Ici, on parle de : MUSIQUE !

Une spécial dédicace, car le silence provoque l'imagination :-)

Il faut écouter les paroles, un chef d’œuvre local.

Heureusement que j'ai pas reçu ce chef d’œuvre en réponse:-))))))))))))

Je n'ai jamais rien compris à ce texte mais je l'aime pour le refrain :

Beatles ? :

Calme retrouvé, avec des bas résilles et que sais-je encore, encore fallut-il savoir qui les portassent ? :-)

:-)))

Pour casser le fantasmatique, je mets un texte puis une chanson qui me parait être ce qui se fait de plus intelligent en matière politique.
Bonne nit a tothom et aux bas résilles (c'est bien le truc noir que les femmes mettent sur leurs jambes pour les gainer agréablement, non sans dégager en haut une portion de chair blanche et très douce ? ) ; ça me dit effectivement quelque chose :-)

Canço (le problème c'est qu'on va pas être nombreux à comprendre, donc s'il y a des bénévoles pour traduire fidèlement, c'est pas compliqué mais là j'ai la flemme) :

Phylisse a écrit:

La chanson préférée de Pompidou (douda dou) :-)

Bonne nuit.

Comme ce fil est très actif et que je n'ai proposé que peu de choses, en voilà quelques-unes.

Dix ans que les Transplants ont balancé leur premier album (modestement ou facilement appelé "Transplants"). Un peu de Rancid, un peu de Blink/+44, beaucoup de tatouages, plus de bière, du hip hop dans du punk, contestation, combustion. Rien inventé mais foutrement bien fichu. Nothing more, nothing less. (Version courte).



La perfide Albion n'en est plus à son coup d'essai. Pendant que nous nous roulions dans notre fange à coup de chansons débiles soutenues par des batteries électroniques qui faisaient poum tchhh et noyées dans des nappes dégueulasses et mal utilisées de bontempi à deux balles, la musique british filait vers le ciel. C'était neuf, c'était osé, c'était affranchi de tout - ou presque. Cinquante ans plus tard, nourris dès le biberon par toute cette culture extra-ordinaire, par ce sens aigu du bon, The Wave Pictures trace sa route. Leur dernier bébé est comme toujours (davantage ?) excellent. De la pop-folk à garder en bouche. Ne pas tout avaler trop vite. Encore un peu.



Sallie Ford est petite, pas très jolie (presque mieux en marionnette), pas vraiment dans les cases qui plaisent tant aux autres. Mais elle chante. Elle braille. Elle demande "What have these people done to the Music ?". Elle est un peu le chef à sa bande, The Sound Outside, et elle les emmène là où elle veut. Par là-bas, du côté des 60's, quand il faisait chaud et que les robes étaient tachées de gros pois blancs - assortis aux socquettes. Sallie Ford & The Sound Outside, c'est mes chouchous en noir et blanc.



Le punk californien ne se résume pas aux débuts de Blink 182, de Sum 41 ou de The Offspring. Non, avant eux, ou en même temps mais moins prépubère, il y a eu Pennywise. Et là où les autres ont eu du mal à évoluer vers un rock plus adulte, la troupe de skateurs contestataires a persisté, signé. Inspiré une génération entière. Ça va vite, c'est mélodieux, c'est en baggy, et ça répète en concert "We don't give up, you don't give up".



Il y a des albums dont on sait qu'on se souviendra. Peut-être même longtemps. Le dernier Cloud Nothings, Attack on memory, fait partie de ceux-là. On a eu peur d'un énième groupe américain prétentieux, hipster et donc forcément exaspérant. Le genre de groupe de petits cons avec une mèche sur le côté, de grosses lunettes en plastique noir, chemises à carreaux et espadrilles de mes deux. Oui mais non. Oui parce qu'ils ressemblent vraiment à ça, non parce qu'ils font un gros doigt à tout ce petit monde. Ils disent hé, on s'en fout. On sait ce qu'on veut, pas ce que vous attendez. Ils balancent une crénom de galette, un truc qui tape au bide. Et la bague sur le poing qui fait mal, c'est Wasted days. Croyez cela sur parole et tenez bon 8 minutes et 53 secondes.

J'aime bien tout ça que je ne connaissais pas et que par ignorance crasse, et souci de mettre dans un tiroir, je qualifierais de "néo punk".

A part ça je pleure depuis tout à l'heure (mon côté "femelle" comme dirait Janis) car j'ai raté le moment où il fallait mettre dans le mille (pas dans l’Émile comme dirait Rousseau !!! ).

Donc je me contente du 1001 ème post sur ce fil.

Vais -je m'en remettre, ou dessiner axiome et ordonnées stupidement statistiques pour trouver le chemin le plus court d'arriver à 2000 ?

