Bonheur interrompu - 1

[marcob9]

1-Bonheur interrompu.

Angela leva doucement le regard sur son père. Dans un interminable échec, elle tente de retenir un rire. Les yeux bleus remplis de tendresse de son père tentaient de regarder ailleurs, gardant toujours une petite attention envers Angela. Puis soudain, le père de la fillette attrapa Angela dans ses bras et la fit tournoyer au-dessus de lui. L'enfant éclata immédiatement de rire et de nombreux cris de joie sortirent de sa bouche. Elle avait beau bouger les bras dans tous les sens, jamais elle n’arrêtera de voler tant que son père ne l'aura pas décidé. Pour lui, ses moments de bonheur étaient un soulagement et, au grand plaisir de la fillette, il les faisait durée le plus longtemps possible. En fait, lui aussi ne voudrait que jamais cela ne s’arrête. Finalement, son père la déposa délicatement, telle une rose, sur le sol. Angela le regarda puis tomba lourdement sur ses fesses. Elle regarda son père, et fit une moue complètement fausse. Il montra un sourire plus qu'amusé. Décidément, la journée commençait bien pour eux.
-Maman, s'exclama la fillette tout en tentant de se relever.
La jeune mère sourit tendrement en voyant sa fille encore assied sur le sol. Elle s'agenouilla délicatement et ouvrit doucement les bras .La petite accourue dans les bras de sa mère. Celle-ci l'embrassa sur la tête et sur les deux joues. Le père tenta de se frayer un chemin entre la mère et Angela pour embrasser délicatement la nouvelle venue.
— On s'amuse bien ce matin.
— Non maman, on vole ce matin!
La jolie fillette s'extirpa des bras de sa mère et courus dans la pièce les bras bien haut. Elle passa en trombe entre le père et la mère et se tira sur le grand lit. Elle se mit à sauter et à hurler.
— Avion Angela au décollage!
Les deux parents échangèrent un regard amusé et partirent l'un contre l'autre vers la cuisine.
« Tu sais Pénélope, je crois bien que c'est sa le petit bonheur»
L'homme s'assied doucement à la table et regarda sa femme lui apporter son café. Il le prit, lui fit un léger signe de la tête et en prit une bonne gorgée.
— Tu as tellement raison chéri. Nous pouvons être content être content aujourd'hui.
Il se leva et embrassa sa femme. Celle-ci répondit avec plus d'ardeur. L'homme poussa délicatement la femme vers le comptoir de la cuisine.
«J'ai faim moi!»
L'homme et la femme tournèrent la tête vers la jeune fille. Elle les regardait fixement. La femme fit un clin d'œil à l'homme et débuta la préparation du petit déjeuner. Quelques instants plus tard, les assiettes de tout le monde étaient garnies de pain doré et de fruit frais. Quand tout le monde eux terminé, le père ramassa les assiettes et nettoya le tout. Puis on sonna à la porte.
La jeune fillette accourut et ouvra d'un coup sec. Un grand homme aux yeux sombres la fixa du regard.
«Ton père est la fillette?»
En disant cela, le père apparut derrière la fillette et serra la main de l'homme. Il fit signe à sa fille de rentrer, puis il sortit avec l'homme. Le grand homme se dirigea vers sa voiture et ramena une large pile de documents.
«Voilà pour toi Cédric, tout y est»
-Parfait merci. J'espère qu'avec ses dossiers nous pourrons attraper notre homme le plus rapidement possible et mettre fin à tout cela.
-Rappelle-toi, la police ne doit pas savoir que nous possédons ses documents sinon, adieu l'argent.
-Ne t'en fais pas. Ce n'est pas comme si c'était la première fois.
-Je te l'accorde, mais cet homme est plus dangereux que les autres d'avants.
-Je m'en doutais, avec l'épaisseur de ce dossier.
-Bon je me tire. Bonne chance avec sa et n'oublie pas de m'appeler.
