Des Vies

Entre deux courants d'air, des vies se croisent,
sans jamais se côtoyer.
ce sont des vies parallèles, sous des toits d'ardoises,
sans une once d'opportunité

Aussi les échanges ne sont pas monnaie courante
avec cette indifférence
dont les paradoxes aux antipodes, hantent
avec acuité l'absence.

Entre deux épitaphes, des vies se meurent
sans jamais avoir essayé
ce sont des vies distinctes, sous d'autres ailleurs
sans une once de promiscuité .

Aussi chacun campe sur ses positions
avec ses certitudes
dont on dit qu'elles sont sans solutions
avec l'orgueil de l'habitude

Belle entame, un 1er quatrain qui annonce une belle promesse, comme une chanson, j'entends même un air derrière... chanson rock pour vies urbaines... la dernière strophe est un peu banale.
à reprendre, peut-être... (j'y vais à petits pas maintenant, j'ai peur de me prendre un retour d'ascenseur

je l'ai posté ailleurs
bcp on soulevé la fin en disant " que l'orgueil de l'habitude" résumait bien le croisement de ses vies ou les gens s'ignorent

je ne suis pas méchant , ni rancunier,
donc pas de retour d'ascenseur ,
mais je suis observateur

merci de ta lecture