La mer boit claire

La mer boit claire

J’irai à la mer
À la mer boit claire
Courir entre les dunes
Emplir mes poches de coquillages
Brûler mon corps de méduses
Marcher jusqu’aux rochers,
Regarder les vagues se briser
M’émerveiller des hérons qui pêchent

J’irai à la mer, ma mère et moi,
Nous irons nous promener
Nous fuirons les vagues
Elles nous rattraperont
Les galets lancés pour nous venger

La mer boit claire avec mon frère
Nous ferons la chasse aux méduses,
De vieilles trappes à homard
Pour les enfermer,
De vieux bâtons blanchis
Pour les transpercer

Mer de souvenirs heureux
Mer d’un bonheur simple
Mer d’une joie enfantine
Mer d’un temps qui s’arrête

Encore une dernière fois la mer

J'ai du mal à comprendre le sens de ton poème. J'ai l'impression de passer à côté

je pense que pour le comprendre il faut vivre ou avoir vécu au bord de la mer durant l'enfance, c'est ce que j'ai ressenti en le lisant et la rflexion que je me suis faite pratiquement dès le début

c'est d'ailleurs toujours le problème avec les textes maritimes ou mantagnards d'ailleurs..^^

Je ne vois pas l'intérêt de ce poème... désolée.

Mer de souvenirs heureux
Mer d’un bonheur simple
Mer d’une joie enfantine
Mer d’un temps qui s’arrête

Ceci ne me plaît pas, à cause de la répétition de mer, mais aussi à cause du ton sentencieux qui émane de ces lignes, sortes de vérités sur la mémoire et le souvenir.

Sinon, j'aime le reste, les images évoquées, la fragilité des souvenirs et puis ça rappelle de jolies choses...