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Le mois de treicembre

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Le mois de treicembre Empty Le mois de treicembre

Message  RICHARD2 Jeu 14 Mar 2013 - 10:20

LE MOIS DE TREICEMBRE


Je suis né en fin d’année. Ma mère se souvient qu’il faisait froid le jour de ma naissance et qu’elle n’avait pas pu se rendre à l’hôpital pour accoucher. La neige était tombée du matin jusqu’au soir sans interruption. Elle retenait de la main son ventre rond et me rassurait de ses caresses. Je comprenais son inquiétude et je me blottissais, le pouce dans la bouche, le moment propice pour la voir avec mes yeux poupons. Elle passait ses moments de souffrance maternelle à appeler mon père au téléphone qui était bloqué par les neiges. Elle voulait entendre sa voix rassurante qui calmait ses contractions qui se rapprochaient au fil des heures. En fin de journée aucun moyen de transport n’avait pu délivrer mon paternel pour rejoindre le domicile conjugal. Un manteau blanc avait recouvert toute la vallée. La neige avait enfermée ma mère et moi dans la solitude. Une tempête de neige enveloppa les êtres et les choses et nous figèrent dans le temps. Lorsque j’ai poussé le premier cri, la tête à l’envers, le monde s’est renversé lui aussi.
Elle me mit au monde au mois de treicembre. Un mois qui n’existe plus sur le calendrier depuis ma tragique histoire. Ils ont préféré supprimer ce mois ni lunaire ni solaire pour préserver les générations à venir. J’étais pourtant tendre avec ma bouche rieuse, mon nez en trompette et mes yeux aussi grands que des planètes ensoleillées. La vie pétillait autour de moi comme des bulles de savon. J’avais la chance de vivre un mois de plus que les autres personnes et de vieillir ainsi pluslentement. J’avais beaucoup de camarades car mon physique me donnait l’avantage d’être un clown gentil et bienveillant. Mes nombreuses péripéties faisaient rire mon entourage aussi bien que ma mère. Ma chère maman avait installé dans ma chambre une armoire complète de médicaments. Si certains enfants avaient une multitude de jouets, moi j’avais toutes les pommades, bandages, désinfectant de toutes sortes, béquilles et autres quolibets. Mes amis me trouvaient extraordinaires et ne manquaient pas de venir me voir quand ils avaient l’âme triste. Avec moi, la monotonie existaient rarement. J’aimais entendre leurs éclats de rire même si au fond de moi même j’avais mal d’être tombé sans le faire exprès. Leurs rires cicatrisaient mes blessures. Ils aimaient me voir entrer devant le poulailler que ma mère m’interdisait de pénétrer sous peine de punition. Je ne sais pas par quel miracle, elles ne pondaient plus lorsqu’elles me voyaient. Mon châtiment était celui de ne pas pouvoir manger des œufs mais j’avais le bonheur de cueillir comme des bouquets les éclats de rire de mes amis. Je distrayais mon entourage de joie avec mes intrépides journées.
A l’école puis au collège j’étais toujours l’élève qui se trouvait au fond de la classe. Je n’avais personne à côté de moi pour ne pas blesser un de mes camarades. Le professeur me privait sous les recommandations de mes parents toutes les récréations. J’évitais semble-t-il toutes les blessures qui pouvaient m’arriver. On m’accordait parfois l’espoir de rester sur un banc sous le préau à regarder les autres jouer. Même si ma bouche tirait jusqu’à mes oreilles, je ne n’avais pas l’âme rieuse dans ces moments là. Je buvais leurs paroles, me nourrissaient des yeux de leurs jeux, je sautais sur le banc, j’essayais de leur parler. Ils ne m’entendaient pas, ils m’oubliaient bien trop occupés ailleurs. Un jour pourtant un professeur, voyant ma peine, me confia l’initiative d’arbitrer tous les matchs de football de l’établissement. J’étais leur fidèle serviteur. Je comptais les points des équipes avec mes petites mains potelées. J’étais celui qui criait plus fort que