Vos recettes (Fricassées de mots)

Pour un velouté de topinambours
Offrez un dîner dans l'intimité
A deux copine et copain de toujours
Au petit resto "Le jardin secret"
Assiettes et verres sont dépareillés
Mais furtif le chef sait vous régaler.

je lisais le menu et j'avais les yeux aussi grands que le ventre !

Frédéric Prunier a écrit:je lisais le menu et j'avais les yeux aussi grands que le ventre !

tu m'otes (avec circonflexe que j'ai pas) les mots de la bouche ! :-)

Sahkti a écrit:

Frédéric Prunier a écrit:je lisais le menu et j'avais les yeux aussi grands que le ventre !

tu m'otes (avec circonflexe que j'ai pas) les mots de la bouche ! :-)

l'excision du circonflexe, si elle n'est pas préjudiciable à la rondeur du o, peut demander un temps de cuisson plus long, au niveau de la prononciation, nôn ?

coline Dé a écrit:Topinambour cru, en tranche épaisse tartinée d'un peu de chèvre frais et surmontée d'un cerneau de noix... je ne vous dis que ça !

Miam !
Tiens ben il nous faudrait une bonne petite guerre, ça nous ferait du bien.

PCP t'as pas honte !!!

Miam !
Tiens ben il nous faudrait une bonne petite guerre, ça nous ferait du bien.

Si c'est juste pour déguster des topinambours, parle-nous plutôt des ruta-bagoûts ces autres rescapés de la der des ders !

Ah, Arielle, cœur d’artichaut, c’est justement le goût du topinambour. J’aime bien ce mot : topinambour, qui me rappelle tambour, et du coup ça me va bien.

Une petite soupe pour Sahkti :

Juillet/août en tomates abondent
les choisir longues plutôt que rondes
charnues comme des fesses, et pas des mollassonnes
préférez les et  fermes et polissonnes

Couper en petits dés, mais vraiment très petits
les tomates susdites, un concombre - non : demi
et deux nectarines encore vierges - qu'elles disent !-
point trop mûres, jeunettes et pour la gourmandise

deux petit oignons doux
quelques feuilles de pistou

Ajoutez sel et poivre ( le szechuan est extra )
et là, c'est l'hérésie : mixez sans hésiter une boîte de tomates en dés
(et voilà, patatras, patatras
c'était le bruit de ma réputation brisée !)

Tant pis je continue : dans ce coulis mixé verser vos petits dés
une brindille de thym, un trait de tabasco,
léchez vos doigts rougis, enfermez au frigo
une heure  au moins et dégustez
La soupe froide de Coline Dé !

Miam, je me régale déjà, merci Colinette !

Optez pour la verrine.

Mais avant tout mixez deux avocats honnêtes
Je veux dire un peu mûrs( ne soyez donc pas bête !)
Une banane, et le jus d'un citron jaune ou vert,
Celui de deux oranges, et voilà pour les vers :

le poème finit là, et la recette aussi. Plus simple, vous connaissez ?
Ah, j'allais oublier : un tour par le frigo, avant de déguster.

coline Dé a écrit:Optez pour la verrine.

Mais avant tout mixez deux avocats honnêtes
Je veux dire un peu mûrs( ne soyez donc pas bête !)
Une banane, et le jus d'un citron jaune ou vert,
Celui de deux oranges, et voilà pour les vers :

le poème finit là, et la recette aussi. Plus simple, vous connaissez ?
Ah, j'allais oublier : un tour par le frigo, avant de déguster.

J'ajouterais des cacahouètes
Avec un peu de ciboulette,
De la poitrine bien fumée,
Et les croquettes de Mémé...

Niet, camarade : c'est un dessert !

coline Dé a écrit:Niet, camarade : c'est un dessert !

Zut et flute ! moi qui pensais à un apéritif !

Bisou Coline.

Pascal-Claude Perrault a écrit:

coline Dé a écrit:Niet, camarade : c'est un dessert !

Zut et flute ! moi qui pensais à un apéritif !

Bisou Coline.

