MNEDC (1/2) : Chat, peau, claque et callypige du lendemain.
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Kilis
grieg
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MNEDC (1/2) : Chat, peau, claque et callypige du lendemain.
Les contraintes :
1- genre : autofiction à suspense
2- thème général : Il doit y avoir une situation particulière et intrigante, quelque chose de l’ordre de l’énigme qui devrait débuter de manière anodine mais qui va s’amplifiant.
3- personnage principal : le ou la narratrice = « je ». Deux ou trois personnages de second plan mais récurrents, un animal. D’autres personnages de moindre importance.
4- « ton » privilégié : intime, emploi d’un langage quotidien. Monologue intérieur du personnage principal par rapport aux évènements qu’il vit. Et aussi des dialogues.
5- emploi du je.
l'exo:
https://vosecrits.1fr1.net/forum-vos-ecrits-f1/exo-mettons-nos-ego-de-cote-t2536.htm
le texte original:
https://vosecrits.1fr1.net/forum-vos-ecrits-f1/mnedc-1-chat-peau-claque-et-callypige-du-lendemain-t2537.htm
Se réveiller n’est pas le mot juste pour décrire ce que j’ai fait ce matin-là.
J’émerge. J’ai cette phrase dans la tête. C’est le début d’un chapitre de « Eureka street » de McLiam Wilson…
On ne peut oublier certaines choses.
Mais on peut en oublier d’autres tout aussi bien foutues : Elle, par exemple.
Avec difficulté je me redresse, m’assieds, cherche à tâtons un bout de drap pour recouvrir une nudité devenue soudain gênante, cherche aussi quelque anecdote, histoire de me mettre sur la voie. N’importe quoi, mais quelque chose qui me raconte ce corps endormi, allongé à mes côtés. J’ai la gueule de bois qui me cache la forêt des souvenirs.
Voyons.
Sauf que je vois rien, si ce n’est que je suis pas peu fier, non, parce que, faut bien l’avouer, elle est sacrément bien balancée la sommeilleuse.
Je me me couvre encore un peu, de fait, la découvre.
Mais de souvenirs, niet, ouallou, que dalle…
Pourtant…
Pourtant, c’est pas le genre de corps qu’on oublie, sans parler que sur ledit corps : des épaules aux fesses, court un tatouage, un dans le genre estampe japonaise revisitée sauce virtuose de l’aiguille à encrer les chairs : Kama-sutra.
Enfin, lorsque je dis « Kama-sutra » c’est façon de parler, parce que, s’il y a bien dans le creux d’une chute de reins, un couple qui fait l’amour, il y a aussi tout autour une foule de personnages qui mate l’air ravi et… oui, c’est bien ça : un chat.
Un chat qui, posé sur le galbe d’une fesse, d’une patte, se frise les moustaches.
Un qui tourne le dos à la scène
Un qui me regarde, obscène.
Machinalement, à voix basse j’appelle le mien.
« Pouêt » je dis, « Pouêt » je répète.
Mais rien.
Et pour cause, je le réalise, je suis pas chez moi : jamais vu cet endroit-là.
Réfléchir…
Se lever, faire le tour du lit, la secouer un peu, histoire de la réveiller, histoire de voir si le ramage de la sommeilleuse se rapporte au plumage : lire son visage.
J’allume une clope.
Bordel, t’es belle toi !
« Et belle, c’est rien de le dire. »
« C’est rien de le dire » répète le chat.
Je l’ignore.
Je lève les yeux pour qu’il comprenne que je me fous de ses remarques. J’ai les paupières ginifusées sans tonic. Le plafond danse, mais comme il est blanc, ça n’a rien de bouleversant.
« Et c’est qui Pouêt ? »
Le fait qu’il prononce le nom de ma chatte me fout les boules.
« Je t’interdis de parler d’elle. »
« Jaloux ? » miaule t-il avec son sourire en vol d’oiseau à l’envers.
Je préfère faire la sourde oreille.
Le silence s’installe, à peine dérangé par un murmure de coton sur peau soyeuse.
« Bonjour. »
La voix est différente, douce et claire, à peine voilée de nuit, une berceuse qui me caresse l’émotion.
