Périmètre

Que vôtre aire sans syllabe me nuit.
Apostrophe sans âme.
Tiroir démuni où trop d'excréments me lassent.
Vous ébaudis devant le vide;
Devant ces lacets noués à perdre vie
que sont vos mots dénués de souffle
vagissant au ras des médiocrités.
Je croyais fol venant là entrevoir la vie
Il n'y gisait que des mots
des mots mortellement clos
comme si cette promenade morbide
venait à la rencontre de poltrons
déguisés en réciteurs de verbe .

Oui je viens d'écrire un poème qui, je l'espère, saura vous agréer.

Lary456 a écrit:Oui je viens d'écrire un poème qui, je l'espère, saura vous agréer.

Salutations distinguées d'un petit serpent Katangais dixit Serge G.13, rue de Verneuil 75007 Paris

Pauvre poésie servant la vindicte, les boules puantes, tellement puantes que peu crédibles.
Récital assombrissant même les platanes de la place de la liberté à Céret.

La moue tarde avant de monter au nez.

"Que vôtre aire sans syllabe me nuit.
Apostrophe sans âme.
Tiroir démuni où trop d'excréments me lassent.
Vous ébaudis devant le vide;"

????????????????????

... perclus s'enflamme irrité
comme si se reconnaissant
il n'avait pour toute répartie
que de jeter au mot son fardeau .
Pauvre de toi , individu ,
il n'est pas grotesque de s'indigner
ce que tu ne sais faire.
Demeure dans ce vide simiesque
où tu prends pour argent comptant
ce que tu pensais être ton petit talent.
Allons va l'emportant prés de ta vanité
il ne peut te desservir.
Le mal est déjà fait .


< bahut, nous ne savons pas de quoi il s'agit, mais visiblement il y a règlement de comptes méthode fielleuse, et VOS ECRITS n'est pas un ring.
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