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[Epidémie] - Tome 1 : Exposition

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Message  Zero Dim 29 Mar 2009 - 14:48

Bonjour, Je me présente, je suis Quentin, un lycéen de 16 ans qui se met à l'écriture sur un premier texte intitulé : Epidémie qui se composera de plusieurs tomes. (Je n'en suis qu'au premier).

J'écris pour le plaisir mais je me suis dis que je pourrai faire partager un peu de mon travail en espérant recevoir des critiques qui ne pourront être que bénéfiques.

La Saga s'appelle : Epidémie.

Voici le premiers Chapitre Premier Tome : Exposition.

Merci En espérant vous divertir le temps de la lecture.

Tome 1 : Exposition

Chapitre 1 : L’éveil

I

-----------------------------------------------------------

Noir, le ciel était totalement noir. Les nuages s’amoncelaient au dessus de la mer dont les vagues l’agitait de tous sens comme jamais. Seul, sur ce paysage furieux, voguait un petit navire déchainé par les éléments. Les éclairs zébraient le ciel et éclairaient pendant quelques instants le paysage chaotique sur lequel naviguait le petit bateau. Une longue sonnerie retentit soudain brisant ainsi que les grondements célestes. Soudain les éclairs s’arrêtèrent brusquement. Les nuages noirs se dissipèrent et l’océan commença lentement à se calmer. Petit à petit le ciel, la mer et le navire disparurent pour laisser place à deux yeux dont les paupières arrivaient difficilement à se lever et se rabaisser. Les yeux cernés mais bleu profond ressortaient du visage encore à moitié endormi. A côté de cette tête, un bras engourdis. Au bout de ce bras une main. Au bout de cette main des doigts qui décrochèrent machinalement le téléphone qui sonnait.

- Allo ? dit l’homme d’une voix enrouée.

Aucune réponse au bout du combiné. La personne qui venait d’être réveillé en pleine nuit posa ses yeux encore gonflés par une nuit de sommeil trop courte sur le réveil. Il était quatre heures du matin. La personne en question était un homme d’une trentaine d’années. Il essaya de se rendormir mais n’y parvint pas. Suite à ce réveil brutal il décida de se lever pour prendre un café et fumer une cigarette, chose qu’il faisait tous les matins lui procurant la substance addictive dont il n’avait pu se délecter pendant une partie de la nuit.

Il traina des pieds en traversant sa chambre vide et assombrie par la nuit qui ne s’était toujours pas levée, traversa lentement le couloir qui menait à sa cuisine dont l’évier était encore encombré par la vaisselle du diner. Il arriva devant la cafetière, objet tant désiré, capable de le réveiller. Pas de chances, elle était vide. Il décida alors de s’allumer une cigarette le tant que celle-ci se remplisse. Il s’avança jusqu’à la fenêtre. Tout était calme dans ce quartier surtout à cette heure là. On entendait juste les sifflements du vent rythmé par des aboiements lointains. Les lampadaires seuls au milieu de la rue encore endormie venaient casser l’assombrissement de la nuit. Il fuma sa cigarette en silence, cigarette qu’il fumait tous les matins en prenant son déjeuner. C’était celle qui allait précéder toutes les autres qu’il fumerait durant la journée qui allait l’attendre.

Il s’apprêta à aller prendre son café quand au moment de faire demi-tour devant la fenêtre passa une ombre très rapide en une fraction de seconde. Cette fenêtre donnant sur son jardin, l’homme décida d’aller voir ce que c’était. Marchant d’un pas sûr, il alla ouvrir la porte arrière de sa maison donnant sur son jardin. Il ouvrit la porte en douceur. Le froid le submergea, il gelait dehors. Il s’avança sur le perron de sa porte, pieds nus. Chaque pas qu’il faisait pour avancer lui glaçait le sang, c’était comme si il marchait sur un sol couvert de morceaux de verre.

- Il y a quelqu’un ? Dit-il d’un ton assez fort pour être sur d’être entendu.

Pas de réponse. Il jugea qu’il avait du rêver. Il décida de rentrer au plus vite pour boire le café qui l’attendait. Il prit une tasse et s’attarda devant la télévision en attendant sept heures, l’heure de prendre son service. Entre les séries nocturnes, les Télé-achats ou les informations qui parlaient toutes de la crise actuelle, et des soucis environnementaux, il se rabattit sur une série américaine comme il y en avait temps à la télévision.
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Message  Invité Dim 29 Mar 2009 - 15:21

Le texte tel quel me paraît présenter pas mal de maladresses, je vous indique ci-dessous ce qui a arrêté ma lecture.

Bienvenue sur Vos Ecrits, à vous lire bientôt !

