Exo en direct : Mercredi 27 juin

mais c'est épouvantable, nous polluons le fil exo kazar !

C'est super intéressant en tout cas, et je suis épatée non seulement par les similitudes dans les histoires (et ce que tu en dis kazar) mais par la densité des textes fournis dans un temps qui m'a semblé plus court que d'habitude.

Ce qui sous entend que le MC connait les biotropes et lie ou non ceux ci... Sacré boulot!

Phylisse, il y avait peu de contraintes en tant que telles. Cela a probablement aidé à débrider les phalanges !

Sacha, alors ce bain? Cool non? quelle vie ici... Merci

Merci Kazar et merci à tous me suis régalée et m'en lèche encore les babines.
Pas facile et drôle de défi !
J'ai dû rater un épisode, il manque le duel 2 du far west, notre pendant. J'avais cru comprendre que Kazar avait remplacé Christie ?
Je relirai tout ça à tête reposée et dès que possible.
J'ai perdu mon duelliste dans la poussière de la diligence à moins qu'il ne se soit caché dans un cactus pour serrer Susy Chiver à moins qu'il n'ait préféré "Some".
Bravo à tous et comme Lutti heureuse que Coline nous ait tendu la main, ça valait le détour d'une colline...
Je suis comme vous sciée par le Scénic et le siège bébé.

Effectivement, le fait que les contraintes soient limitées facilite le "téléportage" puisqu'on réagit de prime abord par des stéréotypes que l'on brode selon.

On écrit ainsi naturellement plus vite, puisque l'histoire en elle même est déjà écrite.

C'était très intéressant, et j'espère cette nuit ne pas trop rêver de "bas résille" vu que je bosse encore demain :-)

Bonne nuit.

Merci à vous, les nouvelles surtout.
Sacha, Gobu n'a pas envoyé son texte donc je ne poste pas le mien (duel oblige). J'attendrai le jour, j'attendrai la nuiiiiiit.

Merci Kazar et merci à vous!

aseptans a écrit:

et j'espère cette nuit ne pas trop rêver de "bas résille" vu que je bosse encore demain :-)

M'est avis que ce serait plus agréable que les cactus.

Bonne nuit tout le monde.

Bonne nuit Aseptans. Dutronc se joint à moi...

aseptans a écrit:Effectivement, le fait que les contraintes soient limitées facilite le "téléportage" puisqu'on réagit de prime abord par des stéréotypes que l'on brode selon.

On écrit ainsi naturellement plus vite, puisque l'histoire en elle même est déjà écrite.

C'était très intéressant, et j'espère cette nuit ne pas trop rêver de "bas résille" vu que je bosse encore demain :-)

Bonne nuit.

Bonne nuit cher Co-duelliste gare à la maille !

kazar a écrit:Merci à vous, les nouvelles surtout.
Sacha, Gobu n'a pas envoyé son texte donc je ne poste pas le mien (duel oblige). J'attendrai le jour, j'attendrai la nuiiiiiit.

J'attends avec impatience. Merci j'ai adoré bien qu'à un moment j'ai cru ne pas y arriver, c'est bon l'adrénaline, pas vrai Lutti ?

Lutti a écrit:Bonne nuit Aseptans. Dutronc se joint à moi...

Lutti je te retrouve bien là, j'aurais dû y penser...

Oui Sacha

MERCI EN TOUT CAS

à demain pour une lecture salée

Enfin avec tous les bonbons, elle va être sucrée ta lecture :-)
moi ye vé commenter ce souaar

demain jejeûne

ce qui me rends salée

à demain mimine et tous !
c'était bon !

Tout ce beau monde devrait déjà être au pieu (à part PCP qui n'est pas encore levé).

Si j'en crois le commentaire de Janis, avec ou sans dessous chics, il va y avoir des cactus enfin pas trop quand même !?
Belle nuit à vous tous et encore merci.

Ca y est Kazar, je t'ai envoyé le bazar. J'espère que t'es encore en vie.

Salut à tous et à demain pour le bilan des courses.

Avec deux heures de retard, t'as pas honte dis ?
;-)

Ok je mets en forme je poste et demande à Modération de bien vouloir regrouper notre duel avec les autres.
Bonne nuit à toi l'ami !

