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Une de perdue - 4

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Message  Reginelle Jeu 22 Mai 2008 - 22:00

Avec tout ça, j'ai un peu beaucoup négligé mon Robert Grima.
Alors petit résumé : soupçonné de trafic de drogue, Grima, ancien para, de retour d'un déplacement à Paris, est cueilli dès son arrivée à l'aéroport JFK. Il réussit pourtant à fausser compagnie aux flics et fonce vers NY au volant de sa Testarossa à la recherche de son ami Dan Miller. Nous le retrouvons, toujours menotté... et il roule, il roule, il roule...




J'avais quitté la 678 et je suivais l'Atlantic avenue, tout droit vers l'hôpital de St Anthonys. Il devait bien y avoir aux alentours des parkings sécurisés pour y laisser ma Testarossa. Pas question d'abandonner un rêve d'enfant, acheté à crédit de surcroît, au premier coin de rue venu.

Mon cerveau s'activait à fignoler un début de plan. Restait encore à trouver de quoi me défaire de mes bracelets. Pas difficile avec le bon outil, mais j'avais peu de chance de croiser une bonne âme avec une pince monseigneur dans une poche et plus encore prête à me rendre ce genre de service.

Le temps passant, mon inquiétude grandissait et la moindre sirène me vrillait les nerfs. Pas le moment de commettre une erreur en accélérant trop, ou en grillant un feu rouge.

Je tournai enfin à droite sur le Whoodhaven boulevard. Quelques tours de roues et je trouvai la retraite idéale pour ma Belle. Un accès automatique et un employé dans une guérite qui leva la tête à peine quelques secondes. J'attendis qu'il détournât le regard pour passer mes mains liées par la vitre baissée et me saisir du ticket. Je m'engageai très vite sur la rampe conduisant aux sous-sols. Je dus descendre jusqu'au quatrième pour trouver ce que je cherchais, une place assez éloignée des caméras de surveillance, derrière deux épais poteaux de béton qui dissimuleraient en partie le jaune de la carrosserie, un peu trop voyant. Je dus m'y reprendre à deux fois avant de me garer correctement et ce fut avec un soupir de soulagement que je coupai le contact ramenant le silence autour de moi.

J'y étais. Je me laissai aller sur le siège et allumai une cigarette que je décidai de savourer en paix.

En paix… c'était vite dit ! À chaque fois que j'élevais les bras pour tirer une bouffée, je sentais l'entrave irritante des bracelets. Je jetai un coup d'œil à leur fermeture et me rassurai en constatant qu'une simple tige métallique suffirait pour la forcer. À condition bien entendu d'en avoir une sous la main. Difficile d'espérer trouver une épingle à cheveux égarée entre les sièges, nulle femme ne les ayant jamais occupés. Détail que je décidai aussitôt d'ajouter à la liste des inconvénients d'une vie de célibataire. Dans les premiers et souligné de rouge ! À lui tout seul il faisait un sacré contrepoids à celle, très longue des avantages.

Je me penchai vers le vide poche et remarquai l'anneau du porte-clé encore sur le démarreur. Je m'en saisis et l'étudiai de près. Exactement ce qu'il me fallait. Sauf que je n'étais ni Superman ni Robocop et que pour le défaire et lui donner la forme adéquate il m'aurait fallu des doigts d'acier. Et là, je pensai à la trousse à outils dont était équipée la Ferrari. Ce serait bien un comble de malchance si elle ne comptait pas une pince.

Je jetai ma cigarette à demi dégustée, actionnai l'ouverture intérieure du coffre et me ruai hors de l'habitacle. Je le re-intégrai quelques secondes plus tard avec une précieuse mallette de cuir que j'ouvris sans attendre. Et là, merveille des merveilles, non seulement il y avait la pince de mes rêves mais également toute une série de tournevis, du plus fin au plus épais. Le plus mince fit l'affaire. Avec un peu de concentration, de la patience et sans la moindre écorchure. Heureux et libéré, je balançai allègrement menottes et tournevis dans la valisette et retournai ranger cette dernière à sa place.

J'allumai une nouvelle cigarette, et appuyai sur la télécommande de fermeture centralisée des portières. J'étais libre... et ma chasse commençait.

De nouveau sur Whoodhaven boulevard, je hélai un taxi et donnai la direction de Harlem au chauffeur. Je ne pensais pas que Dan fut réellement mêlé à cette affaire et il n'était pas question de lui causer des ennuis en indiquant son adresse. En revanche j'avais besoin d'assurer mes arrières et je ne voyais que lui pour m'y aider. Il connaissait bien mieux que moi certains de mes collègues de boulot.

