Quelconquerie : Où vont-elles ?

mignon vos devoirs de vacances

mais ici point de bercement
ni de
pointillé d'horizon troublant de lumière au soleil
et rêvant d'ailleurs

ici, c'est un jeu de droites
qui louchent vers un point d'arrivé au départ

en Septembre c'est promis, il ne loupera plus son train..


(Tizef dans le texte ?? si c'est le cas, salutàtoi !)

Ah le bel oxymore : "Qui foncent dans le noir d’un gouffre adamantin".
Et l'on voit briller le feu du diamant !!!

Ah moins que plus prosaïquement il ne s'agisse que de charbon ;-)

Effectivement arrive "l'anthracite" ; il s'agit bien d'une histoire de mineur :-)))

Bravo Tiz à toi poète inconnu.

Merci les gars. A quoi sert l'anonymat si on se fait tout de suite repérer :o)

Je comprends le désappointement du lecteur lorsqu'il découvre que le titre (où vont-elles ?) concerne des parallèles et non des personnes du beau sexe. :o)

En prose, sous la pression amicale des amateurs, j'ai démarré une petite série consacrée aux objets mathématiques : "quelconqueries".
J'ai voulu, sous le couvert de l'anonymat tenter un sonnet s'intéressant au même sujet.

Sachant que les droites sont illimitées, on se demande bien où elles peuvent aller se perdre dés qu'elles sortent de la feuille. Dans l'espace intersidéral ? C'est tout simplement sidérant.
Et quand elles sont deux, et qu'elles voyagent côte à côte, identiques mais se faisant la gueule jusqu'à la fin des temps, ça file le tournis.

Mais... Elles font semblant de se faire la gueule ! En fait, elles se rejoignent à l'infini.

en même temps,
une "Quelconquerie" par Modération,
ce serait pas un peu signé d'office...?