5) FAR-WEST (ATTAQUE DE DILIGENCE)
Duel 2 : Gobu (gangster Susy Shiver) contre kazar (Sheriff Thrill Bob)

Gobu

LA DILIGENCE DE TUXEDO CREEK

Tuxedo Creek, le 27 Juin 1882, 07h AM

Sept plombes du mat’ c’est la bonne heure pour se mettre en embuscade dans ce canyon pourri. Y fait déjà jour mais la chaleur est encore supportable. A onze, heures quand cette p… de diligence (mon salopard de vieux , qu’était pasteur, m’ a enseigné – à coups de santiagues dans le cul – qu’y fallait jamais écrire de gros mots, ou alors avec des p’tits points) va passer, y fera plus de 120° F. Si tu sais pas combien ça fait en °C, t’as qu’à consulter l’almanach. En tous cas y fera assez chaud pour carboniser un p…de crotale. Pour ça qu’y sortent de leur trou que la nuit, d’ailleurs. Sont pas aussi barjes que nous, faut bien dire. Bon je vérifie que j’ai tout ce qu’y me faut. Ma Winch 30/30 avec trois boîtes de cartouches, c’est good. Mes deux Colt peacemaker et mes deux ceintures de balles, OK aussi. Bien sûr le Bowie knife aiguisé de frais que je me sers pour dépecer le gibier et m’extraire les bastos de la viande si y faut. Et aussi le sandwich à la viande de tatou pour caler la p’tite faim (jamais se lancer dans un plan braquo le ventre vide, si tu te prends un pruneau dans le buffet, vaut mieux avoir l’estomac plein, ça amortit) Bon j’ai fait le tour…Ah si, of course, une outre d’eau – pour l’hydratation – et la gourde de rye – pas la pisse de chacal qu’y t’vendent au drugstore, mais le sérieux de ce bon vieux Doc « shiverin’ hand » Holliday, çui-là qui te remet les tripes d’équerre – pour calmer la tremblote. Plus qu’à attendre.

Tuxedo Creek, le 27 Juin 1882, 09 AM

L’a fallu, que je m’aplatisse derrière mon rocher pire qu’un lézard cornu. Y avait un petit groupe d’apaches dissidents de la bande à Geronimo et Naiche qui passait sur la crête en quête de gibier, et à défaut de gibier, y z-hésitent pas à tirer sur le gibier de potence. Même quand il s’agit d’une femme. Ben pasque oui, j’suis une femme. D’accord, j’porte pas de robe à crinoline, je joue pas au bingo le dimanche après-midi avec les Dames Patronnesses, je t’expédie ma chique de tabac direct dans le crachoir à quinze pas au saloon et je sais tirer un carré d’as de ma manche quand la déveine s’en mêle, mais j’suis tout de même fendue du milieu et je trimballe sous ma chemise ce qu’y faut pour remplir la main d’un honnête homme, et même d’un malhonnête si affinités. Seulement voilà, j’suis comme ma copine Jane – Calamity pour les intimes et la presse à scandale – j’ai jamais pu me faire à la quiétude du foyer. C’est pour ça que tu peux admirer mon portrait dans tous les bureaux de shérifs du Nouveau Mexique avec un 1 suivi de tas de zéros derrière. Et pour ça aussi que j’suis là à attendre cette p…de diligence au milieu des scorpions au lieu d’écosser les haricots et de torcher les mômes à la ferme familiale.

Tuxedo Creek, le 27 Juin 1882, 10 h AM

Mon informateur était formel. La diligence devait passer à onze heures pétantes. On peut dire ce qu’on veut de la Wells Fargo, à commencer par le pire, mais faut reconnaître que question exactitude y sont les rois. Quand on les charge d’amener du monde ou de la marchandise à bon port, y font ce qu’y faut pour arriver dans les délais, ou alors c’est qu’y sont morts. Et là, c’est ce qui les attend au tournant. Croyez pas, j’ai rien contre le transport routier en général et la Wells Fargo en particulier, mais sur ce coup, fallait qu’y z’y passent. La diligence transportait cette fois-ci cent mille dollars en bons dollars d’argent à destination de la banque de Silver City, et pas de bol, sa route passait pile par le canyon de Tuxedo Creek. Juste là ou je les attendais. Je savais que ce serait pas du cheesecake. Non seulement ils étaient quatre durs à cuire pour garder le butin, mais on leur avait ajouté cette vieille fripouille de Thrill Bob pour faire bon poids. Thrill Bob, tu peux pas le louper. C’est le marshall du Comté d’Albuquerque, et le pire fils de p… à l’ouest du Pecos. Y a pas un cimetière au Nouveau Mexique où tu trouves pas la tombe d’un pauvre type qu’il a dessoudé ou conduit à la potence. Y vendrait sa propre mère pour toucher la prime si elle avait pas été déjà pendue. Bref un mec comme je les aime. Surtout refroidis.

