Ciné-club
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Re: Ciné-club
Autant celui d'hier je l'ai vu dix fois ( au moins...) et je n'en ferai pas la critique, d'autres l'ont fait certainement mieux que moi mais celui-ci:
Le tonnerre de dieu de Denys de La Pattelière est injustement méconnu.
Gabin, Michèle Mercier, Lili Palmer, Robert Hossein, dialogues sublimes de Pascal Jardin.
Un bijou.Une bouffée d'oxygène.
Le tonnerre de dieu de Denys de La Pattelière est injustement méconnu.
Gabin, Michèle Mercier, Lili Palmer, Robert Hossein, dialogues sublimes de Pascal Jardin.
Un bijou.Une bouffée d'oxygène.
Re: Ciné-club
Macadam Cowboy (Midnight Cowboy), 1969, de John Schlesinger.
Ce film m'aura marqué des années durant. Un rêve américain qui aurait mal tourné...? Jon Voight magnifique, un jour j'irai à New-York, un jour j'irai...ce genre de film qui peut te changer la vie.
Ce film m'aura marqué des années durant. Un rêve américain qui aurait mal tourné...? Jon Voight magnifique, un jour j'irai à New-York, un jour j'irai...ce genre de film qui peut te changer la vie.
Re: Ciné-club
Mort à Venise, 1971, de Luchino Visconti.
Qu'est-ce que la morale face à un chef-d'oeuvre ?
La scène finale est l'un de mes plus beaux moments de cinéma.
Gainsbourg aimait beaucoup ce film. Moi aussi.
Qu'est-ce que la morale face à un chef-d'oeuvre ?
La scène finale est l'un de mes plus beaux moments de cinéma.
Gainsbourg aimait beaucoup ce film. Moi aussi.
Re: Ciné-club
Le Samouraï, Melville, 25 octobre 1967 !
En prime, une fausse citation du bushido au début du film !
En prime, une fausse citation du bushido au début du film !
Jand- Nombre de messages : 306
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Re: Ciné-club
Jand a écrit:Le Samouraï, Melville, 25 octobre 1967 !
En prime, une fausse citation du bushido au début du film !
...transmission de pensée !!! Même si celui-ci est sublime, je lui préfère un autre Melville moins connu, Deux hommes dans Manhattan, 1959, magnifique hommage au film noir américain, la nuit, le jazz, une histoire d'homme ( et de femmes ), tout l'univers de Melville...
Rien à voir mais excellent quand même, Un condé, d'Yves Boisset, 1970, Henri Garcin étonnant en petite frappe, Françoise Fabian, belle mais pas seulement...et Michel Bouquet qui sait tout jouer.
Re: Ciné-club
On appelle ça un film d'exploitation. Crime à froid -A cruel picture film suédois de 1973.
C'est extrêmement violent, parfois pornographique, le genre de film qu'on regarde dans une vieille salle pourrie, cinq spectateurs, ça sent l'urine, le moisi, la vomissure, les graffitis dans les chiottes...
A déconseiller aux âmes sensibles.
C'est extrêmement violent, parfois pornographique, le genre de film qu'on regarde dans une vieille salle pourrie, cinq spectateurs, ça sent l'urine, le moisi, la vomissure, les graffitis dans les chiottes...
A déconseiller aux âmes sensibles.
Re: Ciné-club
Of mice and men, Gary Sinice, 2 octobre 1992 : un très fort effet d'apprentissage tragique quand on a onze ou douze ans !
Jand- Nombre de messages : 306
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Re: Ciné-club
Jand a écrit:Of mice and men, Gary Sinice, 2 octobre 1992 : un très fort effet d'apprentissage tragique quand on a onze ou douze ans !
Je crains de n'avoir rien compris...
En attendant Miquette et sa mère, Clouzot qui nous met en scène un épisode boulevardier: Danièle Delorme en ingénue (perverse...!) Saturnin Fabre et Louis Jouvet qui cabotinent comme des malpropres...Louis Seignier, Maurice Schutz et Jeanne Fusier-gir, Pauline Carton...
Bon, à voir, à voir à voir, c'est à voir qu'il nous faut !
