Exo en direct : vendredi 13 janvier 2012 à 20h
+10
Lyra will
Sahkti
Phylisse
Chako Noir
Lizzie
elea
Rebecca
Marine
Janis
Yali
14 participants
Page 4 sur 4
Page 4 sur 4 • 1, 2, 3, 4
.
Bonjour !
Ai-je le droit de participer bien qu'arrivant après la bataille ? Je prends les derniers mots proposés.
Je vous lirai et commenterai plus tard.
« Je vous remets la bête en mains propres. Ne vous y trompez pas, c'est un signe de confiance. Vous mesurerez par ce geste la haute estime dans laquelle je vous tiens.Voici les consignes. Elles ont été rédigées par le chef du Haut Commissariat aux Affaires Spéciales. Ne vous y trompez pas, cette mission que je vous confie est de la plus haute importance.»
Ce disant, Hervé Locipède me tend un billet d'embarquement, quelques liquidités pour subvenir à mes frais, puis un pilote-case perforé rendu pesant par la présence de la sus-dite bête.
« Et voici l'enveloppe avec les consignes à lire lorsque vous serez dans le bateau.»
Je ne dirais pas que je dois tout à Hervé Locipède, mais je lui dois au moins les papiers qu'il a fournis à ma dulcinée pour qu'elle puisse quitter son pays et s'installer chez moi. Bon, depuis, ma dulcinée s'est barrée avec mes économies. D'accord. Mais cela, Monsieur Locipède l'ignore. Donc pour résumer, lui étant redevable, je me dois de m'acquitter loyalement de la mission qu'il me confie.
Ayant pris quelque retard dans mes préparatifs de départ, je me hâte, me précipite, en un mot active le pas pour attraper un taxi, en descendre et courir dans la zone d'embarquement puis sur la passerelle et enfin sur le pont du bateau. La bête manifeste son mécontement en poussant un cri, qui, pour étre tonitruant, n'en est pas moins idiot. Ni miaulement ni aboiement. Jamais je n'ai entendu un tel cri. Je ne sais toujours pas à qui j'ai à faire. Un veau marin, peut-être ? Non, jamais un veau marin n'entrerait dans un pilote-case.
Hervé Locipède ayant fait l'économie d'une cabine, je suis réduit à occuper un transat sur le pont, en compagnie d'autres voyageurs. Si la croisière s'amuse, c'est dans les salons d'où nous parvient une musique endiablée. Sur le pont, nous avons pour seul spectacle la voûte céleste. Parfois, une légère brise iodée se lève, et chacun la hume avec délectation. Chacun voudrait la humer avec délectation. Mais force est de constater qu'une odeur fétide vient chatouiller les narines déçues. La perspicacité collective a tôt fait de lorgner avec dégoût le pilote-case. L'un des voyageurs s'enhardit et grommelle : «Sans doute Monsieur est-il représentant en parfumerie ?»
Ravalant ma gêne et adoptant une attitude aussi digne que dédaigneuse, j'entreprends de lire les consignes. Ah d'accord ! je transporte donc une loutre. La bestiole ne s'accommodera pas longtemps de l'absence de son milieu naturel : l'eau. Dès mon arrivée, elle sera prise en charge par un homme que je reconnaîtrai à sa casquette à carreaux. Il se chargera de la bête qui ... Mais qu'a-t-elle de particulier, cette bête ? OK. On lui a fait ingugiter un microfilm qu'elle devra restituer par les voies naturelles. Ne pas lui donner à manger. Elle est programmée pour déféquer juste à son arrivée.
Alors, en plus de son odeur naturelle, Lutra, c'est son petit nom, pétouille consciencieusement.
Le mécontentement des voisins de transats fait soudain place à une inquiétude naissante qui s'amplifie maintenant. Le bateau hoquète. Il va moins vite. Son sillage qui bouillonnait généreusement sous l'hélice est réduit à un filet d'écume. Le bateau stagne. L'angoisse est à son comble quand on entend le capitaine nous enjoindre dans un micro de garder notre calme, de ne pas céder à la panique.« Des secours sont attendus. Des techniciens viendront remédier à la panne. Il suffit d'attendre leur hélicoptère. »
Les mains se tordent, les yeux s'exorbitent et scrutent le ciel. On transpire. On crie. On remue. Les enfants se dispèrsent. Les voilà qui en profitent pour s'agglutiner autour du pilote-case en se bouchant le nez. Lutra, énervée, pousse son cri idiot en frémisant des vibrisses. Elle en éructe. Elle en pète.