Tuxedo Creek, le 27 Juin 1882, 11 h AM

Pas à dire, y sont pile-poil dans les temps, à la Wells Fargo. Si je m’en sors sans casse, j’enverrais un message de félicitations au big boss de la boîte. Faut toujours saluer la conscience professionnelle, c’est ce que m’enseignait mon salopard de père, entre deux cuites à l’eau-de-vie de cactus. T’as déjà vu chasser un crotale, fils ? Avant de frapper, on l’entend plus, il se fait plus invisible et silencieux qu’un fantôme d’apache. Et puis soudain, y se détend, y fait un barouf d’enfer avec sa queue et y foudroie sa proie avant que t’ais eu le temps de compter jusqu’à zéro. Ben moi c’est pareil. J’ai commencé par flinguer les chevaux de tête. Pan pan. Pour stopper une diligence lancée à train d’enfer, y a pas mieux. Les autres bêtes trébuchent dessus et la carriole se met sens dessus dessous. Le temps que les passagers réagissent, tu peux truffer de plomb tout le sacré bazar. A la 30/30, et comme je tire, y pas une chance qu’un seul en sorte vivant. Seulement y a Thrill Bob. Et lui y l’est pas né de la dernière pluie, surtout que dans ce coin elle doit bien remonter au siècle passé. Dès que j’ai commencé à arroser, il a sauté de son cheval et s’est planqué derrière un gros rocher avec sa carabine et ses deux colts. Pour le sortir de là, je pouvais compter que sur la soif.

- Eh, Thrill Bob, espèce de coyote à foie jaune, c’est toi ?
- Et qui veux-tu que ce soit, Suzy ? T’es toujours la même fille de garce !
- Qu’est-ce tu veux, Bob, on se refait pas.
- Bon et on fait quoi, maintenant ? C’est moi qui ai le fric. Et si t’as le malheur de pointer même le bout de ton joli petit nez, je te l’envoie de l’autre côté du Rio Grande. Tu tires bien, ma poule, mais tu sais que je suis le meilleur.
- D’accord Bob. T’as le pognon, mais moi j’ai la flotte et la gnôle. Si tu fais un seul mouvement vers ton cheval ou la diligence, je te truffe les tripes de plomb. Je tire peut-être moins bien que toi, mais avec ma 30/30 tu sais que j’ai aucune chance de te louper. Alors quand t’auras soif, tu me feras signe. J’ai tout mon temps.

Et je me suis enfilé une bonne rasade de casse-poitrine pour marquer le coup.


Tuxedo Creek , 12 h AM


Au bout d’une heure, les charognards ont commencé à tourner au-dessus de lui. Ils osent pas se pointer tant qu’il y encore de la vie, mais ils se préparent. Eux aussi y z’ont le temps pour eux.

- Eh, Thrill Bob, foutu b…de chacal, t’as vu les vautours ? Y z’ont senti que t’en as plus pour longtemps. Dans peu de temps, la soif aura eu ton compte. Alors décide-toi vite.
- Va te faire f… espèce de salope.
- OK, Bob, c’est comme tu voudras. Quand tu seras plus sec qu’une carcasse de mule dans le désert, j’aurais plus qu’à venir chercher le pognon.

Tuxedo Creek, 13 h AM

- Eh Suzy, t’es encore là ?

Sa voix avait l’air plus faible, mais il avait encore du jus, l’enfoiré.

- Et où veux-tu que je sois ?
- Ecoute…j’ai une proposition à te faire.
- Dis toujours…
- J’ai pas envie de crever de soif pour un fric qu’est même pas à moi…encore si je m’étais fait descendre à la loyale…mais me faire bouffer encore agonisant par les vautours, très peu pour moi. Alors je vais jeter mes flingues devant moi, je vais sortir les mains levées, tu vas descendre de ton rocher pour me filer à boire, et après on verra.
- C’est tout vu. J’ai pas confiance.

Tuxedo Creek, 14 h AM

Il faisait plus de 120° F, là. Même les vautours avaient du mal à planer dans l’air trop chaud. Ça faisait une heure que Bob n’avait plus rien dit. A mon avis il devait être desséché à point. Prenant mon courage à deux mains, j’ai jailli de derrière mon abri et j’ai commencé à ramper vers lui. A chaque instant, je m’attendais à recevoir une balle, mais rien ne venait. Se pouvait-il que je lui aie réglé son compte, à ce rascal ? Avec précaution, je me suis traîné jusqu’au caillou derrière lequel il se planquait. Il était bien là, mais il ne bougeait pas d’un poil. Je l’ai ajusté avec ma carabine, prête à faire feu s’il faisait le moindre mouvement.