Ne soyons pas aussi c.. (c'est Gobu qui a dit qu'.. avait le droit si on mettait des pointillés !!! ) :

Car avant les cactus j'aime les ... :

Je suis profondément choqué !!!

Cherchant un traditionnel breton pour honorer nos nombreux camarades locaux, mon premier choix offert est cette chanson.

J'ai vraiment honte pour (elles) eux.

Sont-ce les paroles d'origine ?

Bon je remets mon chouchou en partageant une boite de pâté Hénaf avec Brassens (un de ses mets préférés) :

En demandant pardon pour cet instant d'égarement (mais je me suis bien ............. sors de cette âme belle Zébute !!! ) :

aseptans a écrit:Je suis profondément choqué !!!

Cherchant un traditionnel breton pour honorer nos nombreux camarades locaux, mon premier choix offert est cette chanson.

J'ai vraiment honte pour (elles) eux.

Sont-ce les paroles d'origine ?

Je ne suis bretonne que de coeur, mais il me semble bien que oui.

Pour rester dans le coin, et pour les souvenirs que j'y ai laissés, pris, gardés...

comment n'avais-je pas pensé à ce bon Al Stivell !

Bonsoir Phylisse, sur ce fil lisse ;-) (j'ai eu une journée éprouvante pour des raisons diverses et malheureusement réelles), ce qui fait que je délire un peu :

Il doit avoir un peu de sang breton sans doute :

Bien sûr :

Joli clip, jolie suite de prénoms, les plus beaux yeux du monde, et une jolie chanson à réécouter :

Quitte à écouter des trucs étranges, revenons à l'original :

Horreur de la pure soul :

Je n'aime pas vraiment la soul mais j'adore me faire mal quand c'était "fabriqué" comme ça :

ça c'est de la soul comme j'aime et je comprends les paroles :

Je m'étais arrêtée à Léonard Cohen (je viens de voir/écouter Brel) tant pis je continue, parce que... parce que j'ai envie (même si je crois l'avoir déjà mise sur ce fil)

Une petite leçon d'écriture + une gifle : ça fait du bien :

je l'avais mise aussi dans une autre version de Madeleine Peyroux, mais rien pour la beauté des choristes et le plaisir "sensuel" qu'elles éprouvent quand Léonard se met entre les deux ...
On aimerait parfois avoir du talent :-)

Je termine sur Brel car je vais "aux nouvelles" et j'en ai une en fin d'écriture, car j'ai trouvé la chute et "plus dure sera la chute".

Bonne et douce nuit ...

mais rien pour la beauté des choristes et le plaisir "sensuel" qu'elles éprouvent quand Léonard se met entre les deux ...
On aimerait parfois avoir du talent :-)

:-))

Un peu de douceur, un rossignol dans la nuit...

Toujours un plaisir d'écouter Carlos Santana, surtout çuila.

Je reste en Amérique du sud avec un très beau discours.
Bien sûr si c'était le Che qui disait cela, ce serait plus sexy pour les adolescentes.
En fait Che Guevarra, ministre de la justice était-il pire que ses bourreaux ?

Mais il reste ça avec Quilapayun et Fidel.

D'ailleurs est-ce que quelqu'un sait pourquoi à Cuba dans les églises, les chaises sont en fer ?

Parce que les fidèles cassent trop.

rien que sa façon de mettre le doigt en avant, tu sens l' homme sur de lui lol
les images sont belles

pour rester avec un client de la guitare

j'aime le guitariste de blues, moins le chanteur de blues :

Une vieillerie qui fait sourire :

Nougaro qui chante une des plus cinglantes chansons de Trenet : "la java du diable" : ce satané diable :

Une petite douceur, encore une, la jeunesse pure :

Y en a qui passent sans voir, d'autres qui s'illuminent quand les yeux sont noirs

Ah ! J'adore ce jardin extraordinaire ! Combien il m'enchante, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas écoutée.

Que les musiciennes sont belles dans leurs yeux noirs (surtout la guitariste) :-)

Ma version préférée :

le jour où je passe au micro-ondes je veux ça :-))) :

Version presque fado mais pas fade :

Amalia :

aseptans a écrit:Que les musiciennes sont belles dans leurs yeux noirs (surtout la guitariste) :-)

Ma version préférée :

Amusant, j'ai hésité parce que j'aime beaucoup cette version, qui n'a évidemment rien à voir avec la précédente.

Loin du micro ondes, je reste champêtre...

Oui restons dans les fleurs :-) :

Lafforgue (René-Louis pas l'autre) à qui Brassens aurait beaucoup donné et sur qui il a fait une chanson piquée des vers :

René-louis fumait encore dans "le vin" (c'est le gars à côté avec le blouson à carreaux), chanson malheureusement méconnue de Georges :