Noir, le ciel était totalement noir. Les nuages s’amoncelaient au dessus de la mer dont les vagues l’agitaient de tous sens (on dirait plutôt "dans tous les sens" ; par ailleurs, on dirait aussi "la mer dont les vagues s'agitaient" ou "la mer que les vagues agitaient", mais "la mer dont les vagues l'agitaient" me paraît une formulation bizarre) comme jamais. Seul, sur ce paysage furieux, voguait un petit navire déchaîné par les éléments (on se demande pourquoi ce serait le navire que les éléments déchaîneraient ; en général, on parle des éléments déchaînés et non déchaîneurs). Les éclairs zébraient le ciel et éclairaient pendant quelques instants le paysage chaotique sur lequel naviguait le petit (la répétition de "petit" se voit, je trouve) bateau. Une longue sonnerie retentit soudain brisant ainsi que les grondements célestes (je ne comprends pas la phrase ; que brise la sonnerie en plus des grondements célestes, puisque "ainsi que", comme "et", introduit le deuxième terme d'une coordination ?). Soudain les éclairs s’arrêtèrent brusquement (redondance entre "soudain" et "brusquement"). Les nuages noirs se dissipèrent et l’océan commença lentement à se calmer. Petit à petit le ciel, la mer et le navire disparurent pour laisser place à deux yeux dont les paupières arrivaient difficilement à se lever et se rabaisser. Les yeux cernés mais bleu profond ressortaient du visage (je trouve maladroite une formulation où les yeux ressortent du visage) encore à moitié endormi. A côté de cette tête, un bras engourdi (pas de "s" à "engourdi" au singulier). Au bout de ce bras une main. Au bout de cette main des doigts qui décrochèrent machinalement le téléphone qui sonnait (à partir de "A côté de cette tête", la description me paraît inutilement détaillée).

- Allô ? dit l’homme d’une voix enrouée.

Aucune réponse au bout du combiné. La personne qui venait d’être réveillée (c'est une personne qu'on vient de réveiller, même s'il s'agit d'un homme) en pleine nuit posa ses yeux encore gonflés par une nuit de sommeil trop courte sur le réveil (je pense que le complément "sur le réveil" est rejeté trop loin en fin de phrase, peut-être pourriez-vous essayer de le placer juste après "le réveil"). Il était quatre heures du matin. La personne en question était un homme d’une trentaine d’années (formulation lourde, je trouve ; il serait intéressant d'essayer de raccourcir en indiquant simplement en passant que celui qui dormait était un homme). Il essaya de se rendormir mais n’y parvint pas. Suite à ce réveil brutal il décida de se lever pour prendre un café et fumer une cigarette, chose qu’il faisait tous les matins lui procurant la substance addictive dont il n’avait pu se délecter pendant une partie de la nuit (précision trop longue ; on a vite compris que le gars avait besoin de café et était fumeur).

Il traîna des pieds en traversant sa chambre vide et assombrie par la nuit qui ne s’était toujours pas levée (en général, c'est le jour qui se lève), traversa lentement le couloir qui menait à sa cuisine dont l’évier était encore encombré par la vaisselle du dîner. Il arriva devant la cafetière, objet tant désiré, capable de le réveiller. Pas de chances, elle était vide. Il décida alors de s’allumer une cigarette le temps que celle-ci se remplisse (ces trois dernières phrases ralentissent inutilement l'action à mon avis). Il s’avança jusqu’à la fenêtre. Tout était calme dans ce quartier surtout à cette heure-là (et non "heure là"). On entendait juste les sifflements du vent rythmés par des aboiements lointains. Les lampadaires seuls au milieu de la rue encore endormie venaient casser l’assombrissement de la nuit. Il fuma sa cigarette en silence, cigarette qu’il fumait tous les matins en prenant son déjeuner. C’était celle qui allait précéder toutes les autres qu’il fumerait durant la journée qui allait l’attendre (précision redondante, à mon avis, dans ces deux dernières phrases).

Il s’apprêtait à aller prendre son café quand au moment de faire demi-tour devant la fenêtre passa une ombre très rapide en une fraction de seconde. Cette fenêtre donnant sur son jardin, l’homme décida d’aller voir ce que c’était. Marchant d’un pas sûr, il alla ouvrir la porte arrière de sa maison donnant sur son jardin. Il ouvrit la porte en douceur. Le froid le submergea, il gelait dehors. Il s’avança sur le perron de sa porte, pieds nus. Chaque pas qu’il faisait pour avancer lui glaçait le sang, c’était comme s'il marchait sur un sol couvert de morceaux de verre.

- Il y a quelqu’un ? Dit-il d’un ton assez fort pour être sûr d’être entendu (formulation maladroite je trouve, avec cette répétition de "être").

Pas de réponse. Il jugea qu’il avait dû rêver. Il décida de rentrer au plus vite pour boire le café qui l’attendait. Il prit une tasse et s’attarda devant la télévision en attendant sept heures, l’heure de prendre son service. Entre les séries nocturnes, les Télé-achats ou les informations qui parlaient toutes de la crise actuelle, et des soucis environnementaux, il se rabattit sur une série américaine comme il y en avait tant à la télévision.

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Message  Loreena Ruin Dim 29 Mar 2009 - 15:41

Bon alors je commence par les points positifs : j'ai adoré cette idée du rêve et des yeux qui s'ouvrent, ce mélange des plans (paysage du rêve puis gros plan sur les yeux du personnage) qui me fait penser à un début de film : réussir à le rendre à l'écrit et en avoir l'idée était ingénieux.

Tu nous plonges bien dans l'ambiance, pas de cliché... tout ça c'est pas mal.

Pour les points qui ne vont pas en revanche : beaucoup de phrases ont des tournures bizarres, c'est parfois à peine si on comprend bien ce que tu veux dire, ou alors c'est redondant, et parfois c'est simplement... bizarre. J'en fait une liste pour que tu puisses y travailler :



Une longue sonnerie retentit soudain brisant ainsi que les grondements célestes.

Soudain les éclairs s’arrêtèrent brusquement.

Les yeux cernés mais bleu profond ressortaient du visage encore à moitié endormi.

La personne qui venait d’être réveillé en pleine nuit posa ses yeux encore gonflés par une nuit de sommeil trop courte sur le réveil.