- Alors Bob, tu fais moins le fier ?

Il vivait encore, parce qu’il m’a répondu d’une voix ensablée.

- Cette fois-ci tu m’as eu, vieille peau de vache. Alors vas-y, colle m’en une et me laisse pas agoniser avec les vautours.

Je l’ai regardé, recroquevillé sur le sable, les yeux injectés, la bouche parcheminée, et là, croyez-moi ou non, mais j’ai pas savouré ma victoire comme j’aurais dû. Ça faisait vingt ans qu’on se tirait dans les pattes, lui et moi, mais du diable si ça me faisait plaisir de l’avoir eu. J’ai détaché la gourde d’eau de ma ceinture, je lui ai pris la tête sous mon bras et j’ai commencé à verser le liquide goutte à goutte sur ses lèvres craquelées.

- Vas-y Bobby, bois, bois, ça va aller…


Reno, 30 Juin 1882, 12 H AM

- Mr Robert Thornton, dit Thrill Bill, voulez-vous prendre pour épouse Miss Suzy Shiver, dite Bloody Suzy, pour le meilleur et pour le pire, ?
- Yes
- Miss Suzy Shiver, dite Bloody Suzy, voulez-vous prendre pour époux Mr Robert Thornton, dit Thrill Bill,etc… ?
- YEEEEEEEEEES

Et ils vécurent heureux et eurent beaucoup de petits dollars d’argent.

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Kazar

Quelque part entre les cailloux, la poussière et le ciel sec, le convoi fracasse le silence. La diligence file aussi vite que tirent les six chevaux, des bêtes noires, luisantes et acérées, l’écume à la gueule et le Diable au cul. Mes deux officiers, Hank et Philip, sont assis à l’avant. Ils fouettent leur monture dans de grands gestes de gants blancs. Devant le véhicule, l’adjoint au sheriff, Steve McStoner ouvre la voie. Et en queue de convoi, sur mon cheval immense, foulard sur le nez et Colts parés à tout, je surveille. Foi de Thrill Bob, sheriff du comté de Steam.

Les hommes du coin ont eu du mal à accepter mon autorité quand je suis arrivé. J’ai dû péter bien des mâchoires pour la leur faire avaler. Le dernier à avoir essayé de m’emmerder a fui vers le Nord, dans un village miteux et son saloon enfumé, les oreilles basses et la queue rabougrie ; les curieux viennent de loin pour voir comme je l’ai amoché — ils l’appellent Broken Face.

Nous traversons la Bush Plain, direction le bureau de poste de Wooden Stack, un peu plus à l’Est. Le directeur de la banque régionale, le gros Thomas Miller, souffle court, joues rouges et moustache jaunie au milieu, est venu me voir la semaine dernière pour me demander d’escorter sa diligence. Sa compagnie s’est fait attaquer pas moins de six fois depuis le début de l’année, vous comprenez sheriff, cette salope de Suzy Shiver m’a piqué un sacré paquet de thunes. J’ai dit d’accord. Entre la Shiver et moi, c’est une histoire longue comme la Snake River.

Mercredi 27 juin. C’est un beau jour pour lui faire la peau. Peu importe que ce soit une femme, peu importe qu’elle n'ait pas loin de la moitié de mon âge. Elle me doit autre chose que de l’or. La dame de mon ancien adjoint Franck Tyson partage mon point de vue. Elle le partage depuis très exactement trois longues années, depuis que Suzy Shiver nous a échappé, depuis qu’elle a refroidi Franck derrière la banque de Rock Stone City et qu’elle a pris ce qu’elle ne pourra jamais rendre. Je vais l’attraper et l’accrocher au Death Tree au bout d’une corde sèche, une corde qui grince, une corde qui laisse des traces sur les mains. Et je l’en détacherai quand les corbeaux lui auront bouffé les yeux.

Suzy Shiver est futée comme un coyote. Elle veut le convoi. Elle veut le coffre. Elle veut me crever. Tout ce qui l’intéresse, c’est la destruction. On raconte qu’elle enterre tout ce qu’elle vole et qu’elle n’y revient jamais. Elle se fout d’être riche. Elle veut être éternelle.

