Jogging...avec des filles ...aux cheveux rouges et chatains!

Un jour j’ai vu Dieu au travers de ton jogging serré sur le fil de tes jambes qui en disaient long sur ta capacité à courir pendant des heures. Il marquait d’une ligne étroite le fin passage du paradis sur terre et je l’imaginais…En dentelle noire, ou blanche, mais en dentelle. Une perfection, une, ou plutôt, ‘’des’’ courbes façon Bardot dans : ‘’ Et Dieu créa ….’’, …et pour la troisième fois en sept minutes trente-quatre, j’ai mis ma chaussure gauche (des A...CS à 300 boules) dans une p….n de flaque d’eau qui s’est jetée sous mes pieds par dépit, frustrée de rester là, au milieu de ce chemin de la campagne Lyonnaise. D’un petit cri (faussement indigné), tu m’as signifié ton désaccord, la douche, se serait pour plus tard et je t’imaginais (nous) nue(s) sous cette fausse pluie préfabriquée dans la mosaïque italienne de ton appart du deuxième.
Faut que j’arrête de baisser les yeux. Tiens, je vais me concentrer sur ta chevelure de feu, nouée en equi-lastique chouchou fushia, formatée métronome. Gauche droite, gauche droite,…c’est Roland Garros en miniature et tu me plantes un ace direct dans le cœur…jeu, set et match. Tu gagnes une fois de plus ! Tu gagnes tout le temps. En fait, je devrais courir devant toi, et non derrière…derrière, le tien est perfection ! ça y est, ça recommence. Bon sang ma fille, ressaisis toi, il n’y a pas que le ‘’Q’’ dans la vie ! J’allonge ma foulée de telle sorte que je me retrouve à ton côté. Le gauche, mon préféré. Je te mate en coin, perfide et je lis l’effort, oh, à peine marqué sur ton doux visage de…de quoi au fait ?
J’hésite encore…princesse ?... non, ridicule, star ?... pff, ringard !
Un Ange, c’est ça, tu es un Ange tombé du ciel, sur ma tête de crétine azimutée façon Gaston au féminin, gaffeur patenté !
Tu retireras ton sweet informe, celui qui cache des monts et merveilles, courbures du temps et de l’espace qui se réduira dangereusement dans le couloir qui mène à ta (notre) chambre. Peut-être que mes mains trembleront alors sur ces fichus crochets, gardiens de ta décence. Mais je sais qu’ils finiront par se rendre, vaincus par l’indécence. Le mur se souviendra longtemps de ton dos emperlé d’effort, mélange de musc opiacé et de sueur. Aurai-je alors assez de ces deux mains pour te géographier cette carte du tendre où faudra-t-il l’aide de mes lèvres framboisées, téléguidées vers ton Monde de Vénus en appel furieux…
La fille aux cheveux châtaigne cours derrière la fille aux cheveux rouges.

Et le monde s’arrête, le temps d’un scopitone qui n’existera que dans votre imagination troublée par tant de grâce…

Bonjour,

Je dois payer mon assiduité sur le site...

Un petit mot...non ?

Vous savez comment ça fonctionne : vous commentez les autres, les autres vous commentent.

en général les filles aux cheveux rouges et châtain racolent, c'est pour çà qu'elles ne commentent pas

Bonjour,
Alors sur la forme j'ai trouvé certaines phrases un peu alourdies par l'accumulation de propositions et autres compléments notamment le tout début et la fin mais au milieu ça glissait plutôt bien.
sur le fond, d'un côté, dériver sur un cul tout ce temps demande un effort conséquent et amusant pour le lecteur, de l'autre j'ai trouvé étrange les écarts de métaphore entre le tennis et la carte du tendre l'écart est un peu... brusque.
Après je ne sais pas trop si j'ai aimé ou non, le texte est ni trop long ni trop court et son thème très restreint. Je dirais donc que je suis agréablement mitigé pour faire mon casse couil***. Don pourquoi pas voir de vous un autre texte plus... différent.

Buffalo66 a écrit:Bonjour,
Alors sur la forme j'ai trouvé certaines phrases un  peu alourdies par l'accumulation de propositions et autres compléments notamment le tout début et la fin mais au milieu ça glissait plutôt bien.
sur le fond, d'un côté, dériver sur un cul tout ce temps demande un effort conséquent et amusant pour le lecteur, de l'autre j'ai trouvé étrange les écarts de métaphore entre le tennis et la carte du tendre l'écart est un peu... brusque.
Après je ne sais pas trop si j'ai aimé ou non, le texte est ni trop long ni trop court et son thème très restreint. Je dirais donc que je suis agréablement mitigé pour faire mon casse couil***. Don pourquoi pas voir de vous un autre texte plus... différent.

Arghhh, là, j'en suis baba...Tu n'es pas casse-cou...le, mais je dirais plutôt que tu en as...
Merci pour l'analyse, je vais revoir ces points détaillés ...
Amitié!