Re: Ciné-club
L'Homme Irrationnel
Réalisé par Woody Allen (2015)
Durée 96 mn
Nationalité : américain
Avec Joaquin Phoenix (Abe) , Emma Stone (Jill) , Parker Posey (Rita) .
Le petit monde universitaire d'une ville du Rhode Island attend avec curiosité un nouveau venu, célèbre professeur de philosophie, Abe Lucas. Celui-ci s'installe dans une confortable villa, rongé par la dépression. Rita, une collègue scientifique, s'intéresse à lui, tout comme Jill, une brillante étudiante dont il a remarqué et loué un devoir sur table. Quoiqu'amoureuse de son petit ami Roy, Jill tombe sous le charme du bel intellectuel ténébreux. Alors qu'ils déjeunent ensemble, ils surprennent à la table voisine une conversation qui va redonner à Abe l'énergie de vivre en lui insufflant le désir de tuer, dont il prétend tirer une morale...
Réalisé par Woody Allen (2015)
Durée 96 mn
Nationalité : américain
Avec Joaquin Phoenix (Abe) , Emma Stone (Jill) , Parker Posey (Rita) .
Le petit monde universitaire d'une ville du Rhode Island attend avec curiosité un nouveau venu, célèbre professeur de philosophie, Abe Lucas. Celui-ci s'installe dans une confortable villa, rongé par la dépression. Rita, une collègue scientifique, s'intéresse à lui, tout comme Jill, une brillante étudiante dont il a remarqué et loué un devoir sur table. Quoiqu'amoureuse de son petit ami Roy, Jill tombe sous le charme du bel intellectuel ténébreux. Alors qu'ils déjeunent ensemble, ils surprennent à la table voisine une conversation qui va redonner à Abe l'énergie de vivre en lui insufflant le désir de tuer, dont il prétend tirer une morale...
So-Back- Nombre de messages : 3652
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Re: Ciné-club
N'ayant pas posé en préambule que Ciné-Club se voulait en principe le lieu ou l'on évoquerait des films plutôt " anciens " ( antérieurs aux années 2000), je ne tiens pas rigueur de cette erreur.
La ligne de démarcation, 1966, de Claude Chabrol. Distribution éblouissante, avec en tête Maurice Ronet, Jean Seberg, Daniel Gélin, Stéphane Audran mais apparaissent des seconds rôles épatants, Noël Roquevert, Mario David, Jacques Perrin Jean Yanne etc...Un très grand film.
La ligne de démarcation, 1966, de Claude Chabrol. Distribution éblouissante, avec en tête Maurice Ronet, Jean Seberg, Daniel Gélin, Stéphane Audran mais apparaissent des seconds rôles épatants, Noël Roquevert, Mario David, Jacques Perrin Jean Yanne etc...Un très grand film.
Re: Ciné-club
il passe en ciné club c'est pourquoi je me suis permis
So-Back- Nombre de messages : 3652
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Re: Ciné-club
Avanti de Billy Wilder, 1972, avec Jack Lemmon et Juliet Mills. Oh, bien sur, ce n'est pas le meilleur film de cet immense réalisateur mais il communique une joie communicative. C'est drôle, tellement léger. La comédie d'un certain bonheur.
Re: Ciné-club
Bien sûr la mort à Venise sur Gustav Mahler
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Re: Ciné-club
l'immense Fellini et huit et demi
Un cinéaste dépressif fuit le monde du cinéma et se réfugie dans un univers peuplé de souvenirs et de fantasmes. Surgissent des images de son passé, son enfance et l'école religieuse de sa jeunesse, la Saraghina qui dansait sur la plage pour les écoliers, ses rêves fous de « harem », ses parents décédés. Dans la station thermale où il s'est isolé, son épouse Luisa, sa maîtresse Carla, ses amis, ses acteurs, ses collaborateurs et son producteur viennent lui tourner autour, pour qu'enfin soit réalisé le film sur lequel il est censé travailler.
Un cinéaste dépressif fuit le monde du cinéma et se réfugie dans un univers peuplé de souvenirs et de fantasmes. Surgissent des images de son passé, son enfance et l'école religieuse de sa jeunesse, la Saraghina qui dansait sur la plage pour les écoliers, ses rêves fous de « harem », ses parents décédés. Dans la station thermale où il s'est isolé, son épouse Luisa, sa maîtresse Carla, ses amis, ses acteurs, ses collaborateurs et son producteur viennent lui tourner autour, pour qu'enfin soit réalisé le film sur lequel il est censé travailler.
