Adieux

Adieux

Vide des mots gel de l’absence
Souffle le vent sur ma douleur
Larmes de pluie désespérance
Croule le Temps batte mon cœur

Clous dans la chair tresse d’épines
Grincent les dents il est trop tard
Perles de sang dans les poitrines
Morde la scie de ton regard

Cendres des ans dans la poussière
Sonne le glas de nos amours
Point de merci nulle prière
Filent les nuits meurent les jours

Rien n’est acquis tout est mensonge
Perce l’abcès de ma rancœur
Souffle d’espoir ombre d’un songe
Croule le Temps batte mon cœur

Gobu

avant de nous dire adieu mon cher gobu
j'apprécie ton texte

Cendres des ans dans la poussière
Sonne le glas de nos amours
Point de merci nulle prière
Filent les nuits meurent les jours

ainsi va la vie et ses déboires, et l'on se retrouve au café à boire

Que dire ? Un texte plein de sentiments, qu'on sent vécu, mais qui perd en maîtrise et en inventivité ce qu'il a gagné en émotion. Les images sont vraies (et font vrai) mais semblent usées. J'ai lu bien plus audacieux de ta part.

Allez ! On range les classiques et on reprend ce que je peux lire dans "Déserte la rue" !

Silence écrit