Tout doux, Lutra, tout doux, lui dis-je.
Un enfant, par l'entrebaîllement d'un trou lui offre son gateau.
« Bande de galapiats ! Voulez-vous laisser ma bête tranquille ? Retournez près de vos parents. Allez, ouste ! »
Quelle nuit ! Mais quelle nuit !
Enfin, les vrombissements de l'hélicoptère se font entendre. L'appareil se profile à présent dans les lueurs de la lune. Il survole le bateau. D'une échelle de corde descendent deux hommes acclamés par la foule. La bande de galapiats fascinée se résout à abandonner Lutra. Pauvre Lutra, à qui ce remue-ménage provoque la diarrhée du siècle.
L'avarie réparée, le reste du voyage se poursuit dans l'excitation et la joie d'avoir vécu quelque chose de peu commun.
Quant à moi, je regarde ma montre. L'homme à la casquette à carreaux doit m'attendre depuis quelques heures. Nous débarquons, et c'est avec un plaisir sans borne que je lui remets le pilote-case et sa puante occupante.
Juste une question :« Pourquoi une loutre ? Pourquoi pas un chien ou un chat ?»
« La loutre, me répond l'homme, est la seule bête que nous ayons pu attraper dans l'environnement où nous nous trouvions au moment où… »
« Oh, et puis après tout, que m'importe. Je lui ai rendu sa loutre. Ma mission est terminée.»
Et d'un coup de menton, je le salue, tout en soulevant cérémonieusement mon feutre de ma tête.
Ai-je le droit de participer bien qu'arrivant après la bataille ? Je prends les derniers mots proposés.
Je vous lirai et commenterai plus tard.
« Je vous remets la bête en mains propres. Ne vous y trompez pas, c'est un signe de confiance. Vous mesurerez par ce geste la haute estime dans laquelle je vous tiens.Voici les consignes. Elles ont été rédigées par le chef du Haut Commissariat aux Affaires Spéciales. Ne vous y trompez pas, cette mission que je vous confie est de la plus haute importance.»
Ce disant, Hervé Locipède me tend un billet d'embarquement, quelques liquidités pour subvenir à mes frais, puis un pilote-case perforé rendu pesant par la présence de la sus-dite bête.
« Et voici l'enveloppe avec les consignes à lire lorsque vous serez dans le bateau.»
Je ne dirais pas que je dois tout à Hervé Locipède, mais je lui dois au moins les papiers qu'il a fournis à ma dulcinée pour qu'elle puisse quitter son pays et s'installer chez moi. Bon, depuis, ma dulcinée s'est barrée avec mes économies. D'accord. Mais cela, Monsieur Locipède l'ignore. Donc pour résumer, lui étant redevable, je me dois de m'acquitter loyalement de la mission qu'il me confie.
Ayant pris quelque retard dans mes préparatifs de départ, je me hâte, me précipite, en un mot active le pas pour attraper un taxi, en descendre et courir dans la zone d'embarquement puis sur la passerelle et enfin sur le pont du bateau. La bête manifeste son mécontement en poussant un cri, qui, pour étre tonitruant, n'en est pas moins idiot. Ni miaulement ni aboiement. Jamais je n'ai entendu un tel cri. Je ne sais toujours pas à qui j'ai à faire. Un veau marin, peut-être ? Non, jamais un veau marin n'entrerait dans un pilote-case.
Hervé Locipède ayant fait l'économie d'une cabine, je suis réduit à occuper un transat sur le pont, en compagnie d'autres voyageurs. Si la croisière s'amuse, c'est dans les salons d'où nous parvient une musique endiablée. Sur le pont, nous avons pour seul spectacle la voûte céleste. Parfois, une légère brise iodée se lève, et chacun la hume avec délectation. Chacun voudrait la humer avec délectation. Mais force est de constater qu'une odeur fétide vient chatouiller les narines déçues. La perspicacité collective a tôt fait de lorgner avec dégoût le pilote-case. L'un des voyageurs s'enhardit et grommelle : «Sans doute Monsieur est-il représentant en parfumerie ?»
Ravalant ma gêne et adoptant une attitude aussi digne que dédaigneuse, j'entreprends de lire les consignes. Ah d'accord ! je transporte donc une loutre. La bestiole ne s'accommodera pas longtemps de l'absence de son milieu naturel : l'eau. Dès mon arrivée, elle sera prise en charge par un homme que je reconnaîtrai à sa casquette à carreaux. Il se chargera de la bête qui ... Mais qu'a-t-elle de particulier, cette bête ? OK. On lui a fait ingugiter un microfilm qu'elle devra restituer par les voies naturelles. Ne pas lui donner à manger. Elle est programmée pour déféquer juste à son arrivée.