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Re: Ciné-club
Forfaiture, 1937, de Marcel L’Herbier avec Lise Delamare ( grande actrice de théâtre), Louis Jouvet, comme toujours parfait, Victor Francen, un peu trop guindé dans ce film et Sessue Hayakawa, un immense acteur et un drôle de type: immense acteur de muet à Hollywood, Gilles Jacob lui a consacré une superbe bio l'homme cruel...
Re: Ciné-club
M le maudit (M – Eine Stadt sucht einen Mörder) est un film allemand réalisé par Fritz Lang, sorti en 1931, premier film parlant du réalisateur. Le film montre les habitants d'une grande ville allemande, jetés dans la terreur et l'hystérie par un meurtrier d'enfants, si bien que la police et la pègre se mettent l'une et l'autre à sa poursuite. Des avis de recherches sont lancés et une récompense est promise.
Dans une cité ouvrière, une mère attend impatiemment le retour de sa fille de l'école, mais un inconnu (dont seule l'ombre apparaît à l'écran) réussit à l'attirer avec des sucreries. Après avoir découvert le cadavre de la petite, la police intensifie ses efforts de recherche, en vain. Les habitants en viennent à se soupçonner les uns les autres. Les dénonciations anonymes font croître la tension et les policiers sont à bout de forces.
Cependant, les rafles et les contrôles incessants dérangent les bandes criminelles dans leurs « affaires ». Aussi la pègre décide-t-elle, sous la direction de Schränker, de chercher elle-même le meurtrier et utilise dans ce but le réseau des mendiants.
Dans une cité ouvrière, une mère attend impatiemment le retour de sa fille de l'école, mais un inconnu (dont seule l'ombre apparaît à l'écran) réussit à l'attirer avec des sucreries. Après avoir découvert le cadavre de la petite, la police intensifie ses efforts de recherche, en vain. Les habitants en viennent à se soupçonner les uns les autres. Les dénonciations anonymes font croître la tension et les policiers sont à bout de forces.
Cependant, les rafles et les contrôles incessants dérangent les bandes criminelles dans leurs « affaires ». Aussi la pègre décide-t-elle, sous la direction de Schränker, de chercher elle-même le meurtrier et utilise dans ce but le réseau des mendiants.
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Re: Ciné-club
Blow-Up est un film britanno-italo-américain de Michelangelo Antonioni, sorti en 1966 et inspiré d'une nouvelle Las babas del diablo (Les Fils de la Vierge)1 de Julio
À Londres, dans les années 1960 : Thomas, photographe de mode, après un reportage photo sur les sans-abris, passe la matinée dans un parc, et attiré par la lumière, prend des clichés. L'endroit est presque désert, sauf un couple qui s'embrasse, que Thomas photographie de loin. La femme, Jane, s'aperçoit finalement de sa présence, et très contrariée, lui réclame les négatifs ; mais Thomas s'esquive. Jane le retrouve dans l'après-midi, et va jusqu'à s'offrir à lui : Thomas lui donne une pellicule, mais qui n'est pas la bonne. Il développe les photographies du parc, et réalise par agrandissements successifs (blow-up signifie « agrandissement » [ou bien « explosion »] en anglais) qu'il a en fait été le témoin d'un meurtre. Il se rend de nuit sur les lieux et découvre le cadavre que ses photographies lui ont révélé. De retour chez lui, il trouve son atelier vide : tous ses clichés et négatifs ont été volés. Désemparé, il cherche conseil auprès de son éditeur et ami, mais en vain. Au petit matin, il retourne au parc, pour découvrir que le corps a lui aussi disparu.
