Ici, on parle de : MUSIQUE !

Merci ; meilleur que l'original que j'aime beaucoup :-)))

et comme ma fille adoptive s'appelle ALLLLLLIIIIICCCCCE
et que le pays des merveilles Beurkkkkkkkkkk
Welcome to my nightmare

sinon on a sweet dreams version cauchemardesque :-))


Faites de doux rêves !

Alice était un clown ; Alice n'en est pas une.

Bonne nuit.

Un texte essentiel, et moi aussi comme le Superbe Jean Yanne, je m'interroge : Pourquoi m'as-tu mordu l'oreille ?

La magie du tango : "pourquoi pris-tu mon lobe et me le mordis-tu ?". Je touche à un certain absolu que ni les Rimbaud et Baudelaire ne sauraient atteindre (créons un club, vite !!! ) :

Quel talent avec "the cats", c'est rigolo, sacré Nougaro !!!

Qui est le chat qui est la souris ?

On l'oublie toujours, mais l'éternel féminin et l'éternel masculin ... :

C'est bien de vieillir parfois.

Pour terminer avec Claude, cette petite merveille, con !

Une des plus belles chansons d'amour sublimée dans cette traduction faite par un français, et chantée par le grand Paco :

Celle là je la remettrai toujours, toujours ... un problème, une solution à ce qui interroge l'humanité depuis toujours. Merci Goytisolo, vraiment, merci :

Moi, je l'aime Sylvie...

J'y go, trop fatigué ce soir.

J'aime beaucoup Delpech par nostalgie, Jonasz parce qu'il a du talent, vartan pour la rengaine de la "Maritza" et rien de plus

Je continue dans ma langue "maternelle", en remettant :

Un dernier. Tu devrais aimer. D'ailleurs, j'ai écrit sur lui.

Les yeux de Federico Garcia Lorca

Per catalunya de dema, pel mon de dema, qu'en Lluis anunciaba ja lo que podra advenir als nostres infants, amb la eterna esperancia :

Cette femme est pleine de talent, mais je ne sais pas, je crois que l'énergie est ailleurs cher Lorca, plus dans les mots que dans la démonstration :



Ou :


Ou la plus belle, la plus triste :

Pour moi un des textes fondateurs de la poésie contemporaine, loin du misérable "manifeste surréaliste" de Breton, pâle imitation des écrits rimbaldiens et Ducassiens, et successifs du mouvement dadaïste (et affiliés), "la poésie est une arme chargée de futu"r de Gabriel celaya, qui ouvre la voie(x) clairement à une poésie militante, ce qui n'empêche nullement l'autre, malgré sa "malédiction" (il y a toujours un moment où les poètes deviennent cons, mais il y a toujours une bonne ou une mauvaise raison) :

Une pensée pour ceux qui ont parfois une pensée maladroite, et n'arrivent pas à exprimer une pensée somme toute logique.

Même si je comprends pas toujours ce qu'ils disent ou écrivent (un garçon avait déjà mis ça je crois sur ce fil) :

L'hymne d'un pays, non pas d'un pays, d'une certaine façon de penser, si c'est LLach qui l'exprime ; ce qui fait peur, c'est que ça risque rapidement de revenir dans l'actualité :

Pour faire sourire mon grand-père maternel dans son néant objectif :

La version anar est aussi con que les autres : "l'internationale" ne sera jamais le genre humain, mais la galerie de protraits du clip vaut le détour (et j'aimerai toujours le regard et la vie de Louise Michel) :

Et pour partir sur la pointe des pieds, et me faire plaisir avant tout :

C'est l'été ; je n'aime pas l'été sauf ça, mais c'est en espagnol :-)

Réécoutant ce délicieux programme, j'ai vu que Neruda s'était glissé à la place de Celaya, ce qui a dû leur faire ni chaud ni froid ; mais la poésie qui est un manifeste et une arme chargée de futur c'est de Celaya (Neruda c'est une belle chanson d'amour, ce qu'on lui pardonnera) :

Celaya :

Et c'est là qu'on ne comprend plus rien, la première version étant devenu la bonne.
Pourtant, je suis là parfaitement à jeun, réveillé à 92,5%.

Puisque ces mystères nous échappent feignons d'en être les organisateurs (comme disait notre collègue).

Bonne nuit.

Cette émouvante version de "Laura" que LLach a fait en hommage à sa guitariste qui s'appelle justement Laura, et ce salaud arrive quand même à la faire planter, et pleurer. Quand on vous dit que les hommes sont méchants.

Ah elle est bien celle là, mais il en manque un bout. Plume se prend pour Boby et on se sent tout concave à la fin.
Je vais voir si les écureuils et les vipères cuisent bien dans la garrigue (au soleil il doit faire plus de 40).

Alors allons-y comme en 14, en chantant :

Rumba ouha :

Eh bien c'était supportable ; peu d'habitants (il ont débroussaillé ce matin), à part un iguane qu'on appelle ici lézard vert.
Et je ne sais pourquoi je me suis mis à chanter ce vieux truc. je crois que je vais consulter et me faire interdire d'écriture.

Quand les caves courent chez les flics se mettrent a table, ils sont relachés , alors pour se consoler ils vont chez filles et se mettent à raquer comme des caves

Je sais pas, je suis jamais allé "chez les filles", je pourrais pas, sans doute un fond de puritanisme ou de respect (il en faut, puisque on ne parle jamais de morale, car "le problème avec la morale c'est que c'est toujours la morale des autres", comme disait Ferré parodiant ... ).

Restons musicaux, et faisons notre cinéma :



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