand Déesse des avenirs ! Ô mon aimée tant désirable, je te veux à mon chevet !
Conte-moi la vie je t'en prie, je t'en supplie, comme une mélopée triste et monotone.
De mon vivant je veux connaître tes secrets ! Je ne veux être un homme, je ne peux être un dieu...
Ô astre céleste ! la famine qui me tient est si grande, que je perdrais jusqu'à mon corps pour une seconde
d'éternité !

D'un rouge sanguin est l'âme obscurantiste de celui qui se refuse à chercher. De ce rouge de luxure, de perdition satinée, de celui qui tend à s'absoudre de la vérité.

Il fût un temps, une époque, un mythe ... fantasmagorique et cylindrique, ou luxuriante était la vie;
brève et avide de sens, telle une rivière fougueuse et érotique, jaillissante d'un émoi violent,
d'une vigueur inébranlable.

En cette saison, le fruit mur de l'amour se languissait de vaines croisades, meurtri , pressé : il se consumait.
Mais à cette période naquit celle nommée Paix, qui vint croquer la pomme dans un déluge de tendres baisers.

Ils s'échappèrent, des Adam et Ève d'une génération Punk et révoltée.

A l'heure d'un Néokantisme rare et passionné, trêves et vaines palabres viennent s'échouer aux pieds de l'évolution.

Un cycle s'achève et un homme naît: brève métaphysique.
Angoissée est la vie d'un grain de poussière dans l'univers.

[Invité]

voilà, c'est grosso-modo remis d'aplomb, c'est le moment que tu devrais choisir pour reprendre les rennes de ton texte, qui réflexion faite et correction mineures apportées , s'avère plutôt courageux dans son propos, un tantinet trop, peut-être, car mieux vaut se lancer dans le simple avant de forcer des sujets qui ne tolèrent guère la flexibilité du langage. Il faut être très doué et surtout très précis pour faire se croiser des philosophies balbutiantes, je te recommande un texte en exemple, très simple et pourtant philosophique , "le nom de maître" de Gobu, posté aujourd'hui.

[FX-]

Merci du temps que tu as passé à corriger mon texte Panda, j’apprécie beaucoup le geste. J'ai soigneusement conserver le résultat et tacherai de mis replonger des que l'inspiration remontrera le bout de son nez =)

[Kash Prex]

Un très joli texte, un bon choix des mots et de belles formulations. Je retiens particulièrement ces deux phrases qui m'ont percuté :
"D'un rouge sanguin est l'âme obscurantiste de celui qui se refuse à chercher. De ce rouge de luxure et
de déperdition satinée, de celui qui tend a s'absoudre de la vérité."

C'est vraiment dommage que tout ça soit bourré de fautes !

[Clarisse]

Même avis que Kash.

Et je salue au passage Panda qui nous a fait un beau petit coup de propre.

[endjel eriennon]

C'est pas mal, plutôt joli, mais c'est vrai que c'est un chouilla décousu. Les mots et les tournures me font un peu penser au chanteur Hubert-Félix Thiéfaine, il fait des textes trop planants (hum quel langage familier!)
Avec un peu de boulot ce sera bien, et puis faut pas désespérer, les fautes se corrigent toujours bonne continuation!

[Invité]

Il est vrai que les fautes d'orthographe se corrigent, mais il vaudrait mieux les corriger (ou se les faire corriger) avant de soumettre son texte aux critiques. Politesse envers les lecteurs.
Pour moi, c'est si désagréable à lire que je n'arrive pas à m'intéresser au fond du texte, qui pourtant m'a l'air riche.
Il paraît inconcevable que la même personne soit capable d'employer, à bon escient, des mots très savants, et par ailleurs soit incapable d'écrire correctement les mots les plus simples.

[Kash Prex]

Il paraît inconcevable que la même personne soit capable d'employer, à bon escient, des mots très savants, et par ailleurs soit incapable d'écrire correctement les mots les plus simples.