À Londres, dans les années 1960 : Thomas, photographe de mode, après un reportage photo sur les sans-abris, passe la matinée dans un parc, et attiré par la lumière, prend des clichés. L'endroit est presque désert, sauf un couple qui s'embrasse, que Thomas photographie de loin. La femme, Jane, s'aperçoit finalement de sa présence, et très contrariée, lui réclame les négatifs ; mais Thomas s'esquive. Jane le retrouve dans l'après-midi, et va jusqu'à s'offrir à lui : Thomas lui donne une pellicule, mais qui n'est pas la bonne. Il développe les photographies du parc, et réalise par agrandissements successifs (blow-up signifie « agrandissement » [ou bien « explosion »] en anglais) qu'il a en fait été le témoin d'un meurtre. Il se rend de nuit sur les lieux et découvre le cadavre que ses photographies lui ont révélé. De retour chez lui, il trouve son atelier vide : tous ses clichés et négatifs ont été volés. Désemparé, il cherche conseil auprès de son éditeur et ami, mais en vain. Au petit matin, il retourne au parc, pour découvrir que le corps a lui aussi disparu.
So-Back- Nombre de messages : 3652
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Re: Ciné-club
Ainsi que Blow out de Brian de Palma que je viens de revoir avec les élèves ( le film, pas le réalisateur ) très riche réflexion sur le son visuel sans compter le tissu de références cinématographiques, historiques et politiques.
Ba- Nombre de messages : 4855
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Re: Ciné-club
Le feu follet, de Louis Malle, 1963.
D'après le roman éponyme de Drieu la Rochelle. Sublissime Maurice Ronet, fond sonore Erik Satie, la photo en noir et blanc est remarquable, Paris filmé comme jamais.Chef-d'oeuvre à tous les étages.
C'est désespéré, désespérant ...incidemment, je retrouve, beaucoup de moi dans ce film...
D'après le roman éponyme de Drieu la Rochelle. Sublissime Maurice Ronet, fond sonore Erik Satie, la photo en noir et blanc est remarquable, Paris filmé comme jamais.Chef-d'oeuvre à tous les étages.
C'est désespéré, désespérant ...incidemment, je retrouve, beaucoup de moi dans ce film...
Re: Ciné-club
L'ange Bleu, 1930, d'après Heinrich Mann, de Joseph von Sternberg avec Marlene Dietrich et Emil Jennings.Le chef d'oeuvre absolu !
Si je ne devais retenir q'UN film dans l'histoire du cinéma, ce serait celui-ci.
Il marque la fin de l'âge d'or du cinéma allemand avant la prise de pouvoir du nazisme.
" Jamais cinéma ne fut plus désespéré que le cinéma expressionniste allemand " dit le critique Paul Warren.
Si je ne devais retenir q'UN film dans l'histoire du cinéma, ce serait celui-ci.
Il marque la fin de l'âge d'or du cinéma allemand avant la prise de pouvoir du nazisme.
" Jamais cinéma ne fut plus désespéré que le cinéma expressionniste allemand " dit le critique Paul Warren.
Re: Ciné-club
le plaisirest un film français réalisé par Max Ophüls, sorti en 1952. C'est l'adaptation de trois nouvelles de Guy de Maupassant : Le Masque, La Maison Tellier et Le Modèle.
Le Masque. La soirée étant bien entamée, la fête au Palais de la danse bat son plein. Un homme portant un masque fait irruption parmi les danseurs. Moins agile, moins vif que les autres danseurs, il s'écroule. Un médecin vient à son chevet, le ramène chez lui, où sa femme l'attend, et lui ôte son masque. Sa femme a l'habitude des frasques de son mari, un homme âgé qui fut coiffeur et la coqueluche des dames du monde en son jeune âge. Toujours prête à lui pardonner, elle explique sa vie au docteur, qui s'en retourne au Palais de la danse. Il vient de rencontrer son double plus âgé.
La Maison Tellier. Dans le salon Jupiter de la « maison » la plus courue de la ville, Julia Tellier règne parmi ses gracieuses pensionnaires : Mme Rosa, Mme Flora dite « Balançoire », Mme Raphaële, Mme Fernande, Mme Louise dite « Cocote ». Mais un soir les habitués, dépités, trouvent porte close. C'est que Madame et ses pensionnaires sont parties pour un village voisin de Normandie assister à la première communion de Constance, la fille de Joseph Rivet, le frère de Madame. Ces dames font sensation au village où tout le monde ignore la profession de Julia. Pendant la cérémonie, le vertige de la pureté les saisit et elles éclatent en sanglots. L'émoi gagne l'assistance et l'évènement revêt une ampleur inattendue. Dans le village on parlera longtemps des « dames de la ville ». Un peu saoul, Joseph Rivet fait une piteuse tentative de séduction de Mme Rosa. Sur le chemin du retour, avant de reprendre le train, elles s'arrêtent en chemin pour cueillir des fleurs, dont elles garniront la maison Tellier.
