Sombre chevalier

Re à tous ceux que j'ai déjà vu. Voilà une ébauche d'une nouvelle surement. Excusez moi pour les fautes d'orthographes.


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Comme un soupir dans l’ombre, une forme se découpe du fond sombre. Cette forme de couleur argentée bascule de gauche à droite, le son quotidien du coucou retentit alors. Suivit d’un long silence. Puis les craquements de plancher resurgissent plus intriguant que jamais. Des feuilles blanches trônent au sol. Dans la pénombre on peut apercevoir le bras de cette forme donnant des coups plus ou moins violent de gauche à droite. Toujours autant mystérieux il s’arrête, et recommence il s’emble y prendre du plaisir. Il fait toujours nuit noire dehors, les conifères basculent eux aussi dans le sens du vent pour les plus faibles. Les étoiles ne ressortent que mieux dans ce ciel bleu nuit. Une chouette dans son vol cache la lune, ce qui assombri encore plus la pièce. Mes yeux semblent s’habituer à l’obscurité, tel un chat guettant sa proie je l’observe encore, une fois de plus. Je m’avance prudemment, sans un bruit, attendant le bon moment pour lui faire la surprise. Je sens les battements de mon cœur à l’allure où j’avance s’accélérer petit à petit. J’entends le bruit de l’eau, à la fois net et flou. Je le vois pinceau à la main, le plongeant à chacun de mes pas. A mesure où j’avance je le voit mieux, cachant son chef d’œuvre toujours aussi fière de lui. Un artiste, c’est qu’il a dût talent le petit. Disait chaque jour le boulanger. Et comme chaque soir, j’ai trop peur, qu’il me haïsse, je cède. Je recule plus vite que je n’avançais. Et je disparu à mon tour dans l’obscurité. Je cache la lune comme cet oiseau le cachait, seulement je suis accrochée à un arbre pour mieux le voir. Et c’est à son tour de s’avancer quittant son tableau, sans doute pour voir qui à ouvert la fenêtre. Il ne s’attarde même pas, il est habitué à ma visite nocturne, il ne souhaite pas savoir qui vient, il n’a pas peur. Il n’est même pas curieux. Il laisse la fenêtre au cas où je voudrais me montrer au grand jour ; même si il sait que je ne reviendrais pas tout dût moins aujourd’hui. Je ne pars qu’au petit matin comme chaque fois, je descends avec grâce et je rentre chez moi. Certaines personnes se lient d’amitié à d’autre virtuellement par internet, j’ai toujours refusée de le contacter autrement que par téléphone : je l’appelle avant de venir le voir, et je l’écoute il me parle de ses tableaux, de ses sculptures. Je paye des factures affolantes, certains auraient arrêté, mais moi, non. J’ai continué au plus grand malheur de mes proches, ma nouvelle famille. J’ai tout abandonnée pour lui. Et pourtant j’étais enfin heureuse épanouie. Même si mes enfants le jalousaient, même si ses parents me détestaient. Je connaissais toute sa famille mais je ne le connaissais à peine, je n’étais sans doute rien pour lui avant, il ma croisé plusieurs fois dans la rue sans même sans rendre compte, je n’ai jamais voulu qu’il sache la vérité. A partir de ce moment là, je ne serais pu une inconnue pour lui, il ne me regarderait plus comme avant. Il ne me répondrait pu au téléphone ; ni à mes mystérieuses cartes anonymes. Pendant plus d’un an, je suis restée anonyme. Ce qui m’à toujours étonnée c’est qu’il n’est jamais chercher à savoir qui j’étais. Le lendemain, je recommence mon rituel habituel, je parti aux alentours de huit heures, laissant les enfants seuls, et je me rendis chez lui. Je grimpe au sapin et je passe par la fenêtre toujours grande ouverte, il était plus tôt que prévue, il n’est toujours pas rentré. Je patiente, j’entreprends de visiter le premier étage, tirée par la curiosité je pénètre dans sa chambre, j’allume la lumière pour mieux voir.


Je ne suis pas très convaincu par ce bout de texte, j'aimerais qu'il dégage une certaine ambiance assez sombre. Merci d'avance pour vos conseils.

Très poétique cette histoire de peintre de la nuit noire. l'idée est bonne mais va demander beaucoup beaucoup de travail. Bon courage :-)
(je ne sais pas pourquoi, j'ai aimé ton texte malgré sa fragilité.)

Merci pandaworks. J'ai continée le texte, j'ai du mal à imaginer la chute. x)

Corrige déjà tes fautes, ça nettoiera. Ensuite, demande-toi, peut-être, ce qui te semble nécessaire dans ce que tu as écrit, ça élaguera.
Tu as les moyens, c'est sûr, d'améliorer ton travail. Travail, oui, c'est le maître-mot, je crois, quand on ne veut pas se contenter de se faire plaisir.
Bon courage.

Merci, je vais rectifier. Pour les fautes ça va être dur...

-Désolée pour le double-post-

En attendant la correction voici la suite :

Les murs de couleurs ocre possèdent une jolie frise peinte à la main sans l’aide de pochoir, des tableaux son accrochés ou posés à peut près partout. J’entendis la grille s’ouvrir, il était trop tard. Je m’accroupie sous son lit en prenant soin d’éteindre la lumière. Je l’entends gravir les escaliers, monter les marches une part une, je m’imagine marchant à son allure, je prends soin d’écouter chaque claquement doigt, chaque son qu’il émet. Je me recroqueville, et j’attends toujours silencieuse. Il se dirige vers la pièce ou je l’observe, ou il peint, je regarde chacun de ses gestes, ses tics … Mais je ne vois plus que ses pieds, je m’approche dangereusement pour pouvoir le voir de plus près. Il regarde sa montre et allume la lumière et referme la fenêtre comme si il savait que je ne viendrais pas ce soir. Mais je suis venue, je le vois il descend chercher son téléphone peut être pour m’appeler ; je traîne longuement jusqu’à la fenêtre, je ne voulais pas rentrer chez moi, retrouver mes enfants énervés, retrouver la routine, l’ennuie, le stress. Pendant ces quelques minutes je me sentais bien, rassurée, heureuse de vivre et surtout épanouie. J’observe une dernière fois cette pièce, pour bien me remémorer chaque meuble, chaque grain de poussière, et je pars comme chaque nuit. Je me fonds dans le décor, laissant tout de même la fenêtre ouverte pour qu’il sache que je suis là, et que je serais toujours là pour veiller sur lui. Je suis chez moi affalée sur le sofa, tranquille, les enfants dorment dans leurs chambre je n’ai même pas pris la peine d’aller les voir. Tout simplement parce que je ne les aime pas, pas comme une mère devrait les aimer en tout cas.

De bleu, les fautes Bloody :-(
Il existe des correcteurs gratuits en ligne, si jamais, comme bonpatron.

Pour ce qui est de l'ambiance sombre, elle est là mais tu devrais aérer un peu le texte, ne pas le présenter sous la forme d'un bloc monolithique qui empêche de respirer, parce que ça risque justement d'empêcher d'apprécier l'ambiance telle qu'elle est. Tout se suit et finit par se ressembler, alors qu'il y a une certaine touche poétique qui mériterait d'être mieux exploitée.

Relis le texte et vois où tu pourrais alléger, élaguer, supprimer des détails inutiles. Ainsi tu vas mettre l'accent sur des éléments plus essentiels.