Alors, en plus de son odeur naturelle, Lutra, c'est son petit nom, pétouille consciencieusement.
Le mécontentement des voisins de transats fait soudain place à une inquiétude naissante qui s'amplifie maintenant. Le bateau hoquète. Il va moins vite. Son sillage qui bouillonnait généreusement sous l'hélice est réduit à un filet d'écume. Le bateau stagne. L'angoisse est à son comble quand on entend le capitaine nous enjoindre dans un micro de garder notre calme, de ne pas céder à la panique.« Des secours sont attendus. Des techniciens viendront remédier à la panne. Il suffit d'attendre leur hélicoptère. »
Les mains se tordent, les yeux s'exorbitent et scrutent le ciel. On transpire. On crie. On remue. Les enfants se dispèrsent. Les voilà qui en profitent pour s'agglutiner autour du pilote-case en se bouchant le nez. Lutra, énervée, pousse son cri idiot en frémisant des vibrisses. Elle en éructe. Elle en pète.
Tout doux, Lutra, tout doux, lui dis-je.
Un enfant, par l'entrebaîllement d'un trou lui offre son gateau.
« Bande de galapiats ! Voulez-vous laisser ma bête tranquille ? Retournez près de vos parents. Allez, ouste ! »
Quelle nuit ! Mais quelle nuit !
Enfin, les vrombissements de l'hélicoptère se font entendre. L'appareil se profile à présent dans les lueurs de la lune. Il survole le bateau. D'une échelle de corde descendent deux hommes acclamés par la foule. La bande de galapiats fascinée se résout à abandonner Lutra. Pauvre Lutra, à qui ce remue-ménage provoque la diarrhée du siècle.
L'avarie réparée, le reste du voyage se poursuit dans l'excitation et la joie d'avoir vécu quelque chose de peu commun.
Quant à moi, je regarde ma montre. L'homme à la casquette à carreaux doit m'attendre depuis quelques heures. Nous débarquons, et c'est avec un plaisir sans borne que je lui remets le pilote-case et sa puante occupante.
Juste une question :« Pourquoi une loutre ? Pourquoi pas un chien ou un chat ?»
« La loutre, me répond l'homme, est la seule bête que nous ayons pu attraper dans l'environnement où nous nous trouvions au moment où… »
« Oh, et puis après tout, que m'importe. Je lui ai rendu sa loutre. Ma mission est terminée.»
Et d'un coup de menton, je le salue, tout en soulevant cérémonieusement mon feutre de ma tête.
Invité- Invité
Re: Exo en direct : vendredi 13 janvier 2012 à 20h
Milo : beaucoup, beaucoup, beaucoup trop facile. Et si je me permets de dire ça, c'est que par ailleurs, je sais ce que tu vaux et que j'aime. Et d'ailleurs je me demande si j'aime d'avantage le mec que ses mots, ou l'inverse, mais mauvaise réflexion vu que c'est la même chose.
Yali- Nombre de messages : 8624
Age : 60
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Exo en direct : vendredi 13 janvier 2012 à 20h
Coline : j'ai aimé l'ambiance, le côté pecnot, la gouaille.
(Mais grand Dieu, d'où te vient cette idée qu'un orthopédiste s'occupe des pieds ?)
(Mais grand Dieu, d'où te vient cette idée qu'un orthopédiste s'occupe des pieds ?)
Yali- Nombre de messages : 8624
Age : 60
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Exo en direct : vendredi 13 janvier 2012 à 20h
Pas pu venir mais je vais vous lire avec plaisir...
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Exo en direct : vendredi 13 janvier 2012 à 20h
Ben l'ornithorynque s'occupe bien des oreilles !Yali a écrit:Coline : j'ai aimé l'ambiance, le côté pecnot, la gouaille.
(Mais grand Dieu, d'où te vient cette idée qu'un orthopédiste s'occupe des pieds ?)
Invité- Invité
Re: Exo en direct : vendredi 13 janvier 2012 à 20h
gobu
Ce que j’ai préféré, c’est le défaut de prononciation de la salamandre. Comment se rajouter une contrainte pour empiler les loufoqueries. J’ai pensé au Grand Vizir qui veut être calife… mais non, pas tout à fait. Merci, chouette moment de lecture.
milo
Pour moi, la dernière phrase est la meilleure. Elle tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, un bon mot de fin de repas, mais c’est… visuel, donc odieux, horrible : bref, marrant.
