Leçon de savoir-vivre

et personne ne s'insurge, et personne ne dénonce...

visiblement si, puisqu'il y a de ça dans ce que tu écris. Je pressens une force dans ton style, dans tes idées. Attention à l'orthographe, relis-toi, il y a beaucoup de fautes. Il y aurait des jours de discussions à partir de ton texte, permets-moi une contradiction sur un sujet qui me tient à coeur.
Il a trait au politique. Quand des hommes et des femmes votent pour des partis dits extrémistes qui ne totalisent qu'un pourcentage infime de voix, ces gens-là font parfois (quoi qu'on en pense) le choix de croire en une société différente de celle qui leur est "imposée". Ils diffèrent en cela d'une masse de gens qui pensent, par exemple, qu'il n'y a pas d'autres sociétés envisageables que celles fondées sur le capitalisme et l'ultra-libéralisme et traduisent mathématiquement (dans l'urne, par exemple) ce déséquilibre qu'il y a entre une énorme proportion de gens à la conscience frileuse et une autre, minuscule, qui appelle à une aventure différente de la vie, différente de toutes celles qu'on ne cesse de leur dessiner et qui est possiblement effrayante.

Du style je trouve, de la force, de la personnalité, mais les idées exprimées me paraissent assez confuses...

Bienvenue !

sympa de te revoir sur VE, je-suis-pire, mais par pitié, passe donc tes textes au correcteur ou fais-toi relire s'il te plaît pour qu'on puisse dire du bien de tes écrits ! ;-)

je-suis-pire a écrit:Efforces toi d'aimer tes questions, chacune comme une pièce qui te serait fermée, comme un livre écrit dans une langue étrangère.

je relis cette phrase, elle me plait et pourtant je ne suis pas certain de la comprendre...

Ne fuis pas le temps, il le fera pour toi.

et celle ci est très belle.
Tout ce que tu dis est très ressenti, sans pour autant être très juste, car "ils" sont bien plus nombreux, ceux qui le pensent sans l'écrire, ou sans qu'on sache qu'ils l'écrivent... (j'en identifie entre un et cinq par classe :-)
Je crois que le constat que tu fais est le nécessaire bagage de départ, et qu'ensuite, il faut dessus broder une histoire modélisante de comportements humains face à cette réalité consternante.

enfermés dans cette caverne obscure où les traits de la vérité se dessinent mais où elle reste floue, déformée, irréelle.

Là tu mets le doigt sur quelque chose d'important, la relation entre vérité et réalité... de quoi écrire toute une vie !
Et si tu connais Platon et le mythe de la caverne, tu connais sans doute cette phrase de Térence : "[...] rien d'humain ne m'est étranger". Vu d'ma f'nêtre, c'est un peu comme ça la littérature, à travers les combinaisons d'observations dont on fabrique les histoires, le lecteur remonte jusqu'à ses propres constats et vibre en harmonie, par sympathie comme les cordes des instruments, il y a accord, unisson.
Et c'est pareil en peinture (et encore plus en dessin).
Tu sais quoi ?
Que tu écrives en italique et en violet me touche et m'amuse beaucoup, c'est comme si tu voulais écrire tout de même à la main, avec une encre de l'époque où ta grand mère était peut-être en classe avec moi.
Tu vois, rien de nouveau sous le soleil... et bienvenue au club :-)

PS : ah oui, on est sous le joug, et non dans.

Hey Mistinguette, y'a plein de fautes!
T'es punie. A chaque texte comprenant des fautes je te balance un poème Tang.


Sur la tour de You Zhou
Chen Zi Yang

Devant moi, je ne vois pas les grands hommes du passé,
derrière moi, je ne vois ceux de la génération montante.
Pensant au ciel et à la terre sans fin,
seul et tristement je verse des larmes.

....

Les fautes, c'est clair...

Le sujet m'a très peu intéressée, trop éculé, mais ce n'est pas ta faute, c'est comme ça. Dommage que tu ne lui donnes pas une facette différente de ce qu'on peut lire dans les magazines.