Suite à ce réveil brutal il décida de se lever pour prendre un café et fumer une cigarette, chose qu’il faisait tous les matins lui procurant (= et qui lui procurait) la substance addictive dont il n’avait pu se délecter pendant une partie de la nuit.

Il arriva devant la cafetière, objet tant désiré, capable de le réveiller. = c'est la cafetière qui est capable de le réveiller ou le café ? Fais attention à ce que tu veux dire...

Il décida alors de s’allumer (= d'allumer) une cigarette le tant que celle-ci se remplisse (= XD c'est la cigarette qui se remplit ???!!!)

Il s’avança (=avança) jusqu’à la fenêtre.

Il fuma sa cigarette en silence, cigarette qu’il fumait tous les matins en prenant son déjeuner (= woua c'est une cigarette inusable ? précise : "la première cigarette de la journée, celle qu'il fumait tous les matins.." par exemple...)

Il s’apprêta (= s'apprêtait) à aller prendre son café quand au moment de faire demi-tour devant la fenêtre passa une ombre très rapide en une fraction de seconde (= si elle est très rapide pas besoin de préciser la fraction de seconde).

Cette fenêtre donnant sur son jardin, l’homme décida d’aller voir ce que c’était (= "La fenêtre", à reformuler)

Marchant d’un pas sûr, il alla ouvrir la porte arrière de sa maison (donnant sur son jardin). Il ouvrit la porte en douceur.

Il s’avança sur le perron (de sa porte), pieds nus.

Chaque pas qu’il faisait pour avancer lui glaçait le sang, c’était comme si il marchait sur un sol couvert de morceaux de verre. (à reformuler)

Pas de réponse. Il jugea qu’il avait du rêver. Il décida de rentrer au plus vite pour boire le café qui l’attendait. Il prit une tasse et s’attarda devant la télévision en attendant sept heures, l’heure de prendre son service.

Bon il y a pleins d'autres petits soucis... mais je pense que tu sauras reformuler...

Bienvenu sur VE !
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Message  Zero Dim 29 Mar 2009 - 16:10

Merci à vous pour les nombreux conseils, j'ai reformulé pas mal de choses et voici ce que ça donne :


Noir, le ciel était totalement noir. Les nuages s’amoncelaient au dessus de la mer que les vagues l’agitaient dans tous les sens comme jamais. Seul, sur ce paysage furieux, voguait un petit navire oscillant sur l’océan déchainé par les éléments. Les éclairs zébraient le ciel et éclairaient pendant quelques instants le paysage chaotique sur lequel naviguait le petit bateau. Une longue sonnerie retentit soudain brisant les grondements célestes. Les éclairs s’arrêtèrent, les nuages noirs se dissipèrent et l’océan commença lentement à se calmer. Petit à petit le ciel, la mer et le navire disparurent pour laisser place à deux yeux dont les paupières arrivaient difficilement à se lever et se rabaisser. Les yeux cernés mais bleu profond tranchaient du visage encore à moitié endormi. A côté de cette tête, un bras engourdi. Au bout de ce bras une main. Au bout de cette main des doigts qui décrochèrent machinalement le téléphone qui sonnait.

- Allô ? dit l’homme d’une voix enrouée.

Aucune réponse au bout du combiné. La personne qui venait d’être réveillée en pleine nuit était un homme d’une trentaine d’années. Il posa ses yeux cernés sur le réveil. Il était quatre heures du matin. Il essaya de se rendormir mais n’y parvint pas. Suite à ce réveil brutal il décida de se lever pour prendre un café et fumer une cigarette.

Il traîna des pieds en traversant sa chambre vide et assombrie par la nuit, traversa lentement le couloir qui menait à sa cuisine dont l’évier était encore encombré par la vaisselle du dîner. Il s’avança jusqu’à la fenêtre. Tout était calme dans ce quartier surtout à cette heure-là. On entendait juste les sifflements du vent rythmés par des aboiements lointains. Les lampadaires seuls au milieu de la rue encore endormie venaient casser l’assombrissement de la nuit. Il fuma sa cigarette en silence, cigarette qu’il fumait tous les matins en prenant son déjeuner. C’était celle qui allait précéder toutes les autres qu’il fumerait durant la journée qui allait l’attendre.

Il s’apprêtait à aller prendre son café quand en faisant demi-tour, devant la fenêtre passa une ombre très rapide. Cette fenêtre donnant sur son jardin, l’homme décida d’aller voir ce que c’était. Marchant d’un pas sûr, il alla ouvrir la porte arrière de sa maison en douceur, comme pour ne pas faire de bruit. Le froid le submergea, il gelait dehors. Il s’avança sur le perron de sa porte, pieds nus. Chaque pas qu’il faisait pour avancer lui glaçait le sang, Il avait la sensation de marcher sur un sol couvert de morceaux de verre.

- Il y a quelqu’un ? Dit-il d’un ton assez fort afin d’être entendu.

Pas de réponse. Il jugea qu’il avait dû rêver et décida de rentrer au plus vite pour boire le café qui l’attendait. Il prit une tasse et s’attarda devant la télévision en attendant sept heures, l’heure de prendre son service. Entre les séries nocturnes, les Télé-achats ou les informations qui parlaient toutes de la crise actuelle, et des soucis environnementaux, il se rabattit sur une série américaine comme il y en avait tant à la télévision.


Si vous voulez lire la suite demandez moi, j'ai des chapitres suivants...