Yali
La classe ! Les mouches, on devrait y songer plus souvent comme personnages de notre quotidien. Un texte léché, jusqu’à la citation de Baudelaire : moi je dis… ben, rien à dire. Si, les dialogues, un plus pour les dialogues. Et sur l’écriture de pattes de mouche.
Iris
Ah, c’est rigolo. Belle imagination, parce que la contrainte de la loutre, pff… Au début, c’est un peu lent à mon sens, tu donnes peut-être trop de détails, je ne sais pas. Et puis, hop, ça part, et j’ai eu envie de connaitre la fin. Un texte sympa, merci !
Ce que j’ai préféré, c’est le défaut de prononciation de la salamandre. Comment se rajouter une contrainte pour empiler les loufoqueries. J’ai pensé au Grand Vizir qui veut être calife… mais non, pas tout à fait. Merci, chouette moment de lecture.
milo
Pour moi, la dernière phrase est la meilleure. Elle tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, un bon mot de fin de repas, mais c’est… visuel, donc odieux, horrible : bref, marrant.
Yali
La classe ! Les mouches, on devrait y songer plus souvent comme personnages de notre quotidien. Un texte léché, jusqu’à la citation de Baudelaire : moi je dis… ben, rien à dire. Si, les dialogues, un plus pour les dialogues. Et sur l’écriture de pattes de mouche.
Iris
Ah, c’est rigolo. Belle imagination, parce que la contrainte de la loutre, pff… Au début, c’est un peu lent à mon sens, tu donnes peut-être trop de détails, je ne sais pas. Et puis, hop, ça part, et j’ai eu envie de connaitre la fin. Un texte sympa, merci !
Lizzie- Nombre de messages : 1162
Age : 58
Localisation : Face à vous, quelle question !
Date d'inscription : 30/01/2011
Re: Exo en direct : vendredi 13 janvier 2012 à 20h
Coline Dé
Ton texte est un véritable sketch, truculent et tout ! Ces trouvailles dans le langage, c'est désopilant !
Eléa
Hériter d'une loutre ! Quelle désillusion ! Note que sans cette loutre, la narratrice aurait hérité d'un blaireau qui l'attendait pour lui passer la bague au doigt. Serait-elle destinée aux mustélidés ?
Lizzie
Le texte a une strucrure intéressante.Cet aller et retour entre la panthère présente qui fait de la figuration dans un plan glauque, et Jeanne très présente dans l'esprit du narrateur est habile.
Gobu
Dès le deuxième paragraphe on est transportés dans une autre époque. On a l'impression de voir un film.
Vaunéant = vaurien ?
Très sympa, ce texte.
Milo
Attendrissant ce petit hamster, sauf quand " il te griffe le cul à travers la toile du sac à dos".
Je n'ai pas compris à la fin : qui éclate ? La dame ou la vitre ?
Yali
Savoureux, le dialogue entre le narrateur et la mouche. Et cette bestiole est finalement d'une compagnie agréable pour qui échoue dans une sombre gare. J'ai aimé le cours d'anatomie buccale de la mouche. Et puis sa perspicacité.
Merci, Yali, pour cet exercice !
Ton texte est un véritable sketch, truculent et tout ! Ces trouvailles dans le langage, c'est désopilant !
Eléa
Hériter d'une loutre ! Quelle désillusion ! Note que sans cette loutre, la narratrice aurait hérité d'un blaireau qui l'attendait pour lui passer la bague au doigt. Serait-elle destinée aux mustélidés ?
Lizzie
Le texte a une strucrure intéressante.Cet aller et retour entre la panthère présente qui fait de la figuration dans un plan glauque, et Jeanne très présente dans l'esprit du narrateur est habile.
Gobu
Dès le deuxième paragraphe on est transportés dans une autre époque. On a l'impression de voir un film.
Vaunéant = vaurien ?
Très sympa, ce texte.
Milo
Attendrissant ce petit hamster, sauf quand " il te griffe le cul à travers la toile du sac à dos".
Je n'ai pas compris à la fin : qui éclate ? La dame ou la vitre ?
Yali
Savoureux, le dialogue entre le narrateur et la mouche. Et cette bestiole est finalement d'une compagnie agréable pour qui échoue dans une sombre gare. J'ai aimé le cours d'anatomie buccale de la mouche. Et puis sa perspicacité.
