Retour

J’ai pris un détour, puis annoncé mon retour
Un jour de grande marée, en attente d’été
Les éoliennes soufflaient dans la baie
Les mouettes y voyait des créatures conte nature
Impossibles à apprivoiser, aussi autre villégiature

J’accusais quelques années, qui elles riaient
Façon de me dire l’ami, c’est ainsi la vie est pari
Je n’ai jamais hésité à miser, ni oser
Aussi avais-je trop encaissé, trop cabossé
Mon jean usé s’en félicitait, de ces années défis

C’est avec l’immensité que je dialoguai un instant
Elle me répondait par échos amplifiés du vent
Véritable sono, orchestre d’une nature rebelle
Que l’on aime, ou bien changer de décors
Ce n’était pas mon cas, et quels beaux décibels

Ce retour, dont mon étoile avait tracée l’itinéraire
J’y redécouvrais le gout des journées que l’iode inspire
Quand les sens en alerte, la vie reprend l’initiative
De guider mes pas vers ces chemins qui donnent faim
Et continuer l’aventure, raison d’oublier mes incertitudes

Un grand bol d'air marin.
Se méfier du vent. Il peut être très fripon ! :-)

La pléthore de fautes d'ortogaffe me gâche le plézir. D'hommage.

j'ai passé le texte à la lessiveuse " du bonpatron" comme conseillé par le site
Marvejols emploie le mot Pléthore, ( abondance excessive de fautes, en l'occurance)
donc je reposte le texte

J’ai pris un détour, puis annoncé mon retour
Un jour de grande marée, en attente d’été
Les éoliennes soufflaient dans la baie
Les mouettes y voyaient des créatures contre nature
Impossible à apprivoiser, aussi autre villégiature

J’accusais quelques années, qui elles riaient
Façon de me dire l’ami, c’est ainsi la vie est parie
Je n’ai jamais hésité à miser, ni oser
Aussi avais-je trop encaissé, trop cabossé
Mon jean usé s’en félicitait, de ces années défis

C’est avec l’immensité que je dialoguai un instant
Elle me répondait par échos amplifiés du vent
Véritable sono, orchestre d’une nature rebelle
Que l’on aime, ou bien changer de décors
Ce n’était pas mon cas, et quels beaux décibels

Ce retour, dont mon étoile avait tracé l’itinéraire
J’y redécouvrais le gout des journées que l’iode inspire
Quand les sens en alerte, la vie reprend l’initiative
De guider mes pas vers ces chemins qui donnent faim
Et continuer l’aventure, raison d’oublier mes incertitudes

je n'ai pas su lire. je ne sais pas pourquoi.