Encore merci.
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Message  Loreena Ruin Dim 29 Mar 2009 - 16:46

Il me semble que c'est beaucoup mieux, surtout le début ! Continues comme ça ! quand à donner la suite c'est à toi seul de décider mais tu n'as droit qu'à un texte par semaine... et attend d'avoir d'autres commentaires aussi ! Surtotu n'oublies pas d'aller commenter les autres... ils viendront ainsi plus facilement te lire ;-)...

Attention, une coquille est passé à travers ton filet correcteur:
les vagues l’agitaient

A te lire bientôt !
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Message  Zero Dim 29 Mar 2009 - 16:53

Merci à toi.

Concernant le texte par semaine c'est considéré comme un texte si jamais c'est un autre chapitre ?

Je le mettrai à la suite de celui là alors la semaine prochaine.

Je vais de ce pas corriger les autres

Merci
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Message  Sergei Dim 29 Mar 2009 - 17:29

J'ai également beaucoup apprécié la description du début, qui nous fait passer d'une ambiance à l'autre. La lourdeur de la description que Socque te reprochait me semble en fait assez cohérente du fait qu'elle évoque en moi le dur lever matinal.
Les descriptions dans l'ensemble sont plutôt bien menées.

Bienvenue sur VE!
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Message  Zero Ven 3 Avr 2009 - 20:05

Bonsoir, voici les deux dernières parties qui viennent clore le chapitre 1.
Bonne lecture.



II



Six heures du matin. Un réveil parmi tant d’autres sonna dans une maison. Cette fois-ci c’est une main féminine qui vint l’éteindre d’un geste souple et gracieux. La jeune femme déposa un baiser sur le front de son mari dormant à côté d’elle sans le réveiller pour autant. Elle bascula ses longues jambes délicates sur le côté de son lit pour aller enfiler des pantoufles confortables et roses assorties à la robe de chambre qu’elle mit au même moment. Elle se dirigea vers la cuisine pour prendre un thé, puis vers la salle de bain ou sa longue séance de d’entretien l’attendait. Elle fit couler de l’eau chaude dans sa baignoire et se regarda dans le miroir. Elle enleva sa robe de chambre et se glissa dans l’eau dont se dégageait une vapeur qui embuait toute la pièce. Elle plongea dans ses pensées et se relaxa longuement, tellement longtemps qu’elle finit par s’endormir doucement passant ainsi de ses songes à des rêves tendres.

De longues minutes passèrent pendant lesquelles elle rêvassait. Elle se promenait dans la rue d’une grande ville. Elle marchait parmi tous les passants, qui, plein de stress vaquaient en vitesse à leurs occupations sans se soucier du monde alentour. Des coups de feu retentirent suivies de quelques secondes par une explosion assourdissante. Les gens commencèrent à courir dans tous les sens. La panique prit le contrôle de la population. Elle se réveilla en sursaut. L’eau du bain avait nettement refroidi et c’est avec empressement qu’elle en sortit. Ayant la chair de poule elle s’enveloppa dans une serviette propre pour se sécher et se réchauffer. Elle allait être en retard à son travail .Elle se dépêcha de s’habiller, de se maquiller, de se coiffer et d’aller réveiller son mari qui commençait plus tard dans la journée. Il était six heures quarante-cinq. Il ne lui restait qu’un quart d’heure avant de partir pour le début de son service à huit heures.



III



Six heures du matin. Une douce lumière flottait dans la pièce. Elle venait d’un écran d’ordinateur, seul, posé au milieu de la pièce. Un homme se tenait assis devant, tapant à grande vitesse sur le clavier de la machine. Le bruit des touches déchirait le silence lugubre de la pièce que seule la pendule venait interrompre. Des monceaux de papiers étaient éparpillés sur la table laissant supposer le manque de rangement de l’homme qui tapait toujours aussi frénétiquement. Plusieurs heures sans s’arrêter devant cet écran révulsaient ses yeux de veines rouges. Il fit une pause un moment pour fumer une cigarette, la seule distraction qui le faisait entrecouper ses longues heures de travail et de sommeil qu’il perdait. Ses nuits étaient composées de longues séances de travail sur son ordinateur et la journée dans une salle dont le contenue n’était connu que de lui.

Il était en train de synthétiser de nombreuses lignes de calculs complexes entrecoupées par de longs graphiques qui ne pouvaient être compris que de lui vu le niveau de complexité de ceux-ci. Il regardait les feuilles parsemant sa table et il avait l’aire de savoir ou trouver ce qu’il cherchait dans le dédale des piles de documents entassés. Il parcourait de nombreux sites internet en même temps concernant des données scientifiques tout aussi complexes que ce qu’il écrivait. Ses recherches sur internet étaient ralenties par les nombreuses publicités lui proposant des rendez-vous coquins, des réductions ou des messages clignotant de couleurs vives. Il les ignorait et continuait ce qu’il avait à faire. La liste de ce qu’il écrivait ne cessait de s’allonger.

Les rayons du Soleil commencèrent peu à peu à éclairer le salon encombré. Il était sept heures.
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Message  Invité Mer 8 Avr 2009 - 13:40

Ah oui, cette suite m'intrigue ! J'ai envie d'en savoir davantage...

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Message  Invité Mer 8 Avr 2009 - 15:23

J'ai lu à rebours, alors forcément, je n'ai pas tout compris. L'homme du premier texte n'est pas le même que celui du dernier ? Et la femme du deuxième texte est-elle liée au premier ou au deuxième homme ?
Trêve de facéties. Tu distilles des infos qui donnent envie d'en savoir plus.

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Message  Zero Mer 8 Avr 2009 - 15:29

Bonjour Bonjour !
Ha j'ai au moins réussi à faire en sorte de donner aux gens d'en savoir plus.

Tout ce que je peux vous dire c'est que le premier homme et le deuxième sont distincts ...

Vous voulez la suite ?

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Message  Zero Mer 8 Avr 2009 - 15:33

En fait que je vous explique pour le texte je le sépare en chapitres, ces chapitres sont séparés en 3 parties, pour les trois personnages principaux et je rajoute un 4 ème généralement pour introduire ...

C'est une structure particulière, les personnages sont confrontés à la même chose, le réveil, le travail ... mais d'une façon différentes.

3 parties qui pourront se lier au fur et à mesure du texte.

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Message  Invité Mer 8 Avr 2009 - 15:38

Zero a écrit:Bonjour Bonjour !
Ha j'ai au moins réussi à faire en sorte de donner aux gens d'en savoir plus.

Tout ce que je peux vous dire c'est que le premier homme et le deuxième sont distincts ...

Vous voulez la suite ?

Zero

Oui.
Et pour la structure, je ne m'inquiète pas trop, certaine que tout va finir pas se mettre en place..

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Message  Zero Mer 8 Avr 2009 - 15:49

Je vous mets le deuxième chapitre ...
Je suis gentin hein ?
Désolé j'ai un peu relu mais ya des passages que je trouve lourds... fautes d'orthographe ...

Désolé ..
--------------------------------------------------------------------------------------

Chapitre 2 : Le labeur

I




Sept heures. L’heure à laquelle le monde commence à se mouvoir. Les humains tels des fourmis se réveillent et de commencent à errer sans buts, ou du moins travailler but qui leurs donne l’impression qu’ils servent à quelque chose dans ce monde ou ils ne trouvent pas leurs places. C’est l’heure à laquelle la lumière du Soleil arrive tel un halo divin sur terre. Mais c’était sans doute les derniers beaux jours que l’humanité allait connaitre avant bien longtemps. Les dés étaient jetés et l’échiquier n’allait pas tarder à se mettre en place. Le destin du monde changerait à tout jamais.

Une à une les longues sonneries stridentes des réveils sonnaient pour mettre fin aux longs rêves et cauchemars. Un à un les hommes et femmes sortent de leurs lits pour s’activer à leurs diverses taches aussi futiles qu’inutiles. Toutes ces taches ils répètent inlassablement jour âpres jour pour se donner une raison de vivre. Leurs vies allaient bientôt basculer par millions.

Les hauts immeubles allaient gratter le ciel et réfléchissaient à tous les alentours les rayons pointant. Le bourdonnement de la circulation commença peu à peu à se faire entendre dans les artères principales de la ville, comme le sang circulant dans le corps d’un animal. C’est ce qui faisait vivre la grande ville qui sortait lentement de son sommeil. Cette grande ville encore à moitié endormie c’était Paris, Paris la grande, Paris la merveilleuse, futur théâtre d’une tragédie dont la Terre aurait du mal à se remettre ainsi que l’humanité tout entière ou ce qu’il en resterait.

Le moment n’était pas encore arrivé.




II




Sept heures. C’est avec un visage cerné par les heures de sommeil manquées qu’il s’avançait sur le seuil de sa porte. Il avait l’habitude de la fatigue et de ses conséquences car il faisait de nombreuses interventions nocturnes qui dépendaient du calme de la ville et de ses occupants. Vêtu de sa tenue de civil, il se dirigea vers son garage d’un pied sur et rapide pour ne pas être pris dans les embouteillages de la ville. Il ouvrit le garage électrique, une superbe voiture s’y trouvait. Belle, entretenue, propre, elle démontrait la propreté de son conducteur et sa passion pour l’automobile. Luxueuse et brillante, il s’en approcha, nettoya une tache sur le côté conducteur et s’y installa. Son petit côté maniaque ressortait ainsi le temps d’allumer son véhicule en testant le moteur de celui-ci à l’aide d’une grande accélération. Il vérifia que son arme de secours se trouvait bien dans sa boîte à gant et passa la porte du garage.

La voiture d’un rouge brillant et luisant passa la barrière de la maison. La voiture accéléra une fois dans la rue afin de ne pas prendre de retard pour arriver à destination à temps, comme tous les matins, ce même trajet se répétait inlassablement pour aller travailler. Le soleil continuait de monter dans le ciel répétant lui aussi sa course inévitable jour après jour rythmant ainsi la vie de nombreuses personnes.

La route était comme tous les jours. La voiture rouge roulait, passant les feux rouges, les giratoires et les passages piétons pour s’engouffrer de plus en plus profondément dans le cœur tout juste palpitant de Paris ou la circulation commençait à se faire dense. Trente minutes après son départ, le véhicule arriva à sa destination prévue. Un commissariat de police en plein centre de Paris.

L’homme descendit de son véhicule pour pénétrer dans le bâtiment cerner d’une grande cour où de nombreuses voitures de police l’entoureraient. Il s’avança jusqu'à un grand portail et s’arrêta devant l’interphone ou il devait taper son code pour entrer. L’homme s’apprêtait à le faire quand une main s’appuya sur son épaule. Se tournant en enlevant la main de son épaule l’homme aperçu un individu vêtu de haillons foncés dont on ne pouvait deviner la couleur d’origine tellement l’usure les avait rongé. L’individu en question avait de longs cheveux qui cachaient son visage crasseux. Il sentait assez fort et ouvrit une bouche dans la quelle il ne restait que quelques dents rongées par les caries et le temps pour dire d’une voix rauque et grave :

- Hé Msieurs ! Zauriez pas une tite pièce pour un pauve vieillard ?

