Mon amour, l'ennemi

[milo]

Simili mer, débordant des carafes, le sang de bœuf gorge les nappes
Déchire le papier
Coule sur ma cuisse comme tes prunelles autrefois

Tu sais, j'ai longtemps cru que tu t'appelais Brillante...

[Rêvelin]

Je trouve ça très fort, vraiment bien tourné, les images sautent à la gorge

[Invité]

Rien d'autre ajouter mais je le dis quand même. Très bon.

[Fauve noir]

Je trouve que ce texte n'a ni queue ni tête. Soit je n'ai pas la sensibilité ou l'experience pour le comprendre, soit il n'est pas fait pour moi.

[François T]

La réponse du Fauve Noir avec sa brutale sincérité pose un véritable problème : les phrases courtes et mystérieuses provoquent chez certains une émotion dont l'origine est incertaine. Sans doute ce sont les images que ces mots installent avec brusquerie dans nos esprits , mais cette machinerie ne fonctionne pas pour certains . Personnellement je regrette un peu la brièveté du poème , mais tel quel il carbure . Vive Brillante!

[Invité]

oh bon sang, c'est beau ça !

[Yoni Wolf]

Oui. C'est très bon. Bien sûr que c'est très bon.

[Yoni Wolf]

Remarque, j'aurais peut-être mis "tes prunelles d'autrefois" , pour le rythme.

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