Il y a des jours après la nuit
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Il y a des jours après la nuit
Il y a des jours après la nuit
Il y a des jours
Qui ne devraient pas se vivre
La vie
Je viens de l’apprendre
Dans l’abyssale stupeur
Où coagule une atmosphère cruelle
Qui englouti sans prévenir
Corps et âmes
Coincées dans une brume
Glaciale d’outre-tombe
Il se murmure sans crier
Des plaintes d'animaux sauvages
Où rodent l'horreur
La désolation
L'impuissance
Chercherions-nous un coupable
Dieu a vomi son cancer
Sur une mer sans vagues
À l’écume bénie des dieux
Et a tué son inconscience
Au seuil de l’imaginaire
Et l'inadmissible
Déshabille son être
Au contact d’espoirs glacés
Ses cheveux d'anges ont disparu
Ses mains violettes s’engourdissent
Caressent la chaleur d’une prière
Le fond de teint de son miroir
Cherche encore son visage
Un clair-obscur
Pour refléter sur le gel
Le plus bel air
À la lueur d’une flamme
Parfumée au sel
D'un amour éternel
Derrière son écorce diaphane
Son cœur saigne sans rougir
À l’ombre des regards perçants
Où nos yeux rouges voilent le bleu
De ses derniers souvenirs
« Encore un songe une dernière fois
Je ne me vois pas bien… »
Il y a des jours
Qui ne devraient pas se vivre
La vie
Je viens de l’apprendre
Est une loterie mortelle
On ne peut pas la dominer
Comme on ne peut replier
Son doigt d’honneur
Face à la création
Quittera-t-elle son corps
L’âme consciente
Sur le seuil de l’imaginaire
Là-haut dans le jardin de la lune
À tout de suite
Là où l'amour se cultive
Là où seul l'amour gagne
Là-bas où il y a des jours après la nuit
James Px. le 29.11.13
Il y a des jours
Qui ne devraient pas se vivre
La vie
Je viens de l’apprendre
Dans l’abyssale stupeur
Où coagule une atmosphère cruelle
Qui englouti sans prévenir
Corps et âmes
Coincées dans une brume
Glaciale d’outre-tombe
Il se murmure sans crier
Des plaintes d'animaux sauvages
Où rodent l'horreur
La désolation
L'impuissance
Chercherions-nous un coupable
Dieu a vomi son cancer
Sur une mer sans vagues
À l’écume bénie des dieux
Et a tué son inconscience
Au seuil de l’imaginaire
Et l'inadmissible
Déshabille son être
Au contact d’espoirs glacés
Ses cheveux d'anges ont disparu
Ses mains violettes s’engourdissent
Caressent la chaleur d’une prière
Le fond de teint de son miroir
Cherche encore son visage
Un clair-obscur
Pour refléter sur le gel
Le plus bel air
À la lueur d’une flamme
Parfumée au sel
D'un amour éternel
Derrière son écorce diaphane
Son cœur saigne sans rougir
À l’ombre des regards perçants
Où nos yeux rouges voilent le bleu
De ses derniers souvenirs
« Encore un songe une dernière fois
Je ne me vois pas bien… »
Il y a des jours
Qui ne devraient pas se vivre
La vie
Je viens de l’apprendre
Est une loterie mortelle
On ne peut pas la dominer
Comme on ne peut replier
Son doigt d’honneur
Face à la création
Quittera-t-elle son corps
L’âme consciente
Sur le seuil de l’imaginaire
Là-haut dans le jardin de la lune
À tout de suite
Là où l'amour se cultive
Là où seul l'amour gagne
Là-bas où il y a des jours après la nuit
James Px. le 29.11.13
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