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Le jour où j'ai donné ma vie aux chats

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apoutsiak
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Zou
panasonic
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Le jour où j'ai donné ma vie aux chats Empty Le jour où j'ai donné ma vie aux chats

Message  panasonic Lun 14 Avr 2008 - 17:40

07/11

Le pays est sans président, je suis sans femme. Je suis le pays.
Réveil sur la voix de maman, on veut régler le chauffage.
A travers la porte :
- Nom de chien, pourquoi tu ne m’as pas prévenu avant, maman ?
- Chéri, ce n’était pas prévu, justement.
- Il est quelle heure ?
- 10 heures.
- Eh merde.

Je m’extirpe du lit avec l’énergie d’un zombie. Direction cuisine pour le même rituel : nescafé, bananes au sucre enroulées dans le pain puis, le salon, pour la première clope du jour. Depuis deux jours je fume des Bond. Fini les Marlboro, ces saloperies m’arrachent la gorge ( des rumeurs stupides stipulent que le tabac des Marlboro libanaises est substitué par des feuilles de platane. )

Première taffe, premier dérangement, la servante :
- Monsieur, j’ai démarré votre ordinateur par mégarde, je voulais l’essuyer…
- « Ah laisse, pas la peine, je le fais avec un produit spécial et puis, t’inquiète, l’ordinateur est toujours en veille » que je la rassure avec un clin d’œil.


J’allume la télé : des ourang-outangs dansent. Je change de chaîne : une gazelle présente le journal. J’éteins. Je rallume. J’éteins. Je rallume. En gros plan, le visage d’un concitoyen au bord des larmes : « La bonbonne de gaz a augmenté de 15000 L.L en cinq mois !! Comment je vais faire moi ? Dites-moi ! COMMENT JE VAIS FAIRE MOIIIII !! »

Ma mère est dans la cuisine à discuter politique avec le mec du chauffage. Le mec du chauffage est un type costaud, bonnet avarié sur le crâne, braguette ouverte. Il parle fort, il parle trop. Manifestement, il a perdu son esprit : trois enfants à nourrir et des clients comme maman, ça va de soi.

Je change encore de chaîne. Sujet : « Le salon du livre, entre le commercial et le littéraire ». Une pute-poétesse est invitée pour tergiverser sur le statut de l’écrivain arabe.
« Tous les écrivains arabes, dit-elle, solennelle, souffrent du même syndrome : le manque de liberté ». Quant à la question « quel genre littéraire marche le mieux dans le monde arabe ? », elle nous apprend que les koweitiens ont une préférence pour le roman. La pute.

Aujourd’hui je change de psy. Un mâle. Ca rigole plus, les médocs s’imposent. La combine « enfance-malheur-blabla » ne marche plus. L’autre pute, la femelle, m’a raqué 500000 L.L. Cinq séances, au bout desquelles elle a conclu qu’on était encore très loin de la guérison. « Je dois vous connaître encore plus…Ce qui est sûr c’est que vous avez des problèmes avec vos souvenirs, notamment votre ex que vous n’arrivez pas à oublier au bout de quatre ans alors que c’est bien vous qui l’aviez quittée… Vous ne vous sentez nulle part à votre place, vous n’arrêtez pas de penser à la mort, vous avez l’impression que votre jeunesse est impossible, vous n’arrivez même pas à faire les choses que vous aimez… Vous êtes lucide, je vous l’accorde, mais vous avez besoin d’assistance. Cinq séances, ce n’est rien, c’est à peine que j’ai eu le temps de cerner votre profil, en cinq séances… Et là vous me dites que vous allez arrêter la thérapie. N’êtes-vous pas, encore une fois, en train de fuir ? Comme vous l’avez fait avec tout ce que vous avez entrepris jusqu’à présent ? Quoiqu’il en soit c’est à vous de voir, vous avez 28 ans et vous n’êtes plus un enfant…
J’ai lui ai dit que je vais y réfléchir. Depuis, je n’y suis plus retourné, bien entendu.

Je suis en train de m’imaginer le bide déchiqueté, barbouillé de tripes à cette jolie danseuse du ventre quand la servante décide de provoquer un deuxième dérangement :
- Monsieur, j’ai trouvé ce papier sous votre lit, je l’ai mouillé en repassant la serpillère, j’en suis extrêmement navrée !
- Ah, ce n’est pas grave, t’inquiète, c’est une facture sans importance, donne.

Je saisis énergétiquement le papier et au moment où j’esquisse le geste pour le jeter dans la gueule béante de la poubelle juste à côté, une voix se fait entendre.
« Elle vaut combien la facture qui est dans vos main ? ». N’ayant pas cru mes oreilles, je baisse le son de la télé pour mieux entendre.
« ELLE VAUT COMBIEN LA FACTURE QUI EST DANS VOS MAIN ? »
Nom de dieu, la poubelle parle !

- C’est la facture de mes cours de dessin.
- Combien ?
- 600000 L.L
- Je n’en veux pas, donnez-moi votre vie à la place.
- Ma vie ?! Vous voulez que je jette ma vie à la poubelle ?
- Oui.
- Nom de Dieu, mais si je vous donne ma vie, je ne serai plus.
- Au contraire, vous vous n’en porterez que mieux. Vous n’aurez même plus besoin d’aller voir votre nouveau psy cette après-midi. Vous vous réveillerez avec une énergie d’un trapéziste, vous aimerez tout ce qui croisera votre chemin et vous écrirez des pavés, des pavés !
- Et qu’est ce qui me le prouve ?
- Je peux vous dire votre fantasme le plus secret. Si ça, ce n’est pas vous connaître !
- Vous voulez dire que…si…si vous dites juste je serai contraint de vous donner ma vie ?
- Oui.

Elle murmura des mots dans une langue qui m’était étrangère- que je compris néanmoins- et dont j’ai pu retenir ces derniers mots :

« …ruye treao kuleta agoni »





Avoir un nez, des yeux, de la salive a toujours été un supplice pour moi. A chacun de mes réveils j’assimile le craquement involontaire de mes os à une des choses de cette vie. Le craquement de ma colonne vertébrale, par exemple, représente toutes ces nuits où je faisais semblant de m’amuser dans les boîtes de nuit. Celui de mon cou s’attribue à mon ex, quant au craquement de mon genou, cela me rappelle la cafétéria enfumée de cette fac qui me donnait la nausée aussitôt que j’en franchissais les portes.
Je ne saurais pas vous expliquez davantage, c’est assez abstrait et j’en conviens. Cependant je vous garantis que ma paranoïa physique est aussi réelle que ma respiration. Ma mort c’est mon occupation première, ma vie.

Mais alors, me diriez-vous, puisque vous y tenez tant, pourquoi avez-vous décidé de balancer votre vie à la poubelle ? N’êtes-vous pas heureux, au fond ? Vivez-vous dans la misère ? Votre femme vous a-t-elle quitté ? Souffrez-vous d’un cancer ? Avez-vous subi un harcèlement sexuel dans votre lieu de travail ?

Non pas vraiment. Pas du tout, en vérité. Je suis en très bonne santé, dieu merci, je n’ai, pour ainsi dire, jamais connu de maladie grave et je ne manque de rien. Je suis probablement le type le plus heureux de ces dernières décennies : je n’ai ni femme ni boulot. Quant au fait d’être victime d’harcèlement, je suis, ma foi, pas mal séduisant mais pas assez pour subir ce genre de déviation.

Pour tout dire, et après réflexion, même si la poubelle n’avait pas deviné mon fantasme le plus secret, je lui aurais quand même jeté ma vie. La demande de la poubelle était comme si quelqu’un vous demandait, sans crier gare « préférez-vous les roses ou les cyclamens ? » Vous pourriez beau me convaincre que vous pencheriez pour les cyclamens, je ne vous croirai pas, étant sûr que vous opteriez pour les roses, pour la simple et bonne raison que les cyclamens vous ne connaissez pas, tout simplement. Oui voilà, c’est exactement ce que j’ai fait. Ayant depuis toujours possession de ma vie, j’ai voulu voir ce que cela donnerait sans.

Je me relève direction la salle de bains pour une douche. A priori, rien n’avait changé ( ou presque ( effet placebo ? ) car je ressentais une certaine légèreté à la démarche et mes os craquaient involontairement sans pour autant me rappeler les choses de la vie. )
Une fois la douche prise, je me suis positionné en face du miroir pour voir à quoi je ressemblais, maintenant que je me suis débarrassé de ma vie. Oh mon dieu !!! Mes yeux ! Mes yeux ! Au niveau de mes yeux il s’est effectué un changement : mon strabisme léger de toujours s’était atrocement accentué ! Et, soudain, comme mû par une force extraordinaire, je me suis écouté dialoguer avec mon reflet dans le miroir.

- Salut.
- Salut.
- Tu as une drôle de tête, tes yeux baisent.
- Ah ouais ?
- Oui, on dirait que tu as vu un truc pas très joli. Qu’est ce qui se passe ?
- Oh rien, je viens de jeter ma vie à la poubelle, là, il y a quelques minutes.
- Ah, et tu te sens comment ?
- Très bien. Je n’ai plus à voir ma psy cette après-midi.
- Bien. C’est quoi les dernières nouvelles du pays ?
- La bonbonne de gaz a augmenté de 15000 L.L en cinq mois. L’autre jour j’étais allé me prendre une pizza. Ca coute 12000 L.L au lieu de 10000L.L
- Tout devient cher, c’est ça ?
- Oui, bigrement cher, « même les champignons, c’est plus donné » avait lâché désespérément le pizzaiolo. Finalement je lui ai commandé une « mankouché », c’est bien moins cher, tu penses bien…
- Et tu cherches du travail ou tu te prends encore pour l’écrivain du siècle ?
- Je suis un être d’espoir.
- Tu vis comment ?
- Mon père est quelqu’un de bien. Il ne croit pas en moi mais il me trouve sympa.
- Et si ton père crève demain, tu fais comment ?
- Le destin prendra un autre cours : je m’éclaterai la cervelle à quarante ans au lieu de soixante.

C’est sur ces jolies paroles que ma conversation avec mon reflet prend fin quand ma mère, de l’autre côté de la porte, me signifie qu’elle souhaite faire usage des toilettes ( j’ai toujours eu un élan d’affection pour ma mère dans ce genre de situations. )
« Je termine ! »
Avant de sortir je secoue frénétiquement ma tête espérant revoir mes yeux regagner leur état initial. En vain. Quand je sors pour céder les toilettes à maman, je la frôle en passant, le pas vif et la tête baissée.

En revenant au salon je constate que le sachet de poubelle a été changé. Un frisson parcourt mon corps : ma vie était probablement perdue à jamais. Et maintenant qu’elle n’était plus à ma portée, j’ai eu comme un besoin urgent de la récupérer tout de suite si bien que j’ai couru vers la grande poubelle qui se trouve sur le balcon de la cuisine pour l’y chercher. Rien. Quand ma mère revient dans la cuisine pour surveiller la cuisson des escargots, elle me trouve affalé par terre, exténué, les larmes aux yeux.

- Qu’est ce qui se passe, chéri ???
- Maman, j’ai perdu ma vie.
- Comment ça, tu as perdu ta vie ? Tu parles, tu pleures, ta barbe ne cesse de pousser depuis trois mois. Tu es vivant mon fils !
- J’ai jeté ma vie à la poubelle…
- Tu as jeté ta vie à la poubelle ?... De toutes façons, je viens de changer le sachet. Dans celui-là j’ai jeté les lentilles d’il y a trois jours, deux trois journaux, l’ancien encrier de l’imprimante et…c’est tout !
- Et la poubelle du salon tu l’as jetée où ?
- Randa l’a déposée dans les grandes poubelles, en bas, en partant…

Certes elle ne comprenait pas comment on pouvait jeter sa vie dans une poubelle et j’ai eu comme une envie pressante de l’étrangler mais, à la vue de ses petites mains ajuster le sachet de poubelle agressé, j’ai eu un élan de tendresse à son égard et me suis repris pour me précipiter tel un fou, en pyjama et en pantoufles, vers la porte de l’entrée et j’ai dévalé les escaliers jusqu’à la rue.

Une horde de chats sauvages encerclait le sachet anthracite typique de maman le déchiquetant rageusement à coup de griffes et de morsures. J’essayais de leur donner peur en gesticulant et en se confondant dans des interjections ridicules, mais ils y allaient de plus belle comme s’ils étaient au courant qu’il y avait là une chose de valeur, notamment ma vie.
Un chat noir tacheté de blanc au niveau de l’œil gauche s’acharnait plus que les autres à telle enseigne qu’il fut le premier à trouer le sachet et à en choper, avec maestria, une chose rougeâtre d’aspect mou qui pendait dans sa gueule. Il me regardait alors fixement avec ses yeux ocre quand soudain il porta ses pattes à son cou.
C’est exactement à l’instant où je me mis à sa poursuite que, dans cette journée grisâtre de début d’automne, une bombe explosa à une vingtaine de mètres de moi atomisant le beau figuier des Arméniens que, petit, je pillais et que j’aimais tant.