Oui enfin il y a aussi la dyslexie, des choses comme ça...

[FX-]

Il est vrai que les fautes d'orthographe se corrigent, mais il vaudrait mieux les corriger (ou se les faire corriger) avant de soumettre son texte aux critiques. Politesse envers les lecteurs.
Pour moi, c'est si désagréable à lire que je n'arrive pas à m'intéresser au fond du texte, qui pourtant m'a l'air riche.
Il paraît inconcevable que la même personne soit capable d'employer, à bon escient, des mots très savants, et par ailleurs soit incapable d'écrire correctement les mots les plus simples.

Forcé d'admettre que vous avez raison, même si cela me coûte. Ce texte est le premier que je poste sur un quelconque forum. Je me suis un peu emballé et est été maladroit en ne me faisant pas corriger au préalable, je m'en excuse.
Cependant, la critique des premières personnes venues me commenté (et plus) m'apparaît bien plus judicieuse, qu'une critique acerbe et blessante, qui se permet de sous-entendre que ce texte pourrait ne pas être authentique, ce qu'il est.
L'orthographe a toujours été pour moi un véritable problème, sur lequel je travaille de mon mieux depuis longtemps déjà. J'ai toujours été capable de maîtriser un vocabulaire riche, car j'intègre les mots et leurs sens phonétiquement, mais en contre parti il m'est extrêmement compliquer de mémoriser leur orthographe précise.
Bref, je tenais à vous exposer brièvement la situation, pour simplement vous inviter à continuer de dispenser librement vos commentaires, mais en nuançant un peu vos propos car vous ne connaissez pas votre interlocuteur.

[Lifewithwords]

Salut FX- !

Cette conversation me fait penser à Amadeus, le film qui raconte la vie de Mozart : comment un être aussi goujat peut produire une si belle musique, si raffinée ? C'est possible, tout comme on peut écrire admirablement bien, maîtriser le sens de ce qu'on dit et peiner avec l'orthographe.

Je suppose qu'on t'a déjà donné beaucoup de conseils en tout sens. Je me permets d'en donner, au cas où ça te serait utile... Si ça ne l'est pas j'aurais au moins essayé :
Tu pourrais aller à la fnac et acheter un tout petit bouquin sur l'ortho, avec les règles vraiment essentielles, qui ne rentrent pas dans les détails. Puis apprendre ces règles par coeur, une à une, en essayant de les appliquer à chaque fois. Genre tu te dis aujourd'hui, je ne ferai pas de fautes sur les auxiliaires. Une autre fois, sur les accords...

Voilà, je ne suis pas prof hein^^. A vrai dire je n'ai fait que te donner les conseils qu'on m'a donnés en anglais (car bizarrement, l'ortho rentrait pas en anglais... :-s ).
Bon courage à toi !

[Invité]

life :

les conseils qu'on m'a donnés

t'es condamné à la dernière relecture/correction, il reste quelques fautes dans la mienne.

:-)

[FX-]

Merci encore ^^ je prend acte de ton conseil, je pense y venir quand j'aurais le temps. =)

[Lifewithwords]

-A l'est d'Éden-

Il fût un temps, une époque, un mythe ... fantasmagorique et cylindrique

Fut ?

[Sahkti]

Je ne reviendrai pas sur l'orthographe, d'autres en ont déjà parlé.
Pour ce qui est du texte, j'avoue que ce lyrisme à outrance finit par me lasser. Si j'apprécie l'ampleur de quelques formules, l'univers onirique dans lequel tu nous promènes, je trouve que par moments, c'est trop et ça m'étouffe, il n'y a pas assez de respirations à mon goût, des silences dans lesquels je pourrais laisser ce monde que tu as créé évoluer sous mes yeux et inventer de mon côté, humblement, une petite partie de l'histoire dans ma tête.
Ceci mis à part, bonne continuation, il y a de belles idées !

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