Pour un apéritif ça manque un peu d'alcool...

Gobu a écrit:
Pour un apéritif ça manque un peu d'alcool...

On attend tes fricassées de cocktails.

coline Dé a écrit:Optez pour la verrine.

elle m'a l'air bien sympathique ! Voilà qui devrait bien passer, de surcroît... merci :-)

Gobu a écrit:* Eau-de-vie poire Williams à 50° (et plus si affinités) de fabrication SUISSE exclusivement (pour Lady S. o’ S.)[/justify]

Ho oui !! Je connais très bien :-)) (hmmmmmmm)

Bon, j'ai tous les ingrédients sous la main pour préparer ta recette-cocktail (et ça ne peut me faire que du bien, zut de zut après tout ;-)

Sahkti a écrit:et ça ne peut me faire que du bien

Et comment donc. Avec toute la Modération, même.

Et tu s'ras aimab' de nous de nous communiquer ton impression. Si t'as pas trop forcé la dose. C'est une boisson de garde suisse. Au moins.

La teurgoule d’Houlgate

Faire chauffer 2 litres de bon lait Normand jusqu’à ce que ça fasse des petites bulles à la surface, un peu comme sur le nez de pépé René.
Ajouter 25 morceaux de sucre ou 25 cuillerées à café ou au pif, c’est bien aussi.
2 cuillerées à café de cannelle de la Réunion pour les voyages qui forment la jeunesse.
1 pincée de sel de Guérande portée par un petit vent de noroît.
150 gr de riz rond riche en amidon.

Quand ça commence à ressembler à du vomi de mammouth, verser la matière en fusion dans un grand récipient en terre et ajouter une livre de beurre pour pas que ça attache au fond.
Faire cuire la teurgoule à four doux pendant 5 jours et pendant ce temps retournez vous coucher ou tricoter ou vous engueuler avec pépé René qu’arrête pas de faire des mouillettes avec n’importe quoi, tout ça parce qu’il n'a jamais eu la chance de connaître Nadine de Rothschild.
Déguster quand c’est encore très chaud.
Pour dégager rapidement le gosier et éviter tout risque d’occlusion, arroser copieusement de cidre ou d’alcool à brûler sans jouer au cracheur de feu.
Pour la petite histoire, Robert Surcouf en faisait venir des palanquées à catapulter sur le canal du Mozambique. Le malouin se serait d’ailleurs cassé un gros orteil en laissant choir une teurgoule 3 ans d’âge lors de la fameuse prise du Triton. Pourtant Newton l’avait bien prévenu en faisant l’andouille avec des pommes.

Je voulais mettre une photo mais j'ai pas arrivé.

vertigo a écrit:La teurgoule d’Houlgate

Faire chauffer 2 litres de bon lait Normand jusqu’à ce que ça fasse des petites bulles à la surface, un peu comme sur le nez de pépé René.
Ajouter 25 morceaux de sucre ou 25 cuillerées à café ou au pif, c’est bien aussi.
2 cuillerées à café de cannelle de la Réunion pour les voyages qui forment la jeunesse.
1 pincée de sel de Guérande portée par un petit vent de noroît.
150 gr de riz rond riche en amidon.

Quand ça commence à ressembler à du vomi de mammouth, verser la matière en fusion dans un grand récipient en terre et ajouter une livre de beurre pour pas que ça attache au fond.
Faire cuire la teurgoule à four doux pendant 5 jours et pendant ce temps retournez vous coucher ou tricoter ou vous engueuler avec pépé René qu’arrête pas de faire des mouillettes avec n’importe quoi, tout ça parce qu’il n'a jamais eu la chance de connaître Nadine de Rothschild.
Déguster quand c’est encore très chaud.
Pour dégager rapidement le gosier et éviter tout risque d’occlusion, arroser copieusement de cidre ou d’alcool à brûler sans jouer au cracheur de feu.
Pour la petite histoire, Robert Surcouf en faisait venir des palanquées à catapulter sur le canal du Mozambique. Le malouin se serait d’ailleurs cassé un gros orteil en laissant choir une teurgoule 3 ans d’âge lors de la fameuse prise du Triton. Pourtant Newton l’avait bien prévenu en faisant l’andouille avec des pommes.