Le Modèle. Un jeune peintre séduit une jeune fille et la prend comme modèle. Ils emménagent d'abord heureux d'être ensemble puis le couple commence à se disputer. Lassé, il ignore ses menaces de désespérée. Elle se défenestre. On les voit à la fin, lui poussant son fauteuil roulant sur une plage. Le malheur les a soudés à jamais. Le film se termine avec cette énigmatique réplique "le bonheur n'est pas gai".
Le Masque. La soirée étant bien entamée, la fête au Palais de la danse bat son plein. Un homme portant un masque fait irruption parmi les danseurs. Moins agile, moins vif que les autres danseurs, il s'écroule. Un médecin vient à son chevet, le ramène chez lui, où sa femme l'attend, et lui ôte son masque. Sa femme a l'habitude des frasques de son mari, un homme âgé qui fut coiffeur et la coqueluche des dames du monde en son jeune âge. Toujours prête à lui pardonner, elle explique sa vie au docteur, qui s'en retourne au Palais de la danse. Il vient de rencontrer son double plus âgé.
La Maison Tellier. Dans le salon Jupiter de la « maison » la plus courue de la ville, Julia Tellier règne parmi ses gracieuses pensionnaires : Mme Rosa, Mme Flora dite « Balançoire », Mme Raphaële, Mme Fernande, Mme Louise dite « Cocote ». Mais un soir les habitués, dépités, trouvent porte close. C'est que Madame et ses pensionnaires sont parties pour un village voisin de Normandie assister à la première communion de Constance, la fille de Joseph Rivet, le frère de Madame. Ces dames font sensation au village où tout le monde ignore la profession de Julia. Pendant la cérémonie, le vertige de la pureté les saisit et elles éclatent en sanglots. L'émoi gagne l'assistance et l'évènement revêt une ampleur inattendue. Dans le village on parlera longtemps des « dames de la ville ». Un peu saoul, Joseph Rivet fait une piteuse tentative de séduction de Mme Rosa. Sur le chemin du retour, avant de reprendre le train, elles s'arrêtent en chemin pour cueillir des fleurs, dont elles garniront la maison Tellier.
Le Modèle. Un jeune peintre séduit une jeune fille et la prend comme modèle. Ils emménagent d'abord heureux d'être ensemble puis le couple commence à se disputer. Lassé, il ignore ses menaces de désespérée. Elle se défenestre. On les voit à la fin, lui poussant son fauteuil roulant sur une plage. Le malheur les a soudés à jamais. Le film se termine avec cette énigmatique réplique "le bonheur n'est pas gai".
So-Back- Nombre de messages : 3652
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Re: Ciné-club
La passion de Jeanne d'Arc, de Carl Theodor Dreyer, 1928.
Renée Falconetti, son unique grand rôle, Michel Simon (un juge) et Antonin Artaud...
Chef d'oeuvre absolu ! Vu deux fois en boucle aujourd'hui. Je suis bouleversé...
" Film reconnu comme l'un des dix chef-d'œuvres du cinéma" 30/06/1978 Libération
Renée Falconetti, son unique grand rôle, Michel Simon (un juge) et Antonin Artaud...
Chef d'oeuvre absolu ! Vu deux fois en boucle aujourd'hui. Je suis bouleversé...
" Film reconnu comme l'un des dix chef-d'œuvres du cinéma" 30/06/1978 Libération
Re: Ciné-club
*La Main au collet (1955) avec Cary Grant et Grace Kelly :
Le gentleman cambrioleur John Robie, surnommé Le Chat, est parti sur la Côte d'Azur. Alors qu'il s'apprête à mener une retraite paisible, plusieurs villas sont pillées et reçoivent toutes la même signature, la patte du chat. John est soupçonné d'être le voleur.