les autres lorsqu’un but venait d’être marqué. J’ai obtenu l’étoile du mérite de l’arbitre le plus renommé du collège. J’étais le vainqueur de mon handicap. J’avais enfin trouvé une noble place parmi la société. Je n’étais pas non plus un mauvais élève, j’excellais en français. Les autres matières restaient dans la moyenne mais l’avis des professeurs indulgents m’avaient poussés du collège jusqu’au lycée. Depuis quelques mois, J’avais trouvé en moi le don de l’écriture. Je m’étais inscrit à plusieurs concours organisé dans tous les établissements scolaires. J’aimais écrire car je savais que je vous pouvais raconter ce que je voulais sans que personne ne puisse voir mon visage. J’exposais sur les pages blanches toutes mes histoires, ma face cachée, celle que les autres prenaient pour de la fiction alors qu’elles étaient une pure vérité. Je gagnais des palmarès. J’étais vivant parmi les autres. J’étais l’écrivain insatiable, le conteur de « treicembre ». L’adolescent loyal, humanisé par son entourage. Je n’allais jamais à la remise de mes prix littéraires. Je ne voulais pas qu’il voie ma tête de clown et qu’ils se mettent à rire comme s’il s’agissait d’une bonne blague. Je préférais rester dans l’ombre et goûter en secret mon triomphe. J’étais ce quasimodo qui sonnait les cloches de mille mots dans la cathédrale et qui regardais d’en haut les belles personnes qui lisaient en contrebas. Je versais une pluie de mes écrits sur le papier, mes souvenirs, mes catastrophes, et sur la place des visiteurs, ils applaudissaient. Ils m’ont élu premier prix littéraire du département. Des rayons de soleil remplissaient mon cœur, des sonates printanières fleurissaient dans mon âme. Je respirais cette victoire comme un parfum subtil et je me voyais heureux en haut de ma tour de livres que j’écrivais au fil de mes pensées. Je lisais les lettres de mes admirateurs comme l’on boit un bon verre de vin. J’étais parfois ivre de leur tendresse. Je me sentais heureux de vivre. Je me souviens d’une journée particulière qui a bousculé ma vie.
Je ne savais pas qu’une Esméralda dans sa robe juponnée faisait tourner toutes les pages de mes livres. Elle était gourmande de mes écrits comme elle pouvait l’être de sucrerie. Je fus attiré par la sienne car parmi toutes les autres son enveloppe était d’un rouge coquelicot. J’ai lu avec attention tout ce qu’elle me disait. Elle était à chaque fois emportée par mes histoires. Elle m’admirait. Mais, ce qu’il retint ma lecture ce fut le moment où elle disait qu’elle pensait qu’elles étaient vraies car elle aussi avait vécu ce genre d’histoire. Elle était née comme moi en fin d’année sous la tempête de treicembre. D’un coup, je ne me suis plus senti moins seul et je n’avais qu’une idée en tête, retirer mon masque pour la rencontrer puisqu’elle le demandait. J’ai correspondu de long mois avec ma belle inconnue. Elle me disait qu’il fallait tracer une croix sur la passé et regarder l’avenir ensemble sous un jour nouveau. Elle souhaitait que le mois de treicembre soit celui le plus important et le plus rare de l’année. Elle concevait que nous avions de la chance d’être différent des autres. Je finissais par croire ses paroles perlées de sincérité. Je me sentais capable, grâce à elle, d’oublier mon infirmité et de retirer le voile sombre de mes nuits sans sommeil. J’avais appris à la connaître et à me comprendre aussi.
J’ai enroulé l’écharpe de mon cœur autour de son cou lorsque je l’ai rencontré pour la première fois sur la place de Notre-Dame. Les cloches sonnaient à tout va. Mon Esméralda a brisé toutes les chaînes de ma profonde solitude. Il ne neigera plus mois de treicembre comme autrefois. Les colombes de l’espoir s’envoleront avec nous. Toi et moi, main dans la main pour former une ronde unique avec tous ceux que l’on dit différent.
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Message  RICHARD2 Jeu 14 Mar 2013 - 10:31