Je voulais mettre une photo mais j'ai pas arrivé.

:0)

Mais c'est quand même bon la teurgoule...Quant a pépé, il a surtout eu la chance de ne pas connaître N. de R.

Vrai que c'est bon la teurgoule. Et puis ça permet de rester debout par grand vent.

vertigo a écrit:Quand ça commence à ressembler à du vomi de mammouth

miam :-)

Je voulais mettre une photo mais j'ai pas arrivé

ha ben alors ?! :-)

Au supermarket du coin ils étaient en rupture de stock de pépé René.
Faudra que je fasse sans l'ingrédient principal...

On est assis bien parallèles, rangés à la manière de deux endives au jambon au fond d’un plat. Vous avez proposé de me ramener chez moi parce qu’il est déjà très tard. J’ai dit oui merci. Je n’y connais rien en voitures mais ça m’a tout l’air d’être une Fuego avec ses bandes latérales noires. Je souris à vous voir assis sur le capot, fier comme un paille-en-queue sous le vent. C’est juste après cette fête, cette raclette party. Au mois d’août c’est quand même comique. Il avait fait très chaud autour de l’engin électrique, on était tous en eau et sous les aisselles fumantes des gars avaient poussé de gros ronds obscurs.

Mes cheveux longs ont bu tout le reblochon AOC et puis la viande Helvète aussi. Mais ce n’est pas grave parce que l’odeur fromagère de nos corps tropiques se mélange dans la pénombre, devenant presque solide à l’intérieur des narines. On se croirait en pleine transhumance mais sans le chant de ferraille des clochettes, alors je propose d’ouvrir grand les vitres. Vous avez l’air canaille, un peu voyou, du genre à avoir des créatures oxygénées pendues à vos chemises et des hôtels rougissants au bord des lèvres. Moi j’aime bien ça les hommes à femmes. J’aime bien les mecs qui bouffent avec leurs doigts, l’exogamie, tout ça, à deux/trois détails près je voterai presque pour le retour du Neandertal à poil dur.

Vous venez de remarquer les turbulences sur ma peau, l’affolement de mes muscles horripilateurs et moi la rondeur accueillante du petit animal en cage dans votre jean. Je ne couvre pas mes cuisses, le tendre duvet blond hérissé comme une barricade finit d’achever mon image de nonchalance feinte. Par la vitre, je goûte aux pigments changeants du fleuve. A cette heure tardive et sous les lumières artificielles il est en feu, offrant sa rigueur toute géométrique. Un tableau est là à portée de main, bercé par la houle qui tète mollement les racines des arbres.

Moi je suis bercée par le fondant du siège baquet. En nous foutant bruyamment à la porte, mon hôte spongieuse m'a donné des pinces à escargots héritées de sa mère. A sa mort, elle a récupéré une foultitude de joujoux inanimés, des casseroles fantaisies, des napperons au crochet, des cuillères à boudin, des fourchettes à éléphant, des moulinettes à broyer les bébés, plein de trucs comme ça pour défigurer les cuisines et faire marcher le télé-à-chatte, ou faire semblant d’être heureux ? Il faut dire que le Chautagne avait un peu ourlé l’intérieur de nos têtes et j'aurais très bien pu repartir avec l'urne funéraire de sa mère sous le bras. On se serait refait une des scènes cultes de The big lebowski, j’aurais sniffé les cendres comme Keith Richard celles de son père. Au lieu de ça, les spéculums cagouillesques finissent en boucles d'oreilles mordantes et scintillantes. Ah oui, il faut dire que j'ai toujours eu des idées lumineuses pour faire mon intéressante. Curieusement, vous ne vous laissez pas distraire et continuez à mater mes petits seins nichés dans leurs bonnets de dentelle, deux nids d’hirondelle.

