À un lettre près : Exo éphémère

souvent il la battait fort. Cette fois, il a pris un couteau et l'a trouée de coups

quand en boîte de nuit le beat blesse, autant prendre un whisky sourd

Vouloir le leurre et l'argent des leurs.

peut-on dire d'un hermaphrodite qui n'a jamais fait l'amour qu'il est verge ?

Alors Yali ? Pas inspiré par cet exo effet père ?

à l'hermaphrodite encore
dame you

mais crève de bavardage

conne nuit

grieg a écrit:conne nuit

mords bien !

Et comme qui dort dine, si vous dormez (mordez) bien, vous finirez, question repas ou repos, repus.

au bordel, je me suis fait suer

un couple s'étreint et s'embrasse, s'embrase et s'éteint.

ton jeu kilis est obsédant
m'a crevé le rêve
je n'arrive même plus à lire sans chercher les mots à amputer ou à greffer

grieg a écrit: un couple s'étreint et s'embrasse, s'embrase et s'éteint.

quand la coupe est pleine, le couple peine.

grieg a écrit:ton jeu kilis est obsédant
m'a crevé le rêve
je n'arrive même plus à lire sans chercher les mots à amputer ou à greffer

Oui, ça arrive aux joueurs pathrologiques ;-)

Le remède conseillé: faire MC pour un petit exo live sur VE...

peux pas
qui trop embrase mal éteint
suis parti trop souvent, les exos en ont pâti

Easter(Island) a écrit:quand la coupe est pleine, le couple peine.

mais quand le couple peine, parfois la pine copule seule

chant alcoolique :
la soulitude ça n'existe pas
la soulitude, ça n'existe paaaaaass

placard :
quand père partit, mère en pâtit d'autant plus, que père se para de perle

il faut que cette obsession cesse et que je me fasse cette fesse

masturbation :
il prit la ceinte verge

(ok c'est triché pour ceinte : deux lettres)

cet homme là, j'en pense le plus grand rien

et tu baisses d'un ton quand tu t'agresses à moi

le puceau d'acné couvert
se trouva fort dépourvu
quand la baise fut venue

briefing à la caserne :
le sergent explose la situation

l'embaumeur est un redresseur de mort

pédicure exorciste :
Sors de ce cor !

le chiropracteur irait bien tirer un cou

grieg a écrit:et tu baisses d'un ton quand tu t'agresses à moi

Pas mal !!!

grieg a écrit:pédicure exorciste :
Sors de ce cor !

nul :0)))))

grieg a écrit:cet homme là, j'en pense le plus grand rien

celle là aussi me fait rire

Le chiropracteur irait bien tirer un cou

le cou franc du footballeur.

lemurs ont des oreilles.

Lyra will a écrit:

grieg a écrit:pédicure exorciste :
Sors de ce cor !

nul :0)))))

pardon !

saton sort de ce cor

c'est mieux

ptite côte du matin, trésor de picrate

Pères fondateurs de la Réforme, Luthin et Calver sont à l'origine des deux grands courants du protestantisme.

Lyra will a écrit:

grieg a écrit:et tu baisses d'un ton quand tu t'agresses à moi

Pas mal !!!

Et tu baises un thon quand tu t'agresses à moi.

J'adore ces trois-là. Quelle inspiration, grieg !
« Cet homme-là, j'en pense le plus grand rien. »
« Et tu baisses d'un ton quand tu t'agresses à moi ! »
« L'embaumeur est un redresseur de mort. »

alex a écrit:J'adore ces trois-là. Quelle inspiration, grieg !
« Cet homme-là, j'en pense le plus grand rien. »
« Et tu baisses d'un ton quand tu t'agresses à moi ! »
« L'embaumeur est un redresseur de mort. »

Oui, vraiment. "Le plus grand rien" est toutefois attribué à Andy Wharrol (bien sûr traduit de l'anglo-américan, Easter devrait pouvoir nous donner la v.o)

Cela m'a pour ma part rappelé l'à-peu-près de Montherlant dans les Jeunes Filles. Pierre Costals y termine ses lettres par « Bien à vous » sans fermer la boucle du B, tant et si bien qu'on croit y lire « Rien à vous »... J'ai cru à un clin d'œil, au départ.