L’homme qui venait de se faire accoster fouilla ses poches et trouva une pièce de cinq centimes qu’il donna au mendiant afin de se débarrasser de lui. La réponse de celui-ci fut immédiate, il ouvrit un peu plus sa bouche édentée et dit :

- Merci Msieurs ! Zêtes quelqu’un de bien ! Dieu vous remerciera un jour.

Le vieillard, satisfait, s’éloigna en marchant d’un pas lent avec ses chaussures décharnées. L’homme qui fut coupé en tapant son code repris ce qu’il avait commencé. La porte s’ouvrit et il pénétra dans la cours en admirant les voitures qu’il avait l’habitude d’utiliser surtout lorsqu’il aimait poursuivre des gens avec. Il repensa d’ailleurs à la course-poursuite d’il y a deux jours ou ils avaient cassé une de leurs voitures en poursuivant des braqueurs dans le sixième arrondissement. Il s’approcha de la grande porte du bâtiment.

C’était l’entrée principale mais pas celle d’urgence pour les cas importants et celle pour les gens qui venaient demander de l’aide ou quoi que ce soit. Une fois rentré dans le bâtiment, il salua ses collègues et la secrétaire à l’accueil. Il se dirigea vers les vestiaires et s’assit devant un des nombreux casiers qui entouraient la salle coupée par des bancs en son centre. Il ouvrit le casier. Des photos d’amis et une photo de famille ou on voyait l’homme avec une femme et une jeune fille d’à peu près huit ans étaient accrochées. Il se déshabilla et pris les affaires de services qu’il y avait dans son casier. Pantalon noir, chemise bleu, ceinture, la tenue d’un policier classique. Il accrocha un badge à la poche de sa chemise sur lequel on pouvait lire : « Marc Leclerc – Officier de Police ». Il prit tout ce dont il avait besoin : matraque, pistolet, menotte, talkie walkie.

Il était huit heures. La journée de Marc commençait tout juste et c’était peut être une des dernières normales qui lui restaient à vivre avant un moment, mais cela Marc n’allait pas tarder à l’apprendre à ses dépends.




III




Maquillée, coiffée, elle était sublime. Ses longs cheveux blonds tombaient sur son joli visage et faisait ressortir le bleu de ses yeux dans lesquels de nombreuses personnes aimeraient plonger, océan de pureté et de gentillesse. Elle sortit de la salle de bain et se dirigea vers une armoire pour chercher des affaires qu’elle devait emmener. Elle prit deux dossiers qu’elle mit dans son sac à main. Sept heures, il était temps de partir pour aller travailler. Elle s’avança vers la sortie et s’apprêta à ouvrir la porte quand elle entendit :

- Tu n’oublies rien Juliette ? dit une voix qui n’avait rien de féminine.

C’était son mari qui attendait juste son baiser du matin. Juliette s’approcha de lui et l’embrassa tendrement en s’excusant de cet oubli. Elle marcha vers la porte et la referma derrière elle. Elle commença à descendre les marches menant au rez de chaussé de son immeuble quand elle aperçu une de ses voisines sur le seuil de sa porte. Juliette la salua et lui demanda comment elle allait. Sa voisine était une femme mûre d’une soixantaine d’années qui vivait seule depuis la mort de son mari. Celle-ci lui répondit :

- Oh ma fois ça a déjà été un peu mieux, je ne me sens pas très bien aujourd’hui. Dit-elle en soupirant.

Juliette lui proposa gentiment de passer la voir ce soir au cas ou ça n’irait pas mieux et la voisine accepta volontiers car cela lui fera un peu de visite et de discussion car elle n’en avait que très peu, famille évitait de lui rendre visite. Sur ce Juliette continua à descendre les cinq étages qui lui restaient. Elle arriva dans la rue ou le bruit de la ville commençait se faire entendre et les piétons circulaient déjà abondamment marchant vite sans faire attention aux autres. Juliette s’incrusta dans les files de personnes parcourant le trottoir. Deux rues plus loin elle s’installa à un arrêt de bus afin de prendre celui qui le mènera à son lieu de travail, endroit qu’elle adorait par-dessus tout et métier qu’elle faisait avec soin et passion.


Elle se faufila dans le bus, légère et souple et se glissa entre les personnes qui bondaient le bus n’ayant plus de place pour s’assoir. Elle trouva une place près de la fenêtre afin d’observer les rues qu’elle parcourait tous les matins. Elle vit comme tous les jours les longues processions de piétons et de voitures, un groupe était en train d’agresser un jeune homme pour lui voler son portable. Personne ne réagissait dans la rue pour l’aider à lutter contre ses agresseurs, le jeune homme tenta de protester et il reçu plusieurs coups de pieds bien placer en réponse à cela. Indignée mais ne pouvant rien faire dans son bus, Juliette oublia cela en arrêtant de regarder cette triste mais pourtant de plus en plus fréquente scène.

La route continuait et au bout d’un moment, Juliette finit par descendre devant un grand bâtiment ou la circulation était très importante. C’était un très grand hôpital situé un peu plus à l’écart du centre même de Paris.


Cet hôpital comportait de nombreuses parties comme : la pédiatrie, psychiatrie, urgence, maternité, service de chirurgie et de grands blessés. C’était un hôpital reconnu dans toute la ville et qui accueillait et soignait de nombreuses personnes par jour. Juliette pénétra dans le bâtiment des urgences ou elle aimait œuvrer pour la diversité des incidents dont elle devait s’occuper. Elle passa par l’entrée principale et traversa la salle d’attente qui commençait déjà à se remplir peu à peu. Juliette s’arrêta par les vestiaires ou elle enfila sa tenue d’infirmière en quatrième vitesse afin d’aller au plus vite aider ceux qui en avait besoin. Elle accrocha un badge à la poche de sa tenue avec marquer : « Juliette ROUSSEAU – Infirmière : Urgences ».

Il était huit heures. Juliette allait commencer son service, rencontrer de nombreuses personnes, en soigner d’autres, opérer, écouter, soigner. Elle adorait cela par-dessus tout, mais peut être plus pour longtemps. Son destin basculerait bientôt avec celui du monde.





IV





Sept heurs et l’écran d’ordinateur était toujours allumé et l’homme ne l’avait pas quitté. La porte du salon qui était mal fermée s’ouvrit doucement, sans grincement. Une silhouette se faufila et s’approcha par derrière de l’homme devant son ordinateur. Silencieuse, furtive l’ombre se rapprochait de plus en plus de la table. L’homme toujours concentré sur sa machine ne s’aperçu de quelque chose qu’au moment ou il sentit deux pattes se poser sur ses genoux et un grand chien noir lui lécher le visage. L’homme repoussa gentiment le chien sur le côté. Le gros labrador s’assit à côté de la chaise de son maitre mais ne bougea pas. Il se mit à gémir en regardant celui-ci. Son maître étant très sérieux et quoi que peu imperturbable finit pourtant par répondre aux attentes de son petit compagnon à quatre pattes en dédaignant se lever jusqu’à la cuisine pour lui donner à manger. Le chien le suivit sans faire d’histoire, remuant la queue de satisfaction.

La cuisine contrairement au salon était très bien rangée et soignée, ce qui laissait penser que l’homme avait une bonne hygiène de vie et n’était que désordonné que pour ce qui concerne son travail. Il donna des croquettes à son chien et retourna devant son écran. Il se servit un verre d’eau et retourna sur son ordinateur.

Un icône s’afficha à l’écran, c’était une enveloppe clignotante signifiant qu’il venait de recevoir un mail. Il s’approcha de l’écran afin de lire son contenu. En regardant l’auteur de l’email l’homme fronça les sourcils. Ce mail lui était bien destiné, lui le professeur Edouard LEONARD. Interloqué il décida de l’ouvrir car le message émanait d’un de ses collègues japonais. Il attendait des résultats de la part d’un collègue américain mais de message de son confrère japonais. Il ouvrit le message et quand il en vit le contenu, il lâcha le verre qu’il avait dans les mains. Le verra tomba sur le tapis du salon et éclata en centaines de morceaux.

Edouard ne pensa même pas à ramasser ce qu’il venait de faire tomber et se précipita dans une pièce au sous sol. En enfilant une blouse, il descendit rapidement les marches de sa cave. Il ouvrit une porte hermétique très solide et épaisse. Les fioles et machines sophistiquées brillèrent à la lumière de la cave juste le temps ou Edouard ferma la porte pour un long moment afin de travailler à des choses que seul lui comprenait mais dont le rôle était d’une importance capitale. Mais cela, il n’en mesurait pas encore l’ampleur.
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Message  Invité Mer 8 Avr 2009 - 16:08

Ok, l'intrigue commence à se dessiner...

Je te conseille de relire ces passages, en particulier le I du chapitre 2, il manque des mots, et il y a des fautes. Ailleurs aussi mais c'est moins gênant, sauf par endroits, ici par exemple :
Son maître étant très sérieux et quoi que peu imperturbable finit pourtant par répondre aux attentes de son petit compagnon à quatre pattes en dédaignant se lever jusqu’à la cuisine pour lui donner à manger

pour "peu imperturbable" je te laisse voir mais pour le deuxième c'est mieux de dire " daignant se lever".

Attention aussi aux temps, de nouveau dans le I du 2.
Et à ne pas abuser du ton moralisateur : Indignée mais ne pouvant rien faire dans son bus, Juliette oublia cela en arrêtant de regarder cette triste mais pourtant de plus en plus fréquente scène.

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Message  Zero Mer 8 Avr 2009 - 16:13

Oui j'avoue !
Je dois relire un peu plus ...
Le ton moralisateur j'en ai peu être un peu trop mis en effet ...

Je relis ça vers 20 H et j'envois la nouvelle version !

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Message  Invité Mer 8 Avr 2009 - 21:56

Les chapitres comportent pas mal de maladresses qui gênent la lecture, et c'est dommage parce que l'histoire promet, je trouve ! (Cela dit, vous faites un peu trop d'effet d'annonce à mon goût : "Attention, le destin de l'humanité va basculer ! Attention, ils ne se doutent de rien mais ça va changer ! Attention !!" Du coup on se demande quand ça se décide à venir...)

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Message  Zero Jeu 9 Avr 2009 - 19:02

Bonsoir j'ai fais quelques retouches ... Dont certains tons moralisateurs supprimés

Chapitre 2 : Le labeur
I
Sept heures. L’heure à laquelle le monde commence à se mouvoir. Les humains tels des fourmis se réveillent et de commencent à errer sans buts, ou du moins travailler but qui leurs donne l’impression qu’ils servent à quelque chose dans ce monde ou ils ne trouvent pas leurs places. C’est l’heure à laquelle la lumière du Soleil arrive tel un halo divin sur terre. Mais c’était sans doute les derniers beaux jours que l’humanité allait connaitre avant bien longtemps.