J’aime sentir cet été qui n’est pas encore rentré au port, j’aime entendre rouler les mots dans votre bouche comme des Dragibus. Je suis encore vivante et j’ai semé tous mes habits avec le désordre des cuisines sur la chaussée aux moines.

Un cappi
un cappo, non, un cappucino !

Allez sous la cépée et recueillez les cèpes ( au marché aussi bien) 500 g environ,
Dans le beurre blondinet, jetez une échalote, un oignon pas trop gros, et une mini gousse d'ail, le tout bien émincé.
Faites suer. Ne vous faites pas suer à éplucher les cèpes : dans un bon gros torchon, torchez-les.
Puis allez m'asseoir à l'éminçoir* détaillez en lamelles. ajoutez-les  aux gousses, une cuillère de fécule, mais sans dorer du tout.
Versez  bouillon de poule, un bon demi litron, brindilles de persil, sel et poivre et du thym.
Laissez mijotailler dix minutes tout pile.
Réservez  quelques tranches puis mixer finement au bas mot trois minutes pour le rendre léger.
Servez chaud dans l'assiette, ornez d'une quenelle de chantilly, voilà, bon appétit !

PS on peut aussi le faire avec des champignons de Paris ou moit-moit', ou remplacer la chantilly par un poudrage de parmesan



* l'éminçoir n'existe  que dans  cette recette : un couteau suffit bien !

coline Dé a écrit:Je vous dis à tout à l'heure, mon homme  demande ce qu'on va manger et je n'en ai pas la moindre idée...
Lalalalaa... l'pull de ma vie ... !

moi j'ai préparé le repas ce matin, avant de partir travailler, sinon j'ai la paresse qui m'prend la tête et le reste... debout 7h, café-clopes et... gnocchis ! à la pomme de terre... ma recette pour quatre :
4, 5 patates genre bintje
150 g de farine
1 ou 2 jaune-s d'oeuf
sel
noix de muscade
et pis de l'huile de coude
vous coupez les patates en 4 avant de les faire cuire dans l'eau, ça va plus vite
après vous attendez qu'elles refroidissent un peu
vous les épluchez, vous les écrasez à la fourchette, ou au presse-purée si vous avez, moi j'en n'ai pas
vous ajoutez la moitié de la farine
l'oeuf
vous malaxez
vous ajoutez la farine
ça fait une boule
vous la mettez sur la table farinée
vous la coupez en quatre
vous faites des boudins
vous roulez
vous les coupez en deux
vous coupez vos gnocchis sur un ou deux cm
et pis vous les plongez dans l'eau bouillante
dès qu'ils remontent à la surface, ils sont cuits
vous les passez à la poêle beurrée à mort pour les faire dorer
et miam miam !
avec du parmesan, de la sauce tomate, nature, avec un Osso-bucco... ce que vous voulez quoi...
allez, bon appétit à tous !
pause,

Recette des crêpes de l’amour

• 100 g de farine de gingembre
• 100 g de farine d’ashwaganda
• 100 g de farine de ginseng
• 100 g de farine de piment
• 100 g de guarana
• Poivre
• Piment de Cayenne
• Piments becs d’oiseaux
• Corne de rhinocéros râpée

Mélangez le tout avec une solution aqueuse d’extrait de Ginseng rouge. Faites une pâte. Cuire chaque crêpe avec amour. Consommez chaud. Composez le 18.

Jésus Marie Joseph, t'es pas dingue de mettre ça en ligne ! Si le Prunus tombe là-dessus il va nous sortir ses zanacréonzérotics.