La guerre civile venait juste de commencer.
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Message  Zou Lun 14 Avr 2008 - 20:17

Un style peut être pas toujours très orthodoxe mais une idée et un traitement originaux. Je t'ai senti plus à l'aise à la toute fin du texte à partir des toilettes. Sinon le dialogue face au miroir me semble un peu pauvret.
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Message  mentor Lun 14 Avr 2008 - 20:29

Petite histoire très originale
Quelques maladresses dans certaines expressions, faciles à reprendre.
J'aime bien ton style. Il y a quelque chose. Un ton.

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Message  apoutsiak Lun 14 Avr 2008 - 21:31

.

Moi aussi j'aime ton style, il y a vraiment quelque chose d'attirant dans ton écriture, je crois te l'avoir déjà dit. Maintenant, je n'ai pas cru à cette poubelle, peut-être par ce qu'il n'y a pas autour d'elle une construction pour soutenir efficacement cette magie. Peut-être que j'ai trouvé assez artificiel le montage psychanalyste + bonne + maman + écrivain qui se cherche + richard + bombe. Un peu brouillon, au total.
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Message  Krystelle Jeu 17 Avr 2008 - 6:12

Il y a de bonnes choses dans ce texte, l'idée de ce personnage désabusé qui jette sa vie comme une lingette par exemple. Et puis cette forme de révolte dans l'écriture me semble intéressante (même s'il n'est sans doute pas indispensable que "pute" revienne à trois reprises).
Certains passages me paraissent, par contre, peu convaincants : le raccourci de l'analyse psy par exemple ou encore le dialogue devant le miroir.
Bref, un texte plutôt inégal mais qui ose, ce n'est pas pour me déplaire.

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Message  ninananere Ven 18 Avr 2008 - 13:18

Euh... Pour ma part, je me sens un peu agressée...
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Message  Sahkti Jeu 24 Avr 2008 - 8:15

Je suis partagée, je n'ai pas été vraiment emballée en fait.
Il y a de bonnes idées dans ce texte, comme cette poubelle qui parle, mais il y a trop d'éléments qui entrent en jeu sans pour autant être développés.
L'augmentation du coût de la vie, si rapide, on ne sait trop à quoi c'est dû, où on se trouve, comment ça fonctionne.
Il y a une servante, une mère un peu bizarre, un chauffage en panne, toute une vie là-dedans, mais on en sait peu.
Cette poubelle causante, on est vite passé à autre chose, aussi, je trouve; idem pour le miroir.
Bref, tu abordes différents sujets sans vraiment prendre le temps de les examiner et de t'y attacher, c'est dommage, parce que ça finit par donner un texte trépidant dont on ne sait trop quoi retenir.
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Message  Invité Jeu 24 Avr 2008 - 9:44

L'idée de ce garçon qui jette sa vie à la poubelle est originale et séduisante mais tout ça gagnerait à être condensé, il y a là quelques longueurs qui n'apportent rien au texte. A mon avis, rien qu'en évitant la répétition inutile du mot "pute" tu devrais déjà bien améliorer le texte. Et puis, je ne sais pas pourquoi, je n'arrive pas à rentrer dans le texte, les émotions ne passent pas, on lit ça de loin, avec détachement, sans s'investir...
Petite remarque : on dit le harcèlement, pas l'harcèlement

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Message  panasonic Jeu 8 Mai 2008 - 21:19

Je suis en accord parfait avec toutes ces remarques judicieuses, vraiment : je note.

Merci à vous, surtout aux fidèles : ils se reconnaîtront.
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Message  panasonic Jeu 8 Mai 2008 - 21:22

Et ninanere, navré pour l'offense : je suis suédois.
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Message  panasonic Jeu 8 Mai 2008 - 21:23

ninananere*

Décidément.
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Message  Mure Sam 1 Aoû 2009 - 13:27

Un drôle d'histoire qui me laisse perplexe.
Entre la morale et la légèreté avec laquelle elle est contée, j'hésite à me poser.
De plus, j'aurais continué à lire encore et encore cette journée dont vous nous racontez là seulement la première heure.
Une suite est-elle envisageable ?
Si oui, je prends volontiers.

En tous cas, j'aime.
Merci.
Mure
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