Le point sur lequel je me concentrais dans l'immédiat était "quand et comment" quelqu'un avait eu accès à ma valise.

Pour ce qui était d'y avoir glissé l'héroïne, cela n'avait pu se faire qu'à Paris. Par la fille qui m'avait tenu compagnie durant ces quelques jours ? Du fait que je l'avais choisie entre plusieurs dans cette boîte à call-girls, je n'y croyais pas du tout. Elle n'avait rien fait de spécial pour que je la remarque, juste une parmi d'autres.

Que je l'aie choisie, elle, n'avait été que pur hasard, et dans ce genre de trafic, le hasard n'avait pas sa place. De plus, elle n'était jamais restée assez longtemps seule dans ma chambre pour en avoir eu le temps.

Car cela n'avait pu se faire qu'à l'hôtel ! Je descendais toujours "Aux jardins de Montmartre" mais je n'y retrouvais jamais les mêmes têtes. À part deux filles d'étage et deux gars de la réception. Ce ne pouvait être que l'un d'eux. Ou alors quelqu'un de l'extérieur qui y avait ses aises. Un client, un habitué ou bien différent à chaque fois pour éviter d'être reconnu. Oui, c'était le plus logique. Quelqu'un de différent et équipé d'un passe. Ce qui n'était pas le plus compliqué à obtenir. De toute façon, ce n'était pas de New York que j'allais pouvoir enquêter là-dessus.

En revanche le scénario était le même ici. Mon appartement n'était sans doute pas aussi accessible qu'une banale chambre mais cette came, il fallait bien la récupérer. Sans l'accueil des flics, à cette heure-ci, je serais déjà chez moi, et cette fichue valise vidée et rangée. Pour autant, il eut été difficile au destinataire de réceptionner les colis dans l'immédiat, ma présence sur les lieux le rendant impossible. Ce qui me laissait du temps. À condition que l'épisode de l'aéroport ne soit pas connu.

Demain, il en aurait été autrement. J'étais attendu au bureau. Sitôt la porte franchie pour me rendre à la Stacy, je laissais le champ libre. Mais bon sang… Six paquets d'Héroïne… Comment n'avais-je jamais noté ce détail, la différence de poids ?

Passé le pont de Queensborg, j'arrêtai le taxi sur la seconde avenue, à hauteur d'un alignement de distributeurs de billets d'où je retirai le maximum d'espèces que m'autorisaient mes diverses cartes de crédit.

Mes pensées tournaient toujours autour de Dan. Non, plus j'y réfléchissais et plus il me semblait hors du coup. Pas lui. Pas le Dan qu'il était avec moi. Nous ne parlions jamais de "ses affaires", mais je ne pouvais ignorer l'éternelle présence de types aussi peu discrets que baraqués, aux vestons distendus à hauteur de rein ou d'aisselle. Je n'avais pas davantage de notion de son importance dans les rangs du milieu qui sévissait au cœur de la Grosse Pomme. Mais certainement pas un sous-fifre quelconque vu les mesures de sécurité qu'il prenait où que nous allions.

La seule allusion qu'il ait faite à cette face sombre de son existence, fut la réponse qu'il me donnât un jour, suite à un regard interrogateur que je lançai sur ses sbires…"Ils ne sont pas là seulement pour moi" m'avait-il appris, ajoutant que si jamais quelqu'un décidait de le descendre, le fait que je l'accompagnasse ne serait pas un obstacle. Qu'il était conscient des risques que comportait son "job", qu'il était prêt à y faire face, mais également qu'il avait le devoir de m'en protéger. Ce ne pouvait pas être ce Dan-là qui m'avait utilisé aussi lâchement !

Je jetai un coup d'œil à ma montre et grimaçai. Si l'après-midi était bien avancé, pas assez cependant pour espérer le trouver chez lui.

Il me restait la solution de le joindre par téléphone mais pas question d'utiliser mon portable. Les flics auraient tôt fait de se procurer la liste de mes derniers appels. La fouille de mon appartement leur livrerait bien assez rapidement des indices me reliant à l'un des membres de la pègre locale, je n'allais pas en rajouter.

Je fis une halte au premier kiosque rencontré et m'y procurai deux appareils jetables . La technologie a parfois du bon !

Central Park également. J'y arrivai par la place de la Grande Armée, l'entrée au sud-est, qui offre l'un des plus beaux points de vue.