Des coquilles :
"devant le poulailler" = dans le poulailler
"nourrissaient" = nourrisais
"neigera plus moi" = neigera plus le mois

Désolée. Merci
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Message  Invité Jeu 14 Mar 2013 - 13:48

Le personnage décrit est attachant, mais je pense que le texte devrait être repris, car quelques maladresses gênent la compréhension de certaines phrases.

Si certains enfants avaient une multitude de jouets, moi j’avais toutes les pommades, bandages, désinfectant de toutes sortes, béquilles et autres quolibets

Là, je pense qu'il faut vraiment trouver un autre mot.
Désirez-vous que l'on vous signale ce qui arrête la lecture ?


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Message  Invité Jeu 14 Mar 2013 - 13:55

Cela m'ennuie d'être désagréable. Je répète que le texte mérite d'être retravaillé. Le personnage est intéressant.

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Message  Invité Jeu 14 Mar 2013 - 22:37

RICHARD2 a écrit:LE MOIS DE TREICEMBRE


Je suis né en fin d’année. Ma mère se souvient qu’il faisait froid le jour de ma naissance et qu’elle n’avait pas pu se rendre à l’hôpital pour accoucher. La neige était tombée du matin jusqu’au soir sans interruption. Elle retenait de la main son ventre rond et me rassurait de ses caresses. Je comprenais son inquiétude et je me blottissais, le pouce dans la bouche,manque quelque chose ici, " j'attendais" le moment propice pour la voir avec mes yeux poupons. Elle passait ses moments de souffrance maternelle à appeler mon père au téléphone qui était bloqué par les neiges. Elle voulait entendre sa voix rassurante qui calmait ses contractions qui ( tu pourrais dire calmer ses contractions qui , ça éviterait la répétition...se rapprochaient au fil des heures. En fin de journée aucun moyen de transport n’avait pu délivrer mon paternel pour rejoindre le domicile conjugal. Un manteau blanc cliché avait recouvert toute la vallée. La neige avait enfermée ma mère et moi dans la solitude. Une tempête de neige enveloppa les êtres et les choses et nous figèrent dans le temps. Lorsque j’ai poussé le premier cri, la tête à l’envers, le monde s’est renversé lui aussi.
Elle me mit au monde au mois de treicembre. Un mois qui n’existe plus sur le calendrier joli !depuis ma tragique histoire. Ils ont préféré supprimer ce mois ni lunaire ni solaire pour préserver les générations à venir. J’étais pourtant tendre avec ma bouche rieuse, mon nez en trompette et mes yeux aussi grands que des planètes ensoleillées. La vie pétillait autour de moi comme des bulles de savon. J’avais la chance de vivre un mois de plus que les autres personnes et de vieillir ainsi pluslentement. J’avais beaucoup de camarades car mon physique me donnait l’avantage d’être un clown gentil et bienveillant Tournure maladroite. Mes nombreuses péripéties le mot ne convient pas tu veux dire "pitreries" sans doute faisaient rire mon entourage aussi bien que ma mère. Ma chère maman avait installé dans ma chambre une armoire complète de médicaments. Si certains enfants avaient une multitude de jouets, moi j’avais toutes les pommades, bandages, désinfectant de toutes sortes, béquilles et autres quolibets. là je ne vois vraiment pas ce que tu veux dire Mes amis me trouvaient extraordinaires et ne manquaient pas de venir me voir quand ils avaient l’âme triste. Avec moi, la monotonie existaient rarement. J’aimais entendre leurs éclats de rire même si au fond de moi même j’avais mal d’être tombé sans le faire exprès. Leurs rires cicatrisaient mes blessures. Ils aimaient me voir entrer devant le poulailler que ou ma mère m’interdisait de pénétrer sous peine de punition. On n'entre pas " devant" quelquelque chose, mais dans !Je ne sais pas par quel miracle, elles ne pondaient plus lorsqu’elles me voyaient. Mon châtiment était celui de ne pas pouvoir manger des œufs mais j’avais le bonheur de cueillir comme des bouquets les éclats de rire de mes amis. Je distrayais mon entourage de joie avec mes intrépides journées. Phrase complètement mal fichue !
A l’école puis au collège j’étais toujours l’élève qui se trouvait au fond de la classe. Je n’avais personne à côté de moi pour ne pas blesser un de mes camarades. Le professeur me privait sous sur les recommandations de mes parents de toutes les récréations. Cette phrase pourrait être améliorée en inversant : sur recommandation de mes parents, le professeur me privait de toutes les récréations J’évitais semble-t-il toutes les blessures qui pouvaient m’arriver. On m’accordait parfois l’espoir de rester sur un banc sous le préau à regarder les autres jouer. Même si ma bouche tirait jusqu’à mes oreilles, je ne n’avais pas l’âme rieuse dans ces moments là. Je buvais leurs paroles, me nourrissaient des yeux de leurs jeux Phrase très maladroite : on dirait que les jeux ont des yeux !!!, je sautais sur le banc, j’essayais de leur parler. Ils ne m’entendaient pas, ils m’oubliaient bien trop occupés ailleurs. Un jour pourtant un professeur, voyant ma peine, me confia l’initiative d’arbitrer tous les matchs de football de l’établissement. J’étais leur fidèle serviteur. Je comptais les points des équipes avec mes petites mains potelées. J’étais celui qui criait plus fort que les autres lorsqu’un but venait d’être marqué. J’ai obtenu l’étoile du mérite de l’arbitre le plus renommé du collège. J’étais le vainqueur de mon handicap. J’avais enfin trouvé une noble place parmi Dans me semblerait plus approprié la société. Je n’étais pas non plus un mauvais élève, j’excellais en français. Les autres matières restaient dans la moyenne mais l’avis des professeurs indulgents m’avaient poussés du collège jusqu’au lycée. Depuis quelques mois, J’avais trouvé en moi le don de l’écriture. Je m’étais inscrit à plusieurs concours organisé dans tous les établissements scolaires. J’aimais écrire car je savais que je vous pouvais raconter ce que je voulais sans que personne ne puisse voir mon visage. J’exposais sur les pages blanches toutes mes histoires, ma face cachée, celle que les autres prenaient pour de la fiction alors qu’elles étaient une pure vérité. Je gagnais des palmarès.concours J’étais vivant parmi les autres. J’étais l’écrivain insatiable, le conteur de « treicembre ». L’adolescent loyal, humanisé par son entourage. Je n’allais jamais à la remise de mes prix littéraires. Je ne voulais pas qu’ils voient ma tête de clown et qu’ils se mettent à rire comme s’il s’agissait d’une bonne blague. Je préférais rester dans l’ombre et goûter en secret mon triomphe. J’étais ce quasimodo qui sonnait les cloches de mille mots dans la cathédrale et qui regardais d’en haut les belles personnes qui lisaient en contrebas. Je versais une pluie de mes écrits sur le papier, mes souvenirs, mes catastrophes, et sur la place des visiteurs, ils applaudissaient. Ils m’ont élu premier prix littéraire du département. Des rayons de soleil remplissaient mon cœur, des sonates printanières fleurissaient dans mon âme. Je respirais cette victoire comme un parfum subtil et je me voyais heureux en haut de la tour de livres que j’écrivais au fil de mes pensées. Je lisais les lettres de mes admirateurs comme l’on boit un bon verre de vin. J’étais parfois ivre de leur tendresse. Je me sentais heureux de vivre. Je me souviens d’une journée particulière qui a bousculé ma vie.
Je ne savais pas qu’une Esméralda dans sa robe juponnée faisait tourner toutes les pages de mes livres. Elle était gourmande de mes écrits comme elle pouvait l’être de sucrerie. Je fus attiré par la sienne car parmi toutes les autres son enveloppe était d’un rouge coquelicot. J’ai lu avec attention tout ce qu’elle me disait. Elle était à chaque fois emportée par mes histoires. Elle m’admirait. Mais, ce qu’il retint ma lecture ce fut le moment où elle disait qu’elle pensait qu’elles étaient vraies car elle aussi avait vécu ce genre d’histoire. Elle était née comme moi en fin d’année sous la tempête de treicembre. D’un coup, je ne me suis plus senti moins seul et je n’avais qu’une idée en tête, retirer mon masque pour la rencontrer puisqu’elle le demandait. J’ai correspondu de long mois avec ma belle inconnue. Elle me disait qu’il fallait tracer une croix sur la passé et regarder l’avenir ensemble sous un jour nouveau. Elle souhaitait que le mois de treicembre soit celui le plus important et le plus rare de l’année. Elle concevait que nous avions de la chance d’être différent des autres. Je finissais par croire ses paroles perlées de sincérité. Je me sentais capable, grâce à elle, d’oublier mon infirmité et de retirer le voile sombre de mes nuits sans sommeil. J’avais appris à la connaître et à me comprendre aussi.
J’ai enroulé l’écharpe de mon cœur autour de son cou J'aime bien ce coeur en écharpe ! lorsque je l’ai rencontré pour la première fois sur la place de Notre-Dame. Les cloches sonnaient à tout va. Mon Esméralda a brisé toutes les chaînes de ma profonde solitude. Il ne neigera plus mois de treicembre comme autrefois. Les colombes de l’espoir s’envoleront avec nous. Toi et moi, main dans la main pour former une ronde unique avec tous ceux que l’on dit différents.

Un texte sensible qui fait référence à Quasimodo et à l'Homme qui rit me semble-t-il
( tu lis Hugo, on dirait ! Moi aussi, je le reprends assez souvent : il y a tout dedans !)
J'aime beaucoup la trouvaille de treicembre. Mais tu dis en début de texte que ce mois a été supprimé à cause de ta tragique histoire or ce que tu viens de raconter me parait plutôt être assez heureux... ou alors, c'est la suite qui sera tragique ?

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Message  Sahkti Lun 29 Juil 2013 - 12:28

Je ne suis pas sûre d'avoir bien compris l'histoire de ce mois supprimé. Ce qui se passe dans le texte ne me paraît pas être une raison suffisante mais peut-être suis-je passée à côté de quelque chose ? Sans doute que oui... J'avoue avoir été gênée par ces Je à répétition, cette narration à la première personne qui prend pas mal de place, trop à mon goût, désolée.
Au plaisir de lire une éventuelle version retravaillée (?)
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