RÉÉCRITURE PASTIOR : Moujik ineffable
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RÉÉCRITURE PASTIOR : Moujik ineffable
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RÉÉCRITURE PASTIOR : Moujik ineffable.
Plus qu'une contrainte, car il évolue en liberté, le plaisir est ici paronymique.
L'autre contrainte fait découper le texte original (en italique) en tranches servies autrement pour la nouvelle narration.
I. Moujik affable.
Tycho planche. Il glisse sur un étrange dos nu qu'a l'âge des bagouts de cœur. Il quémande, ce gueux sec, homme pleutre. L'épeire dit qu'un nu à jouer est un nid à jouets, cul d'O'Randge est une chaude grange. Tycho ploie une lime, masse la perche : sois du calibre d'un Titien !
Tino mange. Il dit c’est une tranche de nuage elle a un goût de fleur. Il demande ce que c’est comme fleur. Le père dit qu’un nuage est un nuage et qu’une orange est une orange. Tino voit une limace. Le père voit un petit chien de Calabre.
II. Moujik à femme.
La perdue, qu'est-ce qu'elle fait en fuite dans Leninjrad ? Il débande : c'est qu'il sait qu'elle cède ses gamètes dans Leninjrad. Tycho dessinait, pas une queue complète à Leninjrad : c'est un O'Randge avec deux cornes.
Le père dit qu’est-ce que c’est que cette pluie dans le jardin. Il demande qu’est-ce que c’est que cette comète dans le jardin. Tino dit ce n’est pas une queue de comète dans le jardin c’est une orange avec deux cornes.
III. Moujik de sable.
Moujik de sable. Tycho erre dans Leninjrad et broie une O'Randge. Il rit des caisses, économe en pleurs. Il ne manque que l'écobuage ! L'heure verdit, une peur est une peur ! Chine nos francs-or un jeudi, 'Pa, passe va la pelle, à moi le fumage. Le fer pète la sueur, étonne six branches atypiques, le piètre manche, une planche : c'est discute franche chez une tranchée.
Musique de table. Tino est dans le jardin et voit une orange. Il dit qu’est-ce que c’est comme fleur. Il demande ce que c’est comme nuage. Le père dit qu’une fleur est une fleur. Tino prend l’orange et dit papa pèle-moi le nuage. Le père pèle la fleur et donne six tranches à Tino. Le père mange une tranche et dit qu’une tranche est une tranche.
IV. Moujik à table.
Interpellé à Orange, dix voix citent : une tranchant à huître, une tranchée dans la neige, une planque à Pattaya. Sornette ! crie Tycho, et dans le dos, l'or arrange le procureur.
Le père pèle l’orange et dit voici une tranche de pluie voici une tranche de neige et voici une tranche de patatras. Chouette dit Tino et il donne l’orange au ramoneur.
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RÉÉCRITURE PASTIOR : Moujik ineffable.
Plus qu'une contrainte, car il évolue en liberté, le plaisir est ici paronymique.
L'autre contrainte fait découper le texte original (en italique) en tranches servies autrement pour la nouvelle narration.
I. Moujik affable.
Tycho planche. Il glisse sur un étrange dos nu qu'a l'âge des bagouts de cœur. Il quémande, ce gueux sec, homme pleutre. L'épeire dit qu'un nu à jouer est un nid à jouets, cul d'O'Randge est une chaude grange. Tycho ploie une lime, masse la perche : sois du calibre d'un Titien !
Tino mange. Il dit c’est une tranche de nuage elle a un goût de fleur. Il demande ce que c’est comme fleur. Le père dit qu’un nuage est un nuage et qu’une orange est une orange. Tino voit une limace. Le père voit un petit chien de Calabre.
II. Moujik à femme.
La perdue, qu'est-ce qu'elle fait en fuite dans Leninjrad ? Il débande : c'est qu'il sait qu'elle cède ses gamètes dans Leninjrad. Tycho dessinait, pas une queue complète à Leninjrad : c'est un O'Randge avec deux cornes.
Le père dit qu’est-ce que c’est que cette pluie dans le jardin. Il demande qu’est-ce que c’est que cette comète dans le jardin. Tino dit ce n’est pas une queue de comète dans le jardin c’est une orange avec deux cornes.
III. Moujik de sable.
Moujik de sable. Tycho erre dans Leninjrad et broie une O'Randge. Il rit des caisses, économe en pleurs. Il ne manque que l'écobuage ! L'heure verdit, une peur est une peur ! Chine nos francs-or un jeudi, 'Pa, passe va la pelle, à moi le fumage. Le fer pète la sueur, étonne six branches atypiques, le piètre manche, une planche : c'est discute franche chez une tranchée.
Musique de table. Tino est dans le jardin et voit une orange. Il dit qu’est-ce que c’est comme fleur. Il demande ce que c’est comme nuage. Le père dit qu’une fleur est une fleur. Tino prend l’orange et dit papa pèle-moi le nuage. Le père pèle la fleur et donne six tranches à Tino. Le père mange une tranche et dit qu’une tranche est une tranche.
IV. Moujik à table.
Interpellé à Orange, dix voix citent : une tranchant à huître, une tranchée dans la neige, une planque à Pattaya. Sornette ! crie Tycho, et dans le dos, l'or arrange le procureur.
Le père pèle l’orange et dit voici une tranche de pluie voici une tranche de neige et voici une tranche de patatras. Chouette dit Tino et il donne l’orange au ramoneur.
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Re: RÉÉCRITURE PASTIOR : Moujik ineffable
Oui, Apou la tête dans le guidon.
On ne s'en plaindra pas: place aux mots!
On ne s'en plaindra pas: place aux mots!
Invité- Invité
Re: RÉÉCRITURE PASTIOR : Moujik ineffable
IV. Moujik à table.
Excellent, du rythme et puis du sens et de l'humour.
Mon préféré.
Excellent, du rythme et puis du sens et de l'humour.
Mon préféré.
Invité- Invité
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