« On les avait déjà sifflées mes fesses, mais c’est la première fois qu’on leur parle. »
Gêne…
Je réponds comme un idiot :
« Je parlais au chat »
« De mieux en mieux », elle sourit.
« Non ! Non, c’est pas… », je ne sais pas comment finir ma phrase, je fais un blocage sur les justifications.
« Quel chat ? » elle demande.
La situation est ridicule.
Mais je gère. Habitude, karma.
« Le chat du tatouage »
« Quel tatouage ? »
Tout en parlant, elle se lève, traverse la chambre.
Nue.
J’ai la tête dans le cul, le sien. Je note que sa fesse droite est plus jolie que l’autre, de très peu. Je note aussi qu’elle n’a plus de tatouage.
Rien…
Elle tire les rideaux. Quelqu’un a collé sur la baie vitrée un poster de paysage exotique : palmiers, plage et lagon bleu.
Putain…
C’est pas un poster.
C’est le paradis, en vrai.
« On va prendre un petit déjeuner ? » elle me dit.
Pas plus loin qu’un peu plus tard, on se retrouve assis en terrasse. On vient de passer au buffet. Nos assiettes sont pleines de fruits, d’œufs, de saucisses grasses. Dans les tasses, le café fume, et moi aussi, comme un pompier. Nos voisins touristes grimacent, ils ont raison, mais je m’en fous. Le jus d’orange n’est pas frais pressé, des haut-parleurs distillent une musique d’ascenseur locale qui rythme la cadence des serveuses autoctoons dodues, aigries et rayonnantes. Tout est vert, bleu, jaune, avec des touches écarlates éparses. Au loin, de gros nuages éclaboussent de noir le ciel azur et, le surf blanc grogne sur la barrière de corail.
On me sert des clichés avec mes œufs brouillés et j’adore ça.
J’ai encore la gueule de bois mais avec un cœur de miel et j’entends de joyeuses abeilles chanter.
Elle est face à moi, silencieuse, le menton disposé dans la paume de la main entre ses doigts repliés ; sous sa bouche une teinte un peu plus sombre que la peau donne à l’ourlet de ses lèvres une grâce profonde ; ses yeux sont juste assez creusés pour s’ombrer sans fard.
Je plonge les yeux dans son décolleté, qui n’en est pas vraiment un, et qui n’en est que plus émouvant : Le relâchement d’un vêtement trop porté, trop souvent tendu par une poitrine faite pour moi, avec des boutons inutiles, d’autant plus sexy qu’ils ne sont que décoratifs. A chacun de ses gestes, j’entends presque le tissu cacher sa joie.
J’aperçois le chat du tatouage, plus loin, planqué dans des palmiers nains, qui m’observe.
Qu’est-ce qu’il fout là ?
Il fait un mouvement.
Si je n’étais pas calé en anatomie féline, je jurerais qu’il pointe son pouce en l’air, comme pour dire, complice : « génial ».
1- genre : autofiction à suspense
2- thème général : Il doit y avoir une situation particulière et intrigante, quelque chose de l’ordre de l’énigme qui devrait débuter de manière anodine mais qui va s’amplifiant.
3- personnage principal : le ou la narratrice = « je ». Deux ou trois personnages de second plan mais récurrents, un animal. D’autres personnages de moindre importance.
4- « ton » privilégié : intime, emploi d’un langage quotidien. Monologue intérieur du personnage principal par rapport aux évènements qu’il vit. Et aussi des dialogues.
5- emploi du je.
l'exo:
https://vosecrits.1fr1.net/forum-vos-ecrits-f1/exo-mettons-nos-ego-de-cote-t2536.htm
le texte original:
https://vosecrits.1fr1.net/forum-vos-ecrits-f1/mnedc-1-chat-peau-claque-et-callypige-du-lendemain-t2537.htm
Chat, peau, claque et callypige du lendemain.
Se réveiller n’est pas le mot juste pour décrire ce que j’ai fait ce matin-là.
J’émerge. J’ai cette phrase dans la tête. C’est le début d’un chapitre de « Eureka street » de McLiam Wilson…
On ne peut oublier certaines choses.
Mais on peut en oublier d’autres tout aussi bien foutues : Elle, par exemple.