J’ai pris soin de raconter la diligence, son contenu, le convoi, sa direction, à quelques connaissances véreuses en espérant que tout cela se répande comme la poudre. Nul doute que ça a marché. Je suis sûr qu’elle m’attend quelque part, sûre d’elle, peur de rien.

Je suis sûr, Suzy, je suis sûr qu’aujourd’hui, quelque part entre les cailloux, la poussière et le ciel sec, tu seras à moi. Et bientôt morte.

(pas mal de lieux communs encore, dans ce duel ! Et dire que j'ai pensé glisser une petite phrase anodine du genre "si je ne peux pas la baiser, autant la flinguer"...)

kazar a écrit:(pas mal de lieux communs encore, dans ce duel ! Et dire que j'ai pensé glisser une petite phrase anodine du genre "si je ne peux pas la baiser, autant la flinguer"...)

Ben t'aurais dû, tu vois. Suffisait de d'mander. Et je le trouve pas mal, moi ce duel, mais faudrait inverser les deux textes, ça fonctionnerait mieux. Le tien est au futur et le mien au présent. Ca se complèterait.

La prochaine fois qu'on fait un exo duel, faudrait imposer des contraintes de lieu similaires aussi. Ca donnerait plue de cohérence au duel.

T'as raison mais pour un exercice en direct j'ai voulu faire les contraintes light.

Ben on s'est bien amusés quand même ! Mais vrai qu'avec un poil de contraintes en plus, on aurait vu plus de similitudes

kazar a écrit:Et peut-être qu'Alice et coline avaient moins de chances de se téléporter au même endroit ?

Ben t'as vu aussi les milliers kilomètres qui nous séparent ? :-)))

Et à propos je me suis aperçu que je m'étais un peu planté dans les heures. Jusqu'à 11 h, ça boume, mais à 12 h , y doit plus y a voir d'indication et après ça devient 1h PM, 2h PM, etc...

Ca doit être l'effet du casse-poitrine de ce bon vieux Doc "Shiverin' hand" Holliday...

Sacha: Bonne idée, dans les consignes il me semble qu'il fallait faire présent, la plupart de ton texte est au passé, mais bon personne t'en voudra :-)
Aseptans: Qu'est-ce qu'on avait dit avec les gros mot !? Ton texte est un énorme biiiip! si on les cache, vilain!

Dîtes-donc, vous y allez pas mollo avec les gros mots, les jeux de mots, itou! (pas gênant, loin de là)
Mais à la fin vous les mettez tous les deux ensemble, vos gangsters et vos shérifs et même s'ils n'entretiennent pas a même relation dans les deux textes, c'est amusant :-)

Elea: Bloody Mary en homme, pourquoi pas (ben oui, Marie peut être le deuxième prénom d'un homme après tout). Toi aussi, tu as fait présent au début, mais au final écrit au passé la plupart du texte ;-)
En tout cas je trouve ça super que ton style soit encore reconnaissable sur un sujet différent de ceux que tu abordes en temps normal !
Lutti: La première fois que je lis un de tes textes (il me semble) (non ?), je découvre donc, avec plaisir, ton écriture de bonbon alcoolisé ! (mais la fin un peu beurk, quand même)

Vos deux textes sont complètement différents, pratiquement aucun élément commun en dehors des contraintes, peut-être parce que vous ne vous connaissez pas (ou si peu) ? Mais c'est aussi impressionnant de voir tant de différences avec un sujet commun :-)

Lizzie: J'ai adoré ma lecture, les gros mots, c'est pas biennn, la froideur de la narratrice dans sa description. Me suis pas ennuyée un instant, même à la deuxième lecture.
Janis: Bien aimé quand la narratrice se voit dans le miroir comme une inconnue. Des phrase courtes bien tournées car elles ne donnent pas un récit haché. la fin est trop triste :-(

Le pire dans vos textes, c'est qu'on dirait vraiment la même scène décrite de deux points de vue différents ! Dites-nous votre secret, vous faites de la transmission de pensées ? De la méditation ? Du yoga ? Des claquettes ?

Alice: caca. en plus t'as vu la grosse faute d'ortho à la fin ou quoi? ouèche mais késtafoutu?
Coline: bon, ça se voit quand même un peu que t'a ramé, du coup j'ai compris qu'à la relecture (mais je suis pas complètement réveillée, ça joue pas en ta faveur...) (pis c'est qu'un détail mais ye ne souis pas z'au lycée français de Beyrouth :-)). Mais pauvre Babar, regarde-le maintenant, l'a les boutons de sa veste qui tombent!

