Un songe
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Un songe
.........................Un songe
Une ivresse soudain me mène en son mystère,
Une harpe vibrante au tréfonds d’une nuit
Chante musique belle au fond de mon ennui,
Apparue dans un rêve où murmure la Terre.
Envolée de mon corps, elle ouvre mes paupières
En un feu de plaisir au lyrisme nacré,
De velours irisé baignant dans la lumière,
Elle conte une histoire en des termes ocrés,
Et me fait découvrir une aura nimbée d’or
En esprit rêverie, en magie de l’aurore,
Encens monté du soir en aube de satin,
Elle offre de beaux jours, des rosées du matin.
Une ivresse soudain me mène en son mystère,
Une harpe vibrante au tréfonds d’une nuit
Chante musique belle au fond de mon ennui,
Apparue dans un rêve où murmure la Terre.
Envolée de mon corps, elle ouvre mes paupières
En un feu de plaisir au lyrisme nacré,
De velours irisé baignant dans la lumière,
Elle conte une histoire en des termes ocrés,
Et me fait découvrir une aura nimbée d’or
En esprit rêverie, en magie de l’aurore,
Encens monté du soir en aube de satin,
Elle offre de beaux jours, des rosées du matin.
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 63
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
Re: Un songe
Je salue PCP qui au quatrain rimé
Ce soir assis s'essaie. Ce n'est point tous les jours
Qu'il vous délaisse ainsi son Paris calembour
Je l'accuse céans de ne vouloir frimer
Cela dit quelque chose me gêne. Je cherchefouine, j'erre, je butte et fan de. Oui je crois trouver: un abus de "un/une", une certaine adjectivite (musique belle, harpe vibrante, lyrisme nacré, velours irisé, beaux jours etc; sans compter les non)abjectifs à valeur épithète) et quand même des clichés (feu plaisir aura nimbée rosée matin aube satin). Et puis "musique belle", c'est joli ça vous plonge entre XV et XVIè siècle et puis ça s'arrête là. Alors ça devient truc et non style ou ressort ou incise...
Bon je me sauve en empochant "termes ocrés" : PCP n'est pas complètement inutile.
Ce soir assis s'essaie. Ce n'est point tous les jours
Qu'il vous délaisse ainsi son Paris calembour
Je l'accuse céans de ne vouloir frimer
Cela dit quelque chose me gêne. Je cherchefouine, j'erre, je butte et fan de. Oui je crois trouver: un abus de "un/une", une certaine adjectivite (musique belle, harpe vibrante, lyrisme nacré, velours irisé, beaux jours etc; sans compter les non)abjectifs à valeur épithète) et quand même des clichés (feu plaisir aura nimbée rosée matin aube satin). Et puis "musique belle", c'est joli ça vous plonge entre XV et XVIè siècle et puis ça s'arrête là. Alors ça devient truc et non style ou ressort ou incise...
Bon je me sauve en empochant "termes ocrés" : PCP n'est pas complètement inutile.
teverino- Nombre de messages : 460
Age : 67
Date d'inscription : 23/05/2014
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