Quelques minutes plus tard, je m'installai confortablement à l'abri d'un bosquet, tout au bord de la Pond, et partageai hot-dog et bretzels avec de peu timides écureuils, avec les canards et les cygnes, gourmands, qui peuplent la mare, jouant durant quelques instants le rôle de Holden Caufield, personnage de l'Attrape-Coeur.

S'il est déconseillé, avec raison, de ne pas traîner la nuit dans les sentiers de sa forêt centrale, dans la journée, Central Park est une véritable oasis de prairies et de bois, de lac et de cours d'eau, d'allées et de fontaines, où se retrouvent tous les new-yorkais avides d'échapper un instant au stress imposé par leur ville aux dimensions surhumaines.

Patineurs et rollers s'y succèdent au gré des saisons alors que parties de base-ball et de pêche côtoient promenades à pied, en vélo et en calèche. Des concerts y sont organisés, surtout l'été. Parfois d'autres s'y donnent spontanément, musiciens du Philarmonic voisin ou Barytons de l'école de musique de Manhattan, venant y répéter partitions et vocalises. Durant les beaux jours, les nombreuses pelouses accueillent siestes et bains de soleil. A l'ombre d'arbres centenaires, des statues de grands écrivains veillent sur les bancs où toujours se posent des lecteurs. Un havre de paix.

Et j'avais besoin de calme.

La dernière bouchée avalée, je me décidai enfin à composer le numéro de Dan sur l'un des téléphones jetables. Lorsque la communication bascula sur le répondeur, je raccrochai. J'hésitai à laisser un message que n'importe qui pourrait écouter bien avant son destinataire. J'allumais une cigarette, décidé à patienter un peu, lorsque deux gamins déboulèrent, courant et se bousculant.

- Hé, les gars, les appelai-je en me redressant vivement.

Ils s'immobilisèrent à quelques pas et je leur montrai le téléphone dans une main alors que je sortais un billet de cinq dollars de l'autre.

- L'un de vous pourrait-il me rendre un service ? C'est pour faire une blague à un ami.
- Une blague, m'sieur ?
- Oui… juste un message à transmettre, et je ne veux pas qu'il sache qu'il vient de moi. Il y en a pour deux secondes et je vous donne ce billet.

Ils se regardèrent et le plus grand s'approcha.

- Il faut dire quoi m'sieur ?
- Quelques mots, mon gars… attends …

Pendant que je lui expliquais ce qu'il devait dire, je recomposai les chiffres sur le petit clavier et à la première sonnerie tendis l'appareil au gamin qui s'en empara et recula prudemment tout en le portant à l'oreille.

- Ça répond pas, M'sieur… déclara-t-il presque à regret.
- Ça n'a aucune importance… lorsque tu seras sur le répondeur tu répètes simplement ce que je t'ai dit et tu raccroches aussitôt.

Le gamin hocha la tête et son visage s'éclaira d'un sourire. Il m'adressa un clin d'œil complice et je l'entendis articuler chaque syllabe, clairement, avec application.

Dès qu'il en eut terminé, je récupérai le téléphone et leur filai un billet à chacun. Ça le valait bien.

Nous nous saluâmes, satisfaits. Ils reprirent leurs courses plus riches de quelques dollars, et moi je me mis en route vers la 7ème avenue.

Le rire me vint soudain, en imaginant la surprise de Dan à l'écoute d'une voix d'enfant lui ânonnant :

- Oncle Dan ? Aujourd'hui ce n'est pas mon jour de chance, tu sais… Mais bon… une de perdue !
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Message  à tchaoum Ven 23 Mai 2008 - 9:30

Reginelle a écrit:qui dissimuleraient en partie le jaune de la carrosserie, un peu trop voyant.
Caisse queue ch't'avais dit ?!

Sinon, ça suit bien.

C'est bref comme commentaire, mais comme tu l'sais, le temps...
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Message  Reginelle Ven 23 Mai 2008 - 9:32

Merci surtout à toi de l'avoir pris, ce "temps", c'est beaucoup !
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Message  Invité Ven 23 Mai 2008 - 10:18

Ça se complique ! Mais ça suit bien oui.
Petit reproche sans conséquence : je trouve que le passage sur Central Pak de :
S'il est déconseillé, avec raison, de ne pas traîner la nuit dans les sentiers de sa forêt centrale, dans la journée, Central Park
à
les new-yorkais avides d'échapper un instant au stress imposé par leur ville aux dimensions surhumaines.
fait un peu guide touristique.