Le gentleman cambrioleur John Robie, surnommé Le Chat, est parti sur la Côte d'Azur. Alors qu'il s'apprête à mener une retraite paisible, plusieurs villas sont pillées et reçoivent toutes la même signature, la patte du chat. John est soupçonné d'être le voleur.
So-Back- Nombre de messages : 3652
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Re: Ciné-club
M. So-back continue de semer son nom partout sur le site. Pour ce faire il recopie simplement les résumés de présentation de films...
J'ai vérifié, c'est le cas du premier du dernier et de quelques autres citations entre les deux. Vous pouvez le faire aisément, il suffit de copier le résumé dans Qwant ou Google.
Cette pratique n'est pas d'ailleurs franchement légale et pourrait attirer des ennuis à Vos.E. Si encore notre satureur en-chef prenait la peine de respecter l'obligation légale de citation en indiquant ses sources... mais non, des fois qu'on croirait que ces textes sont de lui.
Non seulement il trolle, il sature mais il est injuste et pervertit la rubrique : son créateur Lol47 au moins lui se fend d'un commentaire en propre...
Mais So-back continue de se faire passer pour un gentil qui "anime" le forum et les autres pour de chiants grincheux. D'ailleurs il y a fort à parier que l'animal, à peine reçu sa petite notification que quelqu'un a posté sur l'un des fils qu'il suit, va y aller de sa petite réponse pour dire combien il respecte les règles du site, que sans lui Vos.E serait mort etc. etc.
J'ai vérifié, c'est le cas du premier du dernier et de quelques autres citations entre les deux. Vous pouvez le faire aisément, il suffit de copier le résumé dans Qwant ou Google.
Cette pratique n'est pas d'ailleurs franchement légale et pourrait attirer des ennuis à Vos.E. Si encore notre satureur en-chef prenait la peine de respecter l'obligation légale de citation en indiquant ses sources... mais non, des fois qu'on croirait que ces textes sont de lui.
Non seulement il trolle, il sature mais il est injuste et pervertit la rubrique : son créateur Lol47 au moins lui se fend d'un commentaire en propre...
Mais So-back continue de se faire passer pour un gentil qui "anime" le forum et les autres pour de chiants grincheux. D'ailleurs il y a fort à parier que l'animal, à peine reçu sa petite notification que quelqu'un a posté sur l'un des fils qu'il suit, va y aller de sa petite réponse pour dire combien il respecte les règles du site, que sans lui Vos.E serait mort etc. etc.
teverino- Nombre de messages : 460
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Re: Ciné-club
teverino a écrit:M. So-back continue de semer son nom partout sur le site. Pour ce faire il recopie simplement les résumés de présentation de films...
J'ai vérifié, c'est le cas du premier du dernier et de quelques autres citations entre les deux. Vous pouvez le faire aisément, il suffit de copier le résumé dans Qwant ou Google.
Cette pratique n'est pas d'ailleurs franchement légale et pourrait attirer des ennuis à Vos.E. Si encore notre satureur en-chef prenait la peine de respecter l'obligation légale de citation en indiquant ses sources... mais non, des fois qu'on croirait que ces textes sont de lui.
Non seulement il trolle, il sature mais il est injuste et pervertit la rubrique : son créateur Lol47 au moins lui se fend d'un commentaire en propre...
Mais So-back continue de se faire passer pour un gentil qui "anime" le forum et les autres pour de chiants grincheux. D'ailleurs il y a fort à parier que l'animal, à peine reçu sa petite notification que quelqu'un a posté sur l'un des fils qu'il suit, va y aller de sa petite réponse pour dire combien il respecte les règles du site, que sans lui Vos.E serait mort etc. etc.
C'est vrai.
Re: Ciné-club
L'été en pente douce
Bacri, Villeret, Laffont ( la fille de...), Bouise et Guy Marchand.
Il fait chaud, chaud, chaud, Il vaut dix fois l'été meurtrier.
Bacri, Villeret, Laffont ( la fille de...), Bouise et Guy Marchand.
Il fait chaud, chaud, chaud, Il vaut dix fois l'été meurtrier.