Mais, je veux !

pour une bonne écriture aux hormones
vous prenez le meilleur d'un morceau de poète
que vous faîtes rissoler à petit feu devant une image, un son, une odeur, un souvenir ou une animale...
jusqu'à ce qu'il rende bien son gras

Vous trempez le maigre ainsi essoré dans l'eau glacée, ce qui aura pour effet de lui stopper la cuisson, le ramenant à la vraie vie. Vous pourrez alors soit le conserver au frigo, pour plus tard, et il retournera dans la vraie vie en oubliant ses conneries, soit le saisissement le maintiendra, paraît-il, en forme. Il paraîtrait que le maigre de poète glacé soit très agréable l'été... en tout cas il a l'avantage d'être beaucoup moins calorique que d'autres fantaisies rafraîchissantes.

pour le gras roudoudou aussi séparé, alors que l'on pourrait craindre qu'il disparaisse à la cuisson, vu la quantité d'hormones nécessaires à sa production, je peux vous assurer, que si le support est de qualité, il n'en est rien.
Si le gras de poème fond, c'est que vous achetez du poète versifié en batterie... un bon poème de poète sauvage ne fond pas !!! ...même et surtout aux hormones !!!

donc
si l'idée de déclamer à voix haute cette écriture de poème de poète sauvage aux hormones,
et que cette idée vous titille au plus haut et plus bas points,
je conseille l'utilisation de petits feuilletés, car il est reconnu que la poésie se feuillette

et l'idéal est de trouver l'endroit ad hoc, avec le calme nécessaire. Il faut, pour se déguster le poème, environ entre 30 secondes et 5/10 minutes... ( résumé pour ceux-ce qui n'imagine pas bien l'endroit : calme, isolé, 5/10 minutes )
En principe, cette durée est suffisante, si vous n'avez pas la lecture trop constipée !


... récacapépètulong ! je veux dire...Pour finir,
l'intérêt gustatif d'un bon poème de poète aux hormones n'est plus à démontrer, même du doigt !
On peut, après chaque lecture, s'en lécher comme les babines,  
car en poésie, tout est permis.
surce, bon appétit !

ps :
si le gras est de qualité, l'odeur ne vous quittera jamais  !

je viens de me relire
je crois que j'ai un peu dérapé du poème
je veux dire de la recette

Ah mais je suis une intrépide essayeuse de recettes  qui dérapent, et la tienne me semble ...mmmmh !

Ah, le poète aux hormones selon Frédéric Prunier... Une recette d'artiste fou comme je les aime !

Bon, disons que t'es un tout petit peu pété de la tête quand même ? Je t'adore !

Décidément, je crois que je vais finalement aller à Montluçon, voir cette œuvre d'art vivante...

FOIE GRAS AU SEL ET AUX ÉPICES

Ingrédients

1 foie gras de coincoin ou d'oie de 500 à 600 gr
1 et 1/2 c.c. de cannelle
1/2 c.c. de gingembre en poudre
3 capsules de cardamome écrasées
5 clous de girofle
1/2 c.c. de muscade râpée
50 gr de sucre
1 kg de gros sel de mer (du Guérande, on est pas des bêtes non plus)
Poivre du moulin (évitez la poudre à éternuer)

1 kg de gelée en bloc achetée chez un traiteur.
2 c.s. de cognac ou armagnac

Compresses ou gaze médicale

Mélangez le gros sel et les épices.
Séparez les 2 lobes et retirez les plus grosses veines et nervures.
Reformez le foie gras, poivrez le généreusement.
Enfermez le bien serré dans une gaze.
Versez un peu de sel aux épices dans le fond d’une terrine. Posez le foie dessus et recouvrez avec le reste de sel épicé.
Placez au frais et laissez reposer une vingtaine d’heures, 24 h au maximum.

Videz le sel que vous gardez, pour une prochaine fois, ou pour cuisiner pommes de terre sautées, bouillon, viande... (c'est trop, trop bon !)
Retirez la gaze, et replacez le foie dans la terrine nettoyée.
Faire fondre doucement la moitié de la gelée, y rajouter 1 c.s de cognac ou d'armagnac. Versez dans la terrine, puis la mettre au frais pour que la gelée se solidifie. Recommencez l’opération avec le reste de gelée et alcool afin que le foie soit complètement recouvert (cela se fait en deux fois pour éviter que le foie ne flotte).
Laissez reposer 2 à 3 jours au frais.

Si vous trouvez le foie trop salé, ne mettez pas moins de sel la prochaine fois mais laissez le mariner moins longtemps.

Conservation: 1 semaine au frais.

Mmmmmh merci !