-Merci, je te tiens au courant.
L'homme sombre repartit lentement vers la voiture. Le tintement sourd de sa canne accompagnant chacun de ses pas. Cédric retourna à l'intérieur de la maison et rentra dans la chambre. Sa femme était allongée sur le lit, à moitié nue.
-Nous avons été interrompus ce matin non?
Cédric admira sa femme un moment, lui sourit et alla l'embrasser doucement.
-J'ai du boulot important, désolé.
La femme fronça les sourcils et se rhabilla en vitesse. Elle alla s'asseoir avec sa fille sur le sofa sans jeter aucun autre regard à Cédric.
Celui-ci se dirigea au sous-sol. Il ouvrit toutes les lumières ainsi que son ordinateur. Il s'assied devant son bureau y déposa l'épais dossier. Dans un élan de fébrilité, il ouvrit la première page du document. Un énorme rictus s'afficha sur son visage. Il feuilleta rapidement l'ouvrage et prit déjà quelques notes. Après une demi-heure de lecture rapide, il retourna à la première page.
Encore une fois, il sourit d'étonnement devant la somme promise pour un simple homme à abattre. Il avait deux semaines devant lui pour étudier le cas et tuer la victime proposer. Il entra le nom de l'homme dans sa base de données et découvrit qu'il avait violé douze fillettes entre 2002-2009. L'homme avait, en 1998, ouvert son propre cabinet d'avocat. De ce fait,il se défendit lui-même devant la court en novembre 2009. Après 9 mois de prison, l'homme reçu sa liberté sous de forte condition et restriction. Il ferma la page web et recommença à lire le dossier. Des détectives engagés par Cédric avait découvert que, deux mois après sa libération conditionnelle, le cas c'était remit à enregistrer d'autres photos et vidéos de pornographies juvéniles. En poussant plus loin, les détectives ont découvert que l'homme entretenait encore quelques relations avec d'autres ex-détenus. Il s'avère en faite que cet homme soit une des têtes dirigeantes d'un réseau fort étoffé de pornographie juvénile et de drogue. De plus, il obtenait sa protection de l'état lui-même, car deux policiers surveillaient en permanence sa résidence de San Francisco pour l'empêcher d'avoir tout contact avec l'extérieur.
Cédric avait toujours voulu voir le pont de San Francisco, voilà une occasion en or, se disait-il. Durant le reste de la journée, il feuilleta le dossier. Il s’avéra aussi que l'homme en question avait commis de nombreux meurtres en 1980-1987, mais tout cela avait été démenti par manque de preuve. Il eut son diplôme de droit en 1984 de l'Université Yale. Il avait été marié trois ans et sa femme demanda le divorce, elle ne dit jamais pourquoi. Il avait lui-même payé une forte somme pour qu'elle quitte sans qu'aucun procès ne soit nécessaire. Vers 17:00, Cédric monta à l'étage.
Sa jeune fille courut vers lui. Il la prit dans ses bras et l'embrassa sur le front.
«Désolé pour aujourd'hui jolie demoiselle, mais papa avait énormément de travail.»
La mère fit irruption dans la salle.
«C'est sa être policier!» dit-elle.
Cédric déposa la fillette sur le sol et s'exclame telle un champion de guerre.
«J'ai appelé mon patron et j'ai deux semaines de vacances, sa vous dit d'aller a San Francisco?
La femme écarquilla les yeux.
-Aller sourit chérie, nous sommes resté ici cloître tout l'été et notre petite Angela commence l'école dans trois semaines, c'est le dernier moment pour en profiter.
Pénélope sourit finalement à son mari et sauta dans ses bras. La jeune fille vint séparer les deux amoureux et son père l'attrapa dans ses bras pour un autre tour d'avion.
-Direction San Francisco, hurla Angela.