Merci, Yali, pour cet exercice !
Invité- Invité
Re: Exo en direct : vendredi 13 janvier 2012 à 20h
Gobu : fa décoiffe, merfi pour fe bon moment !
Milo : pauvre bête, t’as pas honte ? :-) J’aime bien la cruauté borderline de ton histoire.
Yali : une histoire qui fait mouche avec des dialogues aux petits oignons assortis au bourguignon. Merci pour l’exo.
Iris : c’est parfois un calvaire (olfactif ici) d’être redevable. Mais ça permet de chouettes lectures.
Milo : pauvre bête, t’as pas honte ? :-) J’aime bien la cruauté borderline de ton histoire.
Yali : une histoire qui fait mouche avec des dialogues aux petits oignons assortis au bourguignon. Merci pour l’exo.
Iris : c’est parfois un calvaire (olfactif ici) d’être redevable. Mais ça permet de chouettes lectures.
elea- Nombre de messages : 4894
Age : 51
Localisation : Au bout de mes doigts
Date d'inscription : 09/04/2010
Re: Exo en direct : vendredi 13 janvier 2012 à 20h
Iris,
histoire bien tapée. Cela manque un peu de folie, mais vraie qu’en une heure c’est pas évident.
elea :
ça s’enchaîne bien, même remarque que pour Iris à propos du brin de folie.
Lizzie :
beaux enchaînements pour une chute qui marche au poil.
Gobu :
zappée la contrainte du récit en «Je» mais qu’importe, petite tranche déjantée à souhait.
histoire bien tapée. Cela manque un peu de folie, mais vraie qu’en une heure c’est pas évident.
elea :
ça s’enchaîne bien, même remarque que pour Iris à propos du brin de folie.
Lizzie :
beaux enchaînements pour une chute qui marche au poil.
Gobu :
zappée la contrainte du récit en «Je» mais qu’importe, petite tranche déjantée à souhait.
Yali- Nombre de messages : 8624
Age : 60
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Exo en direct : vendredi 13 janvier 2012 à 20h
Je m'aperçois que je n'ai pas commenté tout le monde :
Iris : Une histoire genre espionnage pas ordinaire, j'ai vu Groucho tout le long !!!
Dommage les deux " ne vous y trompez pas " du début ! Sinon, j'ai adoré ta loutre qui pétouille !
Yali : quand j'ai lu, je me suis dit " un texte qui fait mouche !"... mais trop tard, là, c'est pris ! Beaucoup aimé ces dialogues avec cette mouche sans-gêne !
Iris : Une histoire genre espionnage pas ordinaire, j'ai vu Groucho tout le long !!!
Dommage les deux " ne vous y trompez pas " du début ! Sinon, j'ai adoré ta loutre qui pétouille !
Yali : quand j'ai lu, je me suis dit " un texte qui fait mouche !"... mais trop tard, là, c'est pris ! Beaucoup aimé ces dialogues avec cette mouche sans-gêne !
Invité- Invité
Re: Exo en direct : vendredi 13 janvier 2012 à 20h
Ah, et j'ai oublié Milo !
Milo qui nous refile un hamster pour quinze centimes ( tu fais l'élevage, Milo ?) et une histoire affreusement drôle en prime ! ( oui, je sais j'ai pas de coeur ! mais ça me fait tellement rire d'imaginer la tête de la dame à casquette et encéphale rigides !!!)
Milo qui nous refile un hamster pour quinze centimes ( tu fais l'élevage, Milo ?) et une histoire affreusement drôle en prime ! ( oui, je sais j'ai pas de coeur ! mais ça me fait tellement rire d'imaginer la tête de la dame à casquette et encéphale rigides !!!)
Invité- Invité
Page 4 sur 4 • 1, 2, 3, 4
Sujets similaires
» Exo en direct : dimanche 29 janvier 2012 - 20 heures 15
» On s'dépoile en direct ce vendredi 13-11-2009 !
» Exo en direct du vendredi 11 novembre 2011
» Exo en direct le vendredi 12 août 2011 : 20 heures
» Exo en direct du vendredi 19 août 2011 à 20h30
» On s'dépoile en direct ce vendredi 13-11-2009 !
» Exo en direct du vendredi 11 novembre 2011
» Exo en direct le vendredi 12 août 2011 : 20 heures
» Exo en direct du vendredi 19 août 2011 à 20h30
Page 4 sur 4
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum