News of The World
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News of The World
Tu sais, les journalistes sont tous des écrivains ratés, se plaisait à me répéter mon professeur de seconde année. Ils ne le savent pas encore.
Les journalistes sont tous des écrivains ratés. La plupart ne rêve que de départ, de mission, d'investigation en quête du Saint Graal : Pulitzer ! quelle connerie ce prix. Le terrain, la boue, le sable, le soleil qui frappe ton casque comme le marteau du forgeron l'enclume. L'eau qui arrive ocre en coulée de boue, qui déborde, entre et dévaste tout, et toi sur la route dans ta minuscule voiture, toi qui pensais traverser ce village tranquille situé dans la zone sécurisée, toi et tes collègues fous d'inquiétude, apeurés, mais toi comme absent, l'oeil vissé sur ton Canon prêt à fixer pour la première fois la rivière pourpre aux pierres de mil couleurs... je n'ai pas eu le temps de la voir. Jamais je n'oublierai cette petite route de poussière, jamais, jamais...
jamaissssssshhhhhiiiiiiiiiiiiiiooouuuuuffffffffoouuuuufffffffpppppprrrrrrroouuuuucccchhhhhhe.... Braoum !… Crac !... Schhiiiifffouuu... Pam !... Crac !... Braoum !... Shlouuufffffffffffffff... Braoum !... Piiiiiiieeeuuufff... Schiyoouuufffffffff... heinnnfff, ouuuufff, heinnnfff, ouuuufff, heinnnfff, ouuuufff, heinnnfff, ouuuufff….تعال وانظر
Tssss... c'est pas nos affaires... y a de l'argent ? hein, y'a d'l'argent ? Combien ? viens, allez viens... ils vont arriver...
Je suis rentré en France un peu cabossé, il m'a fallu quelques mois pour m'en remettre tout à fait. J'ai écrit un livre, et j'ai continué à enseigner, à transmettre ce que je crois connaître du monde et des hommes.
Tu sais, les journalistes sont tous des écrivains ratés, j'en suis convaincu aujourd'hui. Il faut savoir faire des choix dans la vie. Et toi, que comptes-tu...
Oh moi vous savez, vous écouter m'est déjà si précieux que le reste m'importe peu.
Tu serais pas un peu flatteur mon p'tit Paul ?
Un peu, je le reconnais, mais si peu...
°°°
Je m'suis levé,
j'ai commandé une biscotte,
un bol de thé,
j'ai pris ma douche et suis sorti,
un' femm' de chambre m'a souri.
J'écarquille les yeux surpris,
pense à DSK et... Carla !
La famille de siciliens va me les couper ça c'est sûr
si jamais on vient à fuiter cette escapade new yorkaise,
et franch'ment pas d'quoi s'emballer : la meuf était tell'ment bourrée qu'il m'a fallu, pour la sauter, lui verser l'eau glacée du sceau.
Je sors de ma poch' les tarbins,
lui donne un sacré bon pourliche,
avec la conf' que je viens d'faire, c'est l'minimum que je puiss' faire.
Après le « clac ! » d'la port' fermée, j'comprends la gaffe consommée :
tout est filmé dans cet hôtel, je me trouv' dans un beau bordel !
On va penser que j'récompense
la belle soumise alanguie,
allongée sur ce carré lit
dont elle devait changer les draps – s'occuper de la literie.
On va penser que j'l'ai baisé et même pire, violenté,
moi qui croyait à un malaise... (quellle forfant'rie, et quel menteur...)
J'ai tenté d'app'ler les secours,
mais je n'avais pas de réseau.
La direction, comme ses sœurs, fait la muette oeuvre de lâche ;
Elle se cache et fait dos rond.
Je me retrouve dans la mouise.
« DSK-Sarkozy, la même ? »
f'ront les grands titres des journaux.
Et moi qui pensais ce retour depuis DEUX ANS !
« Je vous le dis, nous ne sortirons pas vivants
de cette réunion secrète. Je suis prêt
à passer l'éponge, à donner un coup d'balai
mais c'est « donnant donnant » : je veux la confession
du coupable
ce soir
et ses motivations ! »
« Loyauté. Fierté. Devoirs. Entreprendre. »
Là est notre devise et notre foi en vous,
Peuple de Françie, enfants du Grand A Venir. »
Les journalistes sont tous des écrivains ratés. La plupart ne rêve que de départ, de mission, d'investigation en quête du Saint Graal : Pulitzer ! quelle connerie ce prix. Le terrain, la boue, le sable, le soleil qui frappe ton casque comme le marteau du forgeron l'enclume. L'eau qui arrive ocre en coulée de boue, qui déborde, entre et dévaste tout, et toi sur la route dans ta minuscule voiture, toi qui pensais traverser ce village tranquille situé dans la zone sécurisée, toi et tes collègues fous d'inquiétude, apeurés, mais toi comme absent, l'oeil vissé sur ton Canon prêt à fixer pour la première fois la rivière pourpre aux pierres de mil couleurs... je n'ai pas eu le temps de la voir. Jamais je n'oublierai cette petite route de poussière, jamais, jamais...
jamaissssssshhhhhiiiiiiiiiiiiiiooouuuuuffffffffoouuuuufffffffpppppprrrrrrroouuuuucccchhhhhhe.... Braoum !… Crac !... Schhiiiifffouuu... Pam !... Crac !... Braoum !... Shlouuufffffffffffffff... Braoum !... Piiiiiiieeeuuufff... Schiyoouuufffffffff... heinnnfff, ouuuufff, heinnnfff, ouuuufff, heinnnfff, ouuuufff, heinnnfff, ouuuufff….تعال وانظر
Tssss... c'est pas nos affaires... y a de l'argent ? hein, y'a d'l'argent ? Combien ? viens, allez viens... ils vont arriver...
Je suis rentré en France un peu cabossé, il m'a fallu quelques mois pour m'en remettre tout à fait. J'ai écrit un livre, et j'ai continué à enseigner, à transmettre ce que je crois connaître du monde et des hommes.
Tu sais, les journalistes sont tous des écrivains ratés, j'en suis convaincu aujourd'hui. Il faut savoir faire des choix dans la vie. Et toi, que comptes-tu...
Oh moi vous savez, vous écouter m'est déjà si précieux que le reste m'importe peu.
Tu serais pas un peu flatteur mon p'tit Paul ?
Un peu, je le reconnais, mais si peu...
°°°
Je m'suis levé,
j'ai commandé une biscotte,
un bol de thé,
j'ai pris ma douche et suis sorti,
un' femm' de chambre m'a souri.
J'écarquille les yeux surpris,
pense à DSK et... Carla !
La famille de siciliens va me les couper ça c'est sûr
si jamais on vient à fuiter cette escapade new yorkaise,
et franch'ment pas d'quoi s'emballer : la meuf était tell'ment bourrée qu'il m'a fallu, pour la sauter, lui verser l'eau glacée du sceau.
Je sors de ma poch' les tarbins,
lui donne un sacré bon pourliche,
avec la conf' que je viens d'faire, c'est l'minimum que je puiss' faire.
Après le « clac ! » d'la port' fermée, j'comprends la gaffe consommée :
tout est filmé dans cet hôtel, je me trouv' dans un beau bordel !
On va penser que j'récompense
la belle soumise alanguie,
allongée sur ce carré lit
dont elle devait changer les draps – s'occuper de la literie.
On va penser que j'l'ai baisé et même pire, violenté,
moi qui croyait à un malaise... (quellle forfant'rie, et quel menteur...)
J'ai tenté d'app'ler les secours,
mais je n'avais pas de réseau.
La direction, comme ses sœurs, fait la muette oeuvre de lâche ;
Elle se cache et fait dos rond.
Je me retrouve dans la mouise.
« DSK-Sarkozy, la même ? »
f'ront les grands titres des journaux.
Et moi qui pensais ce retour depuis DEUX ANS !
« Je vous le dis, nous ne sortirons pas vivants
de cette réunion secrète. Je suis prêt
à passer l'éponge, à donner un coup d'balai
mais c'est « donnant donnant » : je veux la confession
du coupable
ce soir
et ses motivations ! »
« Loyauté. Fierté. Devoirs. Entreprendre. »
Là est notre devise et notre foi en vous,
Peuple de Françie, enfants du Grand A Venir. »
Pussicat- Nombre de messages : 4841
Age : 56
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Re: News of The World
"les talbins" en argomuche
quelle vie trépidante ces journaleux, on comprend que tout le monde veuille faire de la téloche, rechercher le scoop , écrire la une, être star of the world
et puis là arrive un effronté qui te dis, what else , alors tu le regardes bien dans les yeux , et tu lui assène, vous ne serez jamais de notre monde
quelle vie trépidante ces journaleux, on comprend que tout le monde veuille faire de la téloche, rechercher le scoop , écrire la une, être star of the world
et puis là arrive un effronté qui te dis, what else , alors tu le regardes bien dans les yeux , et tu lui assène, vous ne serez jamais de notre monde
So-Back- Nombre de messages : 3652
Age : 100
Date d'inscription : 04/04/2014
News of The World II
Tu sais, les journalistes sont tous des écrivains ratés, se plaisait à me répéter mon professeur de seconde année. Ils ne le savent pas encore.
La plupart ne rêve que de départ à l'étranger, de mission, d'investigation en quête du Saint Graal : Pulitzer ! quelle connerie ce prix.
Le terrain, la boue, le sable, le soleil qui frappe ton casque comme le marteau du forgeron l'enclume. L'eau qui arrive ocre en coulée de boue, qui déborde, entre et dévaste tout, et toi sur la route dans ta minuscule voiture, toi qui pensais traverser ce village tranquille situé dans la zone sécurisée, toi et tes collègues fous d'inquiétude, mais toi comme absent, l'oeil vissé sur ton Canon prêt à fixer pour la première fois la rivière pourpre aux pierres de mil couleurs...
Je n'ai pas eu le temps de la voir. Jamais je n'oublierai cette petite route de poussière et ses craquements de tôles après le grand barouf, jamaisssssssssssssshhhhhiiiiiiiiiiiiiiooouuuuuffffffffoouuuuufffffffpppppprrrrrrroouuuuucccchhhhhhebraoum !… Crac !... Schhiiiifffouuu... Pam !... Cracbraoumshlouuufffffffffffffff... Braoum !... Piiiiiiieeeuuufff... heinnnfff... schiyoouuufffffffff... heinnnfffouuuufffheinnnffouuuufffheinnnfff... trakabouuuusssssssssssshhhhhhhfff... shiiiiiiiiiiiooooouuuuuuffffff....
aRwāH, aRwāH... Tssss... c'est pas nos affaires... y'a de l'argent ? hein, y'a d'l'argent ? Combien ? ils arrivent, viens, viens...
Je suis rentré en France un peu cabossé, il m'a fallu quelques mois pour m'en remettre tout à fait. J'ai écrit un livre, il ne s'est pas bien vendu, mais ce n'était pas ce que je recherchais. J'ai continué d'écrire des papiers, d'enseigner.
Tu sais, les journalistes sont tous des écrivains ratés, j'en suis convaincu aujourd'hui. Il faut savoir faire des choix dans la vie. Et toi, que comptes-tu...
- Oh moi vous savez, me balader en votre compagnie, vous écouter m'est déjà si précieux que le reste m'importe peu.
- Tu serais pas un peu flatteur mon p'tit Paul ?
- Un peu, c'est pas faux, un peu...
°°°
Je m'suis levé, j'ai commandé une biscotte, un bol de thé, j'ai pris ma douche et suis sorti.
Un' femm' de chambre me sourit. J'écarquille les yeux surpris – je suis comme Adam devant Eve... pense à KDS et Larca...
Ma p'tit' Larca et nos poupins ! Non ! Pas moi ! Pas là, pas maint'nant !
La famille de siciliens va me les couper, ça c'est sûr,
si cette escapad' new yorkais' vient à fuiter dans les journaux.
Et franch'ment pas d'quoi s'emballer : la meuf était tell'ment bourrée qu'il m'a fallu pour la sauter lui verser l'eau glacée du sceau.
Je sors de ma poch' des talbins, lui donne un sacré bon pourliche,
(avec la conf' que je viens d'faire, c'est l'minimum que je puiss' faire).
Après le « clac ! » d'la port' fermée, j'comprends la gaffe consommée :
« Tout est filmé dans cet hôtel, je suis dans un sacré bordel !
On va penser que j'récompens' la belle soumise alanguie,
allongée sur le carré lit dont elle vient d'changer les draps.
On va penser que j'l'ai baisé et même pire, violenté, moi qui croyait à un malaise... »
quelle forfant'rie, et quel menteur !
J'ai tenté d'app'ler les secours mais je n'avais pas de réseau.
La direction, comme ses sœurs, fait la muette oeuvre de lâche ;
Elle se cache et fait dos rond.
Je me retrouve dans la mouiz' : « KDS – Skoryaz, la même ? »
f'ront les grands titres des journaux.
Et moi qui pensais ce retour depuis DEUX ANS !
« Je vous le dis, nous ne sortirons pas vivants
de cette réunion secrète. Je suis prêt
à passer l'éponge, à donner un coup d'balai
mais c'est « donnant donnant » : je veux la confession
du coupable
ce soir
et ses motivations ! »
« Loyauté. Fierté. Devoirs. Entreprendre. »
Là est notre devise et notre foi en vous,
Peuple de Françie, enfants du Grand A Venir. »
La plupart ne rêve que de départ à l'étranger, de mission, d'investigation en quête du Saint Graal : Pulitzer ! quelle connerie ce prix.
Le terrain, la boue, le sable, le soleil qui frappe ton casque comme le marteau du forgeron l'enclume. L'eau qui arrive ocre en coulée de boue, qui déborde, entre et dévaste tout, et toi sur la route dans ta minuscule voiture, toi qui pensais traverser ce village tranquille situé dans la zone sécurisée, toi et tes collègues fous d'inquiétude, mais toi comme absent, l'oeil vissé sur ton Canon prêt à fixer pour la première fois la rivière pourpre aux pierres de mil couleurs...
