Mon île
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Mon île
Les jours deviennent courts, ma vie se rétrécit.
Je ne vois que du noir au travers de mes songes.
La nuit est toujours froide, mon âme pleure aussi,
Pour mon crâne qui brûle où personne ne plonge.
Qui me libérera, me donnera un fruit,
Et espérer enfin que la lune prolonge,
Un regard innocent, un sourire, une amie,
Qui réveille mon cœur, depuis hier il se ronge.
Toi qui me voit périr, amaigri mais sincère,
Sauras-tu retrouver l’émotion nécessaire,
Pour chiner le moyen de pouvoir échanger.
Mon oreille acouphène reste tendue et vive,
Pour avoir un espoir un rêve abandonné,
Enfin quitter mon île et regagner ta rive.
Je ne vois que du noir au travers de mes songes.
La nuit est toujours froide, mon âme pleure aussi,
Pour mon crâne qui brûle où personne ne plonge.
Qui me libérera, me donnera un fruit,
Et espérer enfin que la lune prolonge,
Un regard innocent, un sourire, une amie,
Qui réveille mon cœur, depuis hier il se ronge.
Toi qui me voit périr, amaigri mais sincère,
Sauras-tu retrouver l’émotion nécessaire,
Pour chiner le moyen de pouvoir échanger.
Mon oreille acouphène reste tendue et vive,
Pour avoir un espoir un rêve abandonné,
Enfin quitter mon île et regagner ta rive.
pif87- Nombre de messages : 25
Age : 63
Date d'inscription : 21/01/2008
olibiobus aime ce message
Re: Mon île
Bonjour Pif87,
Inscrit en 2008, vous venez ce 22 décembre 2021 déposer ce poème. Bienvenue à lui, donc.
Nous sommes très peu nombreux sur VE, je ne suis pas sûre que vous ayez rapidement beaucoup de retours.
Le mien est assez mitigé, si l'idée en soi vous est personnelle, elle n'est pas très originale, ni vraiment, à mes yeux, bien mise en valeur.
Il est à mon avis très difficile d'écrire en poésie mesurée, car les moindres "maladresses" les moindres défauts sautent aux yeux du lecteur.
Ainsi, je ne vois pas trop le sens du mot Pour au vers 4
Le second quatrain me parait comporter des erreurs de syntaxe
Les deux tercets sont plus harmonieux, cependant.
Sinon, ce serait bien d'éviter les hiatus, les rimes masculines/féminines.
Je suis exigeante, en poésie, désolée.
Éclaircie
Inscrit en 2008, vous venez ce 22 décembre 2021 déposer ce poème. Bienvenue à lui, donc.
Nous sommes très peu nombreux sur VE, je ne suis pas sûre que vous ayez rapidement beaucoup de retours.
Le mien est assez mitigé, si l'idée en soi vous est personnelle, elle n'est pas très originale, ni vraiment, à mes yeux, bien mise en valeur.
Il est à mon avis très difficile d'écrire en poésie mesurée, car les moindres "maladresses" les moindres défauts sautent aux yeux du lecteur.
Ainsi, je ne vois pas trop le sens du mot Pour au vers 4
Le second quatrain me parait comporter des erreurs de syntaxe
Les deux tercets sont plus harmonieux, cependant.
Sinon, ce serait bien d'éviter les hiatus, les rimes masculines/féminines.
Je suis exigeante, en poésie, désolée.
Éclaircie
Re: Mon île
Ce que vous dit Eclaircie, c'est que vous n'avez pas le droit de vous pendre avant que la corde ne soit parfaitement enroulée.
Je ne m'y connais pas beaucoup en prosodie (entre autres). Je sentais à la lecture une sorte de roulis agréable, qui me tenait éloigné du sens.
L'effet que produit parfois une poésie en langue étrangère.
Je ne m'y connais pas beaucoup en prosodie (entre autres). Je sentais à la lecture une sorte de roulis agréable, qui me tenait éloigné du sens.
L'effet que produit parfois une poésie en langue étrangère.
'toM- Nombre de messages : 278
Age : 68
Date d'inscription : 10/07/2014
Re: Mon île
j'ecoute les remarques... et vous propose cette version ameliorée ..
la contraite du texte sublime l'expression....
Les jours deviennent courts, ma vie se rétrécit.
Je ne vois que du noir au travers de mes songes.
La nuit est toujours froide, mon âme pleure aussi,
Mon crâne se consume car personne n’y plonge.
Qui me libérera, me donnera un fruit,
Pour espérer enfin que la lune prolonge,
Un regard innocent, un sourire infini,
Qui réveille mon cœur, depuis hier il se ronge.
Toi qui me voit périr, amaigri mais sincère,
Sauras-tu retrouver l’émotion nécessaire,
En tenant le moyen de pouvoir me parler.
Mon oreille acouphène reste tendue et vive,
Pour avoir un espoir un rêve abandonné,
Enfin quitter mon île et regagner ta rive.
la contraite du texte sublime l'expression....
Les jours deviennent courts, ma vie se rétrécit.
Je ne vois que du noir au travers de mes songes.
La nuit est toujours froide, mon âme pleure aussi,
Mon crâne se consume car personne n’y plonge.
Qui me libérera, me donnera un fruit,
Pour espérer enfin que la lune prolonge,
Un regard innocent, un sourire infini,
Qui réveille mon cœur, depuis hier il se ronge.
Toi qui me voit périr, amaigri mais sincère,
Sauras-tu retrouver l’émotion nécessaire,
En tenant le moyen de pouvoir me parler.
Mon oreille acouphène reste tendue et vive,
Pour avoir un espoir un rêve abandonné,
Enfin quitter mon île et regagner ta rive.
pif87- Nombre de messages : 25
Age : 63
Date d'inscription : 21/01/2008
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