[Infinitive]

Bonjour !

Tout d'abord, j'ai un problème avec l'orthographe...
Je mets ci-dessous, en gras, ce qui me saute au yeux !
[quote="marcob9"]1-Bonheur interrompu.

Angela leva doucement le regard sur son père. Dans un interminable échec, elle tente de retenir un rire. Les yeux bleus remplis de tendresse de son père tentaient de regarder ailleurs, gardant toujours une petite attention envers Angela. Puis soudain, le père de la fillette attrapa Angela dans ses bras et la fit tournoyer au-dessus de lui. L'enfant éclata immédiatement de rire et de nombreux cris de joie sortirent de sa bouche. Elle avait beau bouger les bras dans tous les sens, jamais elle n’arrêtera de voler tant que son père ne l'aura pas décidé. Pour lui, (ses)ces moments de bonheur étaient un soulagement et, au grand plaisir de la fillette, il les faisait (durée)durer le plus longtemps possible. En fait, lui aussi ne voudrait que jamais cela ne s’arrête. Finalement, son père la déposa délicatement, telle une rose, sur le sol. Angela le regarda puis tomba lourdement sur ses fesses. Elle regarda son père, et fit une moue complètement fausse. Il montra un sourire plus qu'amusé. Décidément, la journée commençait bien pour eux.
-Maman, s'exclama la fillette tout en tentant de se relever.
La jeune mère sourit accotendrement en voyant sa fille encore (assied) assise sur le sol. Elle s'agenouilla délicatement et ouvrit doucement les bras .La petite (accourue)accourut dans les bras de sa mère. Celle-ci l'embrassa sur la tête et sur les deux joues. Le père tenta de se frayer un chemin entre la mère et Angela pour embrasser délicatement la nouvelle venue.
— On s'amuse bien ce matin.
— Non maman, on vole ce matin!
La jolie fillette s'extirpa des bras de sa mère et (courus)courut dans la pièce les bras bien haut. Elle passa en trombe entre le père et la mère et se tira sur le grand lit. Elle se mit à sauter et à hurler.
— Avion Angela au décollage!
Les deux parents échangèrent un regard amusé et partirent l'un contre l'autre vers la cuisine.
« Tu sais Pénélope, je crois bien que c'est (sa)ça le petit bonheur»
L'homme s'assied doucement à la table et regarda sa femme lui apporter son café. Il le prit, lui fit un léger signe de la tête et en prit une bonne gorgée.
— Tu as tellement raison chéri. Nous pouvons être content être content aujourd'hui.
Il se leva et embrassa sa femme. Celle-ci répondit avec plus d'ardeur. L'homme poussa délicatement la femme vers le comptoir de la cuisine.
«J'ai faim moi!»
L'homme et la femme tournèrent la tête vers la jeune fille. Elle les regardait fixement. La femme fit un clin d'œil à l'homme et débuta la préparation du petit déjeuner. Quelques instants plus tard, les assiettes de tout le monde étaient garnies de pain doré et de (fruit)fruits frais. Quand tout le monde (eux)eut (passé antérieur) terminé, le père ramassa les assiettes et nettoya le tout. Puis on sonna à la porte.
La jeune fillette accourut et (ouvra)ouvrit d'un coup sec. Un grand homme aux yeux sombres la fixa du regard.
«Ton père est ( la) là fillette?»
En disant cela, le père apparut derrière la fillette et serra la main de l'homme. Il fit signe à sa fille de rentrer, puis il sortit avec l'homme. Le grand homme se dirigea vers sa voiture et ramena une large pile de documents.
«Voilà pour toi Cédric, tout y est»
-Parfait merci. J'espère qu'avec ses dossiers nous pourrons attraper notre homme le plus rapidement possible et mettre fin à tout cela.
-Rappelle-toi, la police ne doit pas savoir que nous possédons ses documents sinon, adieu l'argent.
-Ne t'en fais pas. Ce n'est pas comme si c'était la première fois.
-Je te l'accorde, mais cet homme est plus dangereux que les autres (d'avants)d'avant.
-Je m'en doutais, avec l'épaisseur de ce dossier.
-Bon je me tire. Bonne chance avec (sa)ça et n'oublie pas de m'appeler.
-Merci, je te tiens au courant.
L'homme sombre repartit lentement vers la voiture. Le tintement sourd de sa canne accompagnant chacun de ses pas. Cédric retourna à l'intérieur de la maison et rentra dans la chambre.

Je stoppe là ma correction car, réellement, je pense qu'il ne m'est pas possible de m'approprier ce texte.

Les phrases sont maladroites : je te donne des exemples, mais la liste n'est pas exhaustive.

Dans un interminable échec : incompréhensible, les mots semblent posés, comme cela, en vrac.

elle tente de retenir un rire. Les yeux bleus remplis de tendresse de son père tentaient de regarder ailleurs : des répètitions aussi...

Les conjugaisons utilisées sont en décalage, parfois dans la même phrase.
exemple : L'homme s'assied doucement à la table et regarda sa femme lui apporter son café

En résumé, l'idée du flic « nettoyeur » si c'est de cela qu'il s'agit, n'est pas mauvaise, mais le texte est écrit de manière enfantine, maladroite et sans recul. Il faut vraiment que tu te relises, quitte à le faire à voix haute, cela aide parfois.
Et puis les règles simples de grammaire et conjugaisons doivent être révisées. Il est difficile d'adhérer à un écrit si chaque mot, les tournures de phrases, et la syntaxe heurtent le lecteur. L'essai est louable, mais l'exercice difficile. Il ne suffit pas d'avoir une bonne idée, il faut la mettre en œuvre, en mots en forme !
Bon courage donc pour le prochain que tu nous présenteras. Ce serait bien d'avoir une version 2 de celui-ci...

[Invité]

Je n'ai pas fini ma lecture, c'est vraiment trop embrouillé pour capter quoi que ce soit, sans parler de suivre le fil de l'histoire. Il y a un incroyable mélange des temps et des fautes d'orthographe qui entravent vraiment la compréhension. Par ailleurs, il m'a semblé voir une succession de "la jeune femme", "la jeune fille", "la mère" en début de paragraphe, c'est lancinant, plat et n'accroche pas l'attention du lecteur. Cela dit, je serais volontiers passée au-dessus de ça si le texte m'avait été un tant soit peu compréhensible.
Il faut utiliser un correcteur (www.bonpatron) et livrer un texte digne de ce nom, quelque chose de lisible, il en va du respect du lecteur et du tien propre en tant qu'aspirant écrivant, il me semble.

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