Avec difficulté je me redresse, m’assieds, cherche à tâtons un bout de drap pour recouvrir une nudité devenue soudain gênante, cherche aussi quelque anecdote, histoire de me mettre sur la voie. N’importe quoi, mais quelque chose qui me raconte ce corps endormi, allongé à mes côtés. J’ai la gueule de bois qui me cache la forêt des souvenirs.
Voyons.
Sauf que je vois rien, si ce n’est que je suis pas peu fier, non, parce que, faut bien l’avouer, elle est sacrément bien balancée la sommeilleuse.
Je me me couvre encore un peu, de fait, la découvre.
Mais de souvenirs, niet, ouallou, que dalle…
Pourtant…
Pourtant, c’est pas le genre de corps qu’on oublie, sans parler que sur ledit corps : des épaules aux fesses, court un tatouage, un dans le genre estampe japonaise revisitée sauce virtuose de l’aiguille à encrer les chairs : Kama-sutra.
Enfin, lorsque je dis « Kama-sutra » c’est façon de parler, parce que, s’il y a bien dans le creux d’une chute de reins, un couple qui fait l’amour, il y a aussi tout autour une foule de personnages qui mate l’air ravi et… oui, c’est bien ça : un chat.
Un chat qui, posé sur le galbe d’une fesse, d’une patte, se frise les moustaches.
Un qui tourne le dos à la scène
Un qui me regarde, obscène.
Machinalement, à voix basse j’appelle le mien.
« Pouêt » je dis, « Pouêt » je répète.
Mais rien.
Et pour cause, je le réalise, je suis pas chez moi : jamais vu cet endroit-là.
Réfléchir…
Se lever, faire le tour du lit, la secouer un peu, histoire de la réveiller, histoire de voir si le ramage de la sommeilleuse se rapporte au plumage : lire son visage.
J’allume une clope.
Bordel, t’es belle toi !
« Et belle, c’est rien de le dire. »
« C’est rien de le dire » répète le chat.
Je l’ignore.
Je lève les yeux pour qu’il comprenne que je me fous de ses remarques. J’ai les paupières ginifusées sans tonic. Le plafond danse, mais comme il est blanc, ça n’a rien de bouleversant.
« Et c’est qui Pouêt ? »
Le fait qu’il prononce le nom de ma chatte me fout les boules.
« Je t’interdis de parler d’elle. »
« Jaloux ? » miaule t-il avec son sourire en vol d’oiseau à l’envers.
Je préfère faire la sourde oreille.
Le silence s’installe, à peine dérangé par un murmure de coton sur peau soyeuse.
« Bonjour. »
La voix est différente, douce et claire, à peine voilée de nuit, une berceuse qui me caresse l’émotion.
« On les avait déjà sifflées mes fesses, mais c’est la première fois qu’on leur parle. »
Gêne…
Je réponds comme un idiot :
« Je parlais au chat »
« De mieux en mieux », elle sourit.
« Non ! Non, c’est pas… », je ne sais pas comment finir ma phrase, je fais un blocage sur les justifications.
« Quel chat ? » elle demande.
La situation est ridicule.
Mais je gère. Habitude, karma.
« Le chat du tatouage »
« Quel tatouage ? »
Tout en parlant, elle se lève, traverse la chambre.
Nue.
J’ai la tête dans le cul, le sien. Je note que sa fesse droite est plus jolie que l’autre, de très peu. Je note aussi qu’elle n’a plus de tatouage.
Rien…
Elle tire les rideaux. Quelqu’un a collé sur la baie vitrée un poster de paysage exotique : palmiers, plage et lagon bleu.
Putain…
C’est pas un poster.
C’est le paradis, en vrai.
« On va prendre un petit déjeuner ? » elle me dit.
Pas plus loin qu’un peu plus tard, on se retrouve assis en terrasse. On vient de passer au buffet. Nos assiettes sont pleines de fruits, d’œufs, de saucisses grasses. Dans les tasses, le café fume, et moi aussi, comme un pompier. Nos voisins touristes grimacent, ils ont raison, mais je m’en fous. Le jus d’orange n’est pas frais pressé, des haut-parleurs distillent une musique d’ascenseur locale qui rythme la cadence des serveuses autoctoons dodues, aigries et rayonnantes. Tout est vert, bleu, jaune, avec des touches écarlates éparses. Au loin, de gros nuages éclaboussent de noir le ciel azur et, le surf blanc grogne sur la barrière de corail.
