Extrait de vie

toujours extrait d'un travail en cours, j'ai eu envie de poster ce tout petit passage à cause d'une mauvaise nouvelle qui attrista aujourd'hui le forum

pour ceux qui ont lu déjà d'autres extraits de mon petit projet, attention, ce travail n'étant pas fini, des transformations importantes sont incessantes et peuvent rendre l'ensemble aberrant. veuillez m'en excuser...


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Malgré sa fatigue, Patrizio ne ferma plus l’œil de la nuit. Il écoutait le bruit du feu qui crépitait doucement dans la cheminée et qui reflétait d’une inquiétante lueur, exagérant les ombres. Il ne pouvait oublier ce qu’il avait vécu avec Yasmina. Il ne savait que penser mais il se souvenait d’elle, de son souffle, de ses pleurs, de ses tremblements. Il avait ressenti sa détresse et sa douleur. Enfin, il était triste comme s’il était lui-même tout à coup veuf et prisonnier à jamais d’une solitude sans échappatoire. il avait aimé cette chaleur qui s’était frotté à son corps, cette puissance qu’il avait vu se jeter au visage du maréchal-ferrant, dans un geste désespéré, et cette franchise qui ne savait pas cacher son ressentir.

????
J'avais cru comprendre qu'il ne fallait pas confondre exercice d'écriture (brouillon) et écriture

Je suis toujours étonnée de lire sous ta plume ressentir à la place de ressenti. Peut-être ai-je tort et le nom ressentir existe-t-il ? dans ce cas, pardon :-)

Je n'ai pas tout compris et suis un brin passée à côté. J'ai laissé du temps entre le texte et le commentaire, la relecture, histoire d'avoir une mise à froid et c'est sans doute ce qui fait cela, l'émotionnel ne peut pas jouer.

dans ce petit extrait sorti de nulle part, il y a quelques coups de virgules à corriger, comme des coups de gomme.

Moi aussi, je viens de le relire, à froidure et sans fioriture;
et je me dis que si j'arrivais à écrire un livre tout comme ça
et bien je serais heureux homme
moije vous le dis !

hahaha !!!

mais bonje
l'écriture ne suffit pas
il faut la sauce, la mayonnaise, le crabe, le pinard, la serveuse, l'hôtel de la plage et l'argent pour éviter de se tirer par derrière...

Je suis entrée dans ce petit texte sans problème, et je n'en suis pas ressortie jusqu'à la fin.
C'est bien écrit, c'est visuel.
Il y a juste ce morceau de phrase que j'ai dû relire :
cette puissance qu’il avait vu se jeter au visage du maréchal-ferrant,
Il y a quelque chose qui me heurte, dans le rythme peut-être.

Réminiscence. En se souvenant de l'autre, devenir l'autre. Devenir enfin tout ce qui nous séparait, nous distançait, dans le présent qui pourtant nous rassemblait. Devenir un impossible. Je lis ton "billet" comme une quête, une expérience qui mérite trace et écriture.

j'ai aimé cet extrait, pour le thème et le style, et dommage que ce ne soit qu'un extrait: j'en aurais bien lu davantage.

Décidément, je suis bouché aujourd'hui : est-ce que j'ai bien lu ?
Patrizio est triste parce qu'il s'est fait piquer Yasmina par le maréchal ferrant, c'est ça ?

Je suis venue, revenue, je tourne, je vire et ça m'intrigue.

heu , un sujet au hasard , ah extrait de vie , moi j'en ai eu plusieurs et en voilà une nouvelle , celle que je n'ai jamais eue et qui se retrouve au coeur d'une trame informatique , après les vagues les flots d'autres rives qui berçaient mes autres vies .
Plusieurs parce que le voyage , parce que l'aventure un jour clochard un autre riche , au milieu j'essaie , c'est arrivée en un lieu de ma vie ...

Pas trop sûre...

on ne lit pas un extrait comme une suite de récit ! Oublieuse mémoire des copains du forum... Je défends PATRIZIO et ses mésaventures antérieures dans la forêt ! Il était temps que ce héros retrouve sa vitalité contre les forces opposantes...