Re: Ciné-club
Merci de la suggestion. Mignonne allons voir. D'après les bagnoles je daterais ce film de 1979-1983, mais pas sûr. Je file derechef m'instruire sur AlloCiné. J'adore Guy Marchand, à mon avis meilleur en acteur qu'en chanteur, avec son air désabusé. Ici bien dans les années pétrole-Pompidou : la bagnole avant tout, objet de possession et comme telle en concurrence avec les dames tout en étant un instrument voire un outil de séduction. Surtout une italienne (je regarderai le film rien que pour savoir si on entendra à un moment ou à l'autre un klaxon à l'italienne, vous savez : talà- talalaLAlala ...!)
teverino- Nombre de messages : 460
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Re: Ciné-club
Suis-je bête : la date (1985) est incrustée en haut de la bande annonce. En plus j'ai perdu à 2 ans. Reste le klaxon...
teverino- Nombre de messages : 460
Age : 67
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Découverte d'nouveau film inédit de Truffaut
Il s'appelle Gill et John.
Il sera projeté en extérieur samedi à l'Arc de Triomphe.
Il sera projeté en extérieur samedi à l'Arc de Triomphe.
teverino- Nombre de messages : 460
Age : 67
Date d'inscription : 23/05/2014
Re: Ciné-club
Ce confinement a-t-il permis de dénicher des pépites ?
Sahkti- Nombre de messages : 31659
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Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Ciné-club
Le confinement lui-même, pas vraiment, j'ai vite oublié les films que j'ai vus sur mon petit écran, même quand je les ai aimés. C'est comme si les films étaient faits - pour prendre toute leur force sur notre esprit - pour cette situation si particulière de la grande salle obscure, où on est enfermé avec d'autres gens.
Du coup, les séries convenaient mieux parce que soirée après soirée les personnages, les lieux, le récit m'imprégnaient, et je pouvais me réjouir de voir se développer toute la complexité, l'ambiguïté, le côté burlesque ou contemplatif, une temporalité différente...J'ai bien aimé "unorthodox", "breaking bad", et pas mal d'autres.
Mais entre deux confinements j'ai pu aller au cinéma et voir "Drunk", et c'était exactement le film qui convenait à la situation : une méditation très drôle et intelligente sur ce qui fait notre liberté d'être, notre lien social.
Du coup, les séries convenaient mieux parce que soirée après soirée les personnages, les lieux, le récit m'imprégnaient, et je pouvais me réjouir de voir se développer toute la complexité, l'ambiguïté, le côté burlesque ou contemplatif, une temporalité différente...J'ai bien aimé "unorthodox", "breaking bad", et pas mal d'autres.
Mais entre deux confinements j'ai pu aller au cinéma et voir "Drunk", et c'était exactement le film qui convenait à la situation : une méditation très drôle et intelligente sur ce qui fait notre liberté d'être, notre lien social.
Re: Ciné-club
La Grande Belleza !
Très curieux d'avoir votre avis,
Antoine
Très curieux d'avoir votre avis,
Antoine
Jand- Nombre de messages : 306
Age : 27
Date d'inscription : 05/04/2016
Re: Ciné-club
À Beyrouth, cinq femmes se croisent régulièrement dans un institut de beauté, microcosme coloré. Elles parlent des hommes, de sexe, de maternité... Une comédie sensuelle et extravertie, qui a obtenu de nombreux prix à San Sebastian et à Stockholm.
-> https://www.arte.tv/fr/videos/039238-000-A/caramel/
-> https://www.arte.tv/fr/videos/039238-000-A/caramel/
jfmoods- Nombre de messages : 692
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Localisation : jfmoods@yahoo.fr
Date d'inscription : 16/07/2013
Re: Ciné-club
Oui, je l'ai vu, mais c'est come "La grande belezza", la seule chose dont je me souvienne c'est que j'e l'ai aimé...on voit trop de films je crois.
Re: Ciné-club
Oh c'est amusant ! Je ne me souviens pas de grand chose de La Grande Belleza mais je peux effleurer le sentiment évoqué par la fin du film ! Les critiques ont été dures je crois ! On a accusé le réalisateur, un jeune réalisateur italien (Paolo Sorrentino) inspiré par Fellini, de faire une pub Calvin Klein plutôt que du cinéma. J'avais trouvé ça dur à un niveau absurde...
Jand- Nombre de messages : 306
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