On me sert des clichés avec mes œufs brouillés et j’adore ça.
J’ai encore la gueule de bois mais avec un cœur de miel et j’entends de joyeuses abeilles chanter.
Elle est face à moi, silencieuse, le menton disposé dans la paume de la main entre ses doigts repliés ; sous sa bouche une teinte un peu plus sombre que la peau donne à l’ourlet de ses lèvres une grâce profonde ; ses yeux sont juste assez creusés pour s’ombrer sans fard.
Je plonge les yeux dans son décolleté, qui n’en est pas vraiment un, et qui n’en est que plus émouvant : Le relâchement d’un vêtement trop porté, trop souvent tendu par une poitrine faite pour moi, avec des boutons inutiles, d’autant plus sexy qu’ils ne sont que décoratifs. A chacun de ses gestes, j’entends presque le tissu cacher sa joie.
J’aperçois le chat du tatouage, plus loin, planqué dans des palmiers nains, qui m’observe.
Qu’est-ce qu’il fout là ?
Il fait un mouvement.
Si je n’étais pas calé en anatomie féline, je jurerais qu’il pointe son pouce en l’air, comme pour dire, complice : « génial ».
grieg- Nombre de messages : 6156
Localisation : plus très loin
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: MNEDC (1/2) : Chat, peau, claque et callypige du lendemain.
Eh bien, le raccord est parfaitement réussi, en douceur, je suis admirative. Et l’on passe sans heurt du ton très perso de Yali au ton très perso de Killgrieg.
J’ai bien aimé comment tu distilles l’étrange, la disparition du tatouage et aussi la transition ici :
« Elle tire les rideaux. Quelqu’un a collé sur la baie vitrée un poster de paysage exotique : palmiers, plage et lagon bleu.
Putain…
C’est pas un poster.
C’est le paradis, en vrai.
« On va prendre un petit déjeuner ? » elle me dit. »
Très subtile aussi la réapparition du chat à la fin.
Un truc quand même : J’ai pas capté comment les serveuses autochtones pouvaient être à la fois aigries et rayonnantes.
J’ai bien aimé comment tu distilles l’étrange, la disparition du tatouage et aussi la transition ici :
« Elle tire les rideaux. Quelqu’un a collé sur la baie vitrée un poster de paysage exotique : palmiers, plage et lagon bleu.
Putain…
C’est pas un poster.
C’est le paradis, en vrai.
« On va prendre un petit déjeuner ? » elle me dit. »
Très subtile aussi la réapparition du chat à la fin.
Un truc quand même : J’ai pas capté comment les serveuses autochtones pouvaient être à la fois aigries et rayonnantes.
Kilis- Nombre de messages : 6085
Age : 78
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: MNEDC (1/2) : Chat, peau, claque et callypige du lendemain.
j'étais en train de préparer mon commentaire mais j'ai lu celui de Kilis et comme c'est tout pareil, je vais pas répéter
bon, c'est pas trop ça qu'il attend le Kill, je sais
alors disons que au niveau de la situation intrigante qui doit s'amplifier, j'ai trouvé que ça tardait un peu à émerger
parce que le coup du tatouage qui disparait, je ne pense pas qu'on va faire de ça le centre du mystère, c'est tout juste une ch'tite hallucination d'ivrogne en cours de dégrisement ;-)
ou bien ?
le mystère serait plutôt donc : mais que s'est-il donc passé pour que le narrateur se retrouve dans cette situation avec une parfaite inconnue. Dans ce cas, je trouve que ça n'a pas beaucoup avancé
sinon ben oui le style a un peu changé mais effectivement tout en douceur, le fondu enchâiné est réussi
quant à vous dire ce que je pense du décor dans lequel Killgrieg a installé les 2 protagonistes, inutile de vous dire qu'il me convient !!