Je crois que nos histoires sont un peu beaucoup très différentes, Coline :-)

Gobu: T'as d'la chance, toi, t'as d'la chance, parce qu'avec l'heure qu'il est et la longueur de tes textes, y a de quoi décourager, mais une fois commencé, on peut plus s’arrêter. Même pas lire en diagonale, impossible, sont trop bien. Après, si les deux s’étaient pas mariés, ptet que...bon ok, je me tais
kazar: C'est un dur, Thrill Bob, dis donc ! Le début est super, mais c'est dommage, j'ai une impression de non fini à la fin, il y a l'avant mais pas le pendant ni l’après du combat, alors ça perd un peu de sa force je trouve. Même si on peut très bien se l'inventer, la fin.

C'est vrai que les textes gagneraient à être échangés, celui de Gobu serait une bonne suite à celui de Kazar :-)

Merci pour l'exo Kazar, ye vé dorrrrmir

kazar a écrit:Avec deux heures de retard, t'as pas honte dis ?
;-)

Ok je mets en forme je poste et demande à Modération de bien vouloir regrouper notre duel avec les autres.
Bonne nuit à toi l'ami !

ça c'est pas possible my friend, les posts sont chronologiques même pour nous.
your best bet, c'est de TOUT reposter à la suite.
(sinon, j'ai un sourire comme ça :-)))))), je viens de rencontrer Merciless Pete !)

Avant de relire les textes à tête refroidie (pas trop quand même) il me faudra un peu de temps le sablier ne joue pas en ma faveur.

Je n'ai pas pu m'empêcher de passer par ici pour voir si nos derniers duellistes avaient posté. Je n'ai pas été déçue. Effectivement il faut juste alterner et c'est parfait. Je suis frappée par la fin de Gobu et la-mienne c'est amusant sauf qu'elle a une meilleure morale que la-mienne.

Comme ça à froid, c'est le duel que je préfère, le texte de Gobu est très travaillé (bon il est vrai qu'elle a eu un peu plus de temps) et je ne suis pas d'accord avec Alice sur la fin de Kazar (en plus la pôvre elle était sur des charbons ardents) c'est vrai qu'en lui-même le texte n'est pas terminé mais c'est un bon début d'histoire, il suffit d'inverser et le tour est joué.

Alice, tu as raison j'ai oublié complètement la consigne du présent en revanche il me semble que certains ont oublié la consigne :
Il doit y avoir un passage du récit où le narrateur essaye de se projeter à la place de son ennemi. Mais là aussi il faudra que je relise, dès que le temps me le permettra.

Je le redis j'ai adoré cet exercice, merci à tous.

Je file travailler, dur de vous quitter.

sacha, pour autant que je sache, gobu est un garçon.

Ü

Sacha L. a écrit: je ne suis pas d'accord avec Alice sur la fin de Kazar (en plus la pôvre elle était sur des charbons ardents) c'est vrai qu'en lui-même le texte n'est pas terminé mais c'est un bon début d'histoire, il suffit d'inverser et le tour est joué.

bah voui, mais c'est dommage qu'il n'y est pas de fin, même si le texte de Gobu peut en jour le rôle :-)

en jouer*, sorry

et Kazar aussi
on n'en a pas beaucoup, évitons de trop les féminiser :-)

Alice (et d'autres qui se poseraient la question), comme une buse je n'ai pas fait gaffe au principe homme/femme, mon personnage porte le nom d'un coktail je l'ai pris comme un surnom, pas une sexualisation

Sacha L. a écrit:

Comme ça à froid, c'est le duel que je préfère, le texte de Gobu est très travaillé (bon il est vrai qu'elle a eu un peu plus de temps)

Mille merci, mais je rappelle, que bien que n'étant pas un poussin de la dernière couvée, Gobu est un garçon. :0)

Gobu a écrit:

Sacha L. a écrit:

propos bassement discriminants

Gobu est un garçon. :0)

Depuis pas si longtemps que ça, hé. Ça prête à confusion pour les p'tits nouveaux.
(Au fait la cicatrice ne te tire plus trop ?)

Vous savez quoi, j'ai vraiment pas les yeux à leur place et la tête à l'envers, pour être sûre j'ai regardé le profil et j'ai bien évidemment la flèche dressée et je me suis dit : curieux j'étais sûre que c'était des garçons, mon cerveau a inverser les symboles...

Je vous prie de m'excuser messieurs... je ne suis pas réveillée ! Je me rattraperai de cette erreur.