Deux ou 3 bricoles à revoir :

le vide poche : j'avais un doute sur la nécessité d'un tiret, mais c'est pire que ça, il paraît qu'on écrit vide-poches
il eut été => il eût été (il me semble)
Si l'après-midi était bien avancé, pas assez cependant pour espérer le trouver chez lui. A mon avis, un problème de ponctuation ou alors le "si" en trop.

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Message  Reginelle Ven 23 Mai 2008 - 12:54

Merci Island...

Pour vide-poche et vide-poches, Quillet et ATILF n'offrent que vide-poches, Larousse et Hachette acceptent les deux... Mais c'est vrai que toutes mes éditions commencent un peu à dater.

il eût été... exact avec ^... c'est un temps du conditionnel et pas de l'indicatif.

Pour la phrase, il y a élision : si l'après-midi était bien avancé, (il ne l'était) pas assez cependant pour... Je pourrais aussi dire : L'après-midi était bien avancé mais pas assez cependant...

Pour le passage cité, tu as également raison, il fait bien guide touristique, il faut le reprendre avec Grima "acteur" dedans. Je veux dire, montrer tout ça à travers lui, pas comme ça.

Question description des lieux, ça se retrouve dans tous mes bouquins. Je sais, c'est idiot. Dans l'un c'est de Lascaux à Saint-Malo, dans un autre on se balade de Paris en Bretagne, d'Aix en Provence aux Landes, etc. Je sais pas pourquoi, "envie" de donner "envie" au lecteur d'aller voir ? Va savoir...

Petite anecdote : dans une histoire je parle de la chapelle de Saint Gervais et Saint Protais, à Gisors en Normandie. Une "petite chapelle" du XII siècle. Et puis, j'ai eu l'occasion de me rendre à Gisors et de "vérifier" mes dires. Ben... essaie d'imaginer ma tête en constatant que la décrite "petite" chapelle, était aussi imposante qu'une cathédrale ! Ouaips...
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Message  bertrand-môgendre Lun 26 Mai 2008 - 12:17

Hop
bonjour, pour le texte de Réginelle.

et ce fut... il fallait, il m'aurait fallu, il fallait bien que je te dise l'hésitation complexe à résoudre le genre de l'après-midi et c'est, non convaincu que je m'abstiens de correction.

L'intrigue se dessine plus intense à chaque fois.
J'attends la suite.
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Message  Reginelle Lun 26 Mai 2008 - 19:12

@ Bertrand

Après-midi est bien du genre masculin. UN après-midi, même si beaucoup disent "une"...
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Message  apoutsiak Lun 26 Mai 2008 - 19:43

.

Non, on accepte les deux genres pour après-midi (Robert2006).

J'ai beaucoup aimé la trouvaille du téléphone à la fin. Toujours aussi bien mené, Réginelle, et continue à te laisser aller au descriptions des villes, c'est très sympa. Essaie seulement de ne pas faire"liste de choses à voir" mais de les glisser plus habilement. De mon côté, avec mon Melchior Aperghis, par exemple, j'essaie de faire apparaître les choses avec le regard un peu artiste du détective, ou avec une allégorie par-ci, un spectacle surprenant par-là. Enfin, chacun sa recette, c'était histoire de partager.

Le regret que j'ai c'est que tu nous livres un texte court, qui nous fait cheminer finalement peu de temps avec Grima. Le temps d'enlever ses menottes, de passer le parc, hop, à suivre. Ça veut tout simplement dire que j'y ai trouvé un goût de trop peu et que....

LA SUITE, LA SUITE !!!!

.
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Message  Reginelle Lun 26 Mai 2008 - 19:59

Va vraiment falloir que je me décide à me procurer la dernière édition d'un Larousse ! (ou autre dico !) si je ne veux pas finir obsolète !

chapitre 5 en ligne Apoutsiak !
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Message  Sahkti Mar 27 Mai 2008 - 12:17

Beaucoup d'action(s), encore une fois. Attention à ce qu'à force de s'agiter dans tous les sens, ça ne devienne fatiguant, tant pour Grima (physiquement) que pour le lecteur (psychiquement).

Bienvenu et indispensable le retour en arrière sur la valise, la fille, Paris, le potentiel responsable de tout ça... ça crée une rupture qui offre une respiration.

Bien aimé le coup des gamins et du téléphone, ça apporte de la fraîcheur et un sourire au milieu de ce road-movie urbain.

Pour ce qui est des descriptions ce n'est pas tant le côté guide touristique qui me dérange que le côté "placé abruptement à cet endroit", comme un cheveu dans la soupe.

Sinon, m'en vais lire la suite! :-)
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