Allez, Coline !
bon, c'est pas trop ça qu'il attend le Kill, je sais
alors disons que au niveau de la situation intrigante qui doit s'amplifier, j'ai trouvé que ça tardait un peu à émerger
parce que le coup du tatouage qui disparait, je ne pense pas qu'on va faire de ça le centre du mystère, c'est tout juste une ch'tite hallucination d'ivrogne en cours de dégrisement ;-)
ou bien ?
le mystère serait plutôt donc : mais que s'est-il donc passé pour que le narrateur se retrouve dans cette situation avec une parfaite inconnue. Dans ce cas, je trouve que ça n'a pas beaucoup avancé
sinon ben oui le style a un peu changé mais effectivement tout en douceur, le fondu enchâiné est réussi
quant à vous dire ce que je pense du décor dans lequel Killgrieg a installé les 2 protagonistes, inutile de vous dire qu'il me convient !!
Allez, Coline !
Re: MNEDC (1/2) : Chat, peau, claque et callypige du lendemain.
Du coup, je recommente ce texte-ci.
On est toujours dans la même histoire, pas de soucis ! On avance, on est dedans, bel équilibre.
On est toujours dans la même histoire, pas de soucis ! On avance, on est dedans, bel équilibre.
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 46
Date d'inscription : 31/03/2008
Kilis- Nombre de messages : 6085
Age : 78
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: MNEDC (1/2) : Chat, peau, claque et callypige du lendemain.
Bon alors.
Moi je dis que c'est ici que le savoir se fait qu'il se fait savoir, récupérer, adapter et, sans que le lecteur s'en rende compte, redéposer son style et que ça glisse." A chacun de ses gestes, j’entends presque le tissu cacher sa joie." là, c'est de l'efficace — puis quand on a deux mains, on peut pas rester insensible à ça.
Moi je dis que c'est ici que le savoir se fait qu'il se fait savoir, récupérer, adapter et, sans que le lecteur s'en rende compte, redéposer son style et que ça glisse." A chacun de ses gestes, j’entends presque le tissu cacher sa joie." là, c'est de l'efficace — puis quand on a deux mains, on peut pas rester insensible à ça.
Yali- Nombre de messages : 8624
Age : 59
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: MNEDC (1/2) : Chat, peau, claque et callypige du lendemain.
Kill papillonne avec une amazone tandis que féline, l'ombre suscite l'envie de poursuivre l'aventure immobile.
bertrand-môgendre- Nombre de messages : 7526
Age : 104
Date d'inscription : 15/08/2007
Re: MNEDC (1/2) : Chat, peau, claque et callypige du lendemain.
Le début est mieux que celui de Yali. C'est subjectif, hein, mais je préfère les trois premières phrases qui sont écrites ici. (Même si ça m'énerve de pas capter une référence !)
J'aime pas le mot sommeilleuse. Je le trouve...euh...poussif, je crois.
"avec un sourire en vol d'oiseaux à l'envers" : j'ai changé cette phrase parce que je ne l'aurais pas écrite comme ça (ça c'est de l'explication)
Un truc que j'adore, c'est la précision sur la légère supériorité d'une fesse sur l'autre. C'est le genre de trucs que j'adore lire.
Pareil que Pili, aigires et rayonnantes ???
Pour l'histoire, elle se lance mais on n'en apprend pas beaucoup plus. Oui, le lieu, mais c'est tout.
T'aurais pû pousser un peu plus.
Sur l'écriture en elle-même, y'a pas grand-chose à dire si ce n'est la description de la fille, au petit-déjeuner. C'est pas comme ça que je l'aurais écrite, encore, et cela explique pourquoi je l'ai retouchée. :-)
J'aime pas le mot sommeilleuse. Je le trouve...euh...poussif, je crois.
"avec un sourire en vol d'oiseaux à l'envers" : j'ai changé cette phrase parce que je ne l'aurais pas écrite comme ça (ça c'est de l'explication)
Un truc que j'adore, c'est la précision sur la légère supériorité d'une fesse sur l'autre. C'est le genre de trucs que j'adore lire.
Pareil que Pili, aigires et rayonnantes ???
Pour l'histoire, elle se lance mais on n'en apprend pas beaucoup plus. Oui, le lieu, mais c'est tout.
T'aurais pû pousser un peu plus.
Sur l'écriture en elle-même, y'a pas grand-chose à dire si ce n'est la description de la fille, au petit-déjeuner. C'est pas comme ça que je l'aurais écrite, encore, et cela explique pourquoi je l'ai retouchée. :-)
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