Je n'ai pas eu le temps de la voir. Jamais je n'oublierai cette petite route de poussière et ses craquements de tôles après le grand barouf, jamaisssssssssssssshhhhhiiiiiiiiiiiiiiooouuuuuffffffffoouuuuufffffffpppppprrrrrrroouuuuucccchhhhhhebraoum !… Crac !... Schhiiiifffouuu... Pam !... Cracbraoumshlouuufffffffffffffff... Braoum !... Piiiiiiieeeuuufff... heinnnfff... schiyoouuufffffffff... heinnnfffouuuufffheinnnffouuuufffheinnnfff... trakabouuuusssssssssssshhhhhhhfff... shiiiiiiiiiiiooooouuuuuuffffff....
aRwāH, aRwāH... Tssss... c'est pas nos affaires... y'a de l'argent ? hein, y'a d'l'argent ? Combien ? ils arrivent, viens, viens...
Je suis rentré en France un peu cabossé, il m'a fallu quelques mois pour m'en remettre tout à fait. J'ai écrit un livre, il ne s'est pas bien vendu, mais ce n'était pas ce que je recherchais. J'ai continué d'écrire des papiers, d'enseigner.
Tu sais, les journalistes sont tous des écrivains ratés, j'en suis convaincu aujourd'hui. Il faut savoir faire des choix dans la vie. Et toi, que comptes-tu...
- Oh moi vous savez, me balader en votre compagnie, vous écouter m'est déjà si précieux que le reste m'importe peu.
- Tu serais pas un peu flatteur mon p'tit Paul ?
- Un peu, c'est pas faux, un peu...
°°°
Je m'suis levé, j'ai commandé une biscotte, un bol de thé, j'ai pris ma douche et suis sorti.
Un' femm' de chambre me sourit. J'écarquille les yeux surpris – je suis comme Adam devant Eve... pense à KDS et Larca...
Ma p'tit' Larca et nos poupins ! Non ! Pas moi ! Pas là, pas maint'nant !
La famille de siciliens va me les couper, ça c'est sûr,
si cette escapad' new yorkais' vient à fuiter dans les journaux.
Et franch'ment pas d'quoi s'emballer : la meuf était tell'ment bourrée qu'il m'a fallu pour la sauter lui verser l'eau glacée du sceau.
Je sors de ma poch' des talbins, lui donne un sacré bon pourliche,
(avec la conf' que je viens d'faire, c'est l'minimum que je puiss' faire).
Après le « clac ! » d'la port' fermée, j'comprends la gaffe consommée :
« Tout est filmé dans cet hôtel, je suis dans un sacré bordel !
On va penser que j'récompens' la belle soumise alanguie,
allongée sur le carré lit dont elle vient d'changer les draps.
On va penser que j'l'ai baisé et même pire, violenté, moi qui croyait à un malaise... »
quelle forfant'rie, et quel menteur !
J'ai tenté d'app'ler les secours mais je n'avais pas de réseau.
La direction, comme ses sœurs, fait la muette oeuvre de lâche ;
Elle se cache et fait dos rond.
Je me retrouve dans la mouiz' : « KDS – Skoryaz, la même ? »
f'ront les grands titres des journaux.
Et moi qui pensais ce retour depuis DEUX ANS !
« Je vous le dis, nous ne sortirons pas vivants
de cette réunion secrète. Je suis prêt
à passer l'éponge, à donner un coup d'balai
mais c'est « donnant donnant » : je veux la confession
du coupable
ce soir
et ses motivations ! »
« Loyauté. Fierté. Devoirs. Entreprendre. »
Là est notre devise et notre foi en vous,
Peuple de Françie, enfants du Grand A Venir. »
Pussicat- Nombre de messages : 4841
Age : 56
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Re: News of The World
Désolée, je suis quelque peu passée à côté cette fois. Un sentiment d'inachevé, de frénésie qui empêche certaines idées de complètement s'exprimer, de quelques rapidités aussi pour vite passer à la notion suivante.
A te lire dans un autre texte et en espérant plus de commentaires pour ce texte.
A te lire dans un autre texte et en espérant plus de commentaires pour ce texte.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: News of The World
Oui pour moi aussi une notion d'inachevée... Je lis comme avec des sauts d'humeurs (Orthographes de sautes, sauts d'humeur... ???)... mais je lis avec envie... Sans doute que la richesse du contenu nous en fait manquer...
Sur un format un peu plus long, ça devrait mettre dans le mille !
Merci
Sur un format un peu plus long, ça devrait mettre dans le mille !
Merci
Gyver- Nombre de messages : 88
Age : 63
Localisation : Auvergne
Date d'inscription : 20/06/2014
Re: News of The World
Ces journalistes valent-ils la pige que l'on se fait d'eux ? ;-)
Ba- Nombre de messages : 4855
Age : 71
Localisation : Promenade bleue, blanc, rouge
Date d'inscription : 08/02/2009
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