Une à une les longues sonneries stridentes des réveils sonnèrent pour mettre fin aux longs rêves et cauchemars. Un à un les hommes et femmes sortirent de leurs lits pour s’activer à leurs diverses taches aussi futiles qu’inutiles. Toutes ces taches ils répètent inlassablement jour âpres jour pour se donner une raison de vivre.

Les hauts immeubles allaient gratter le ciel et réfléchissaient à tous les alentours les rayons pointant. Le bourdonnement de la circulation commença peu à peu à se faire entendre dans les artères principales de la ville, comme le sang circulant dans le corps d’un animal. C’est ce qui faisait vivre la grande ville qui sortait lentement de son sommeil. Cette grande ville encore à moitié endormie c’était Paris, Paris la grande, Paris la merveilleuse, futur théâtre d’une tragédie.

Le moment n’était pas encore arrivé.


II



Sept heures. C’est avec un visage cerné par les heures de sommeil manquées qu’il s’avançait sur le seuil de sa porte. Il avait l’habitude de la fatigue et de ses conséquences car il faisait de nombreuses interventions nocturnes qui dépendaient du calme de la ville et de ses occupants. Vêtu de sa tenue de civil, il se dirigea vers son garage d’un pied sur et rapide pour ne pas être pris dans les embouteillages de la ville. Il ouvrit le garage électrique, une superbe voiture s’y trouvait. Belle, entretenue, propre, elle démontrait la propreté de son conducteur et sa passion pour l’automobile. Luxueuse et brillante, il s’en approcha, nettoya une tache sur le côté conducteur et s’y installa. Son petit côté maniaque ressortait ainsi le temps d’allumer son véhicule en testant le moteur de celui-ci à l’aide d’une grande accélération. Il vérifia que son arme de secours se trouvait bien dans sa boîte à gant et passa la porte du garage.

La voiture d’un rouge brillant et luisant passa la barrière de la maison. La voiture accéléra une fois dans la rue afin de ne pas prendre de retard pour arriver à destination à temps, comme tous les matins, ce même trajet se répétait inlassablement pour aller travailler. Le soleil continuait de monter dans le ciel répétant lui aussi sa course inévitable jour après jour rythmant ainsi la vie de nombreuses personnes.

La route était comme tous les jours. La voiture rouge roulait, passant les feux rouges, les giratoires et les passages piétons pour s’engouffrer de plus en plus profondément dans le cœur tout juste palpitant de Paris ou la circulation commençait à se faire dense. Trente minutes après son départ, le véhicule arriva à sa destination prévue. Un commissariat de police en plein centre de Paris.

L’homme descendit de son véhicule pour pénétrer dans le bâtiment cerner d’une grande cour où de nombreuses voitures de police l’entoureraient. Il s’avança jusqu'à un grand portail et s’arrêta devant l’interphone ou il devait taper son code pour entrer. L’homme s’apprêtait à le faire quand une main s’appuya sur son épaule. Se tournant en enlevant la main de son épaule l’homme aperçu un individu vêtu de haillons foncés dont on ne pouvait deviner la couleur d’origine tellement l’usure les avait rongé. L’individu en question avait de longs cheveux qui cachaient son visage crasseux. Il sentait assez fort et ouvrit une bouche dans la quelle il ne restait que quelques dents rongées par les caries et le temps pour dire d’une voix rauque et grave :

- Hé Msieurs ! Zauriez pas une tite pièce pour un pauve vieillard ?

L’homme qui venait de se faire accoster fouilla ses poches et trouva une pièce de cinq centimes qu’il donna au mendiant afin de se débarrasser de lui. La réponse de celui-ci fut immédiate, il ouvrit un peu plus sa bouche édentée et dit :

- Merci Msieurs ! Zêtes quelqu’un de bien ! Dieu vous remerciera un jour.

Le vieillard, satisfait, s’éloigna en marchant d’un pas lent avec ses chaussures décharnées. L’homme qui fut coupé en tapant son code repris ce qu’il avait commencé. La porte s’ouvrit et il pénétra dans la cours en admirant les voitures qu’il avait l’habitude d’utiliser surtout lorsqu’il aimait poursuivre des gens avec. Il repensa d’ailleurs à la course-poursuite d’il y a deux jours ou ils avaient cassé une de leurs voitures en poursuivant des braqueurs dans le sixième arrondissement. Il s’approcha de la grande porte du bâtiment.

C’était l’entrée principale mais pas celle d’urgence pour les cas importants et celle pour les gens qui venaient demander de l’aide ou quoi que ce soit. Une fois rentré dans le bâtiment, il salua ses collègues et la secrétaire à l’accueil. Il se dirigea vers les vestiaires et s’assit devant un des nombreux casiers qui entouraient la salle coupée par des bancs en son centre. Il ouvrit le casier. Des photos d’amis et une photo de famille ou on voyait l’homme avec une femme et une jeune fille d’à peu près huit ans étaient accrochées. Il se déshabilla et pris les affaires de services qu’il y avait dans son casier. Pantalon noir, chemise bleu, ceinture, la tenue d’un policier classique. Il accrocha un badge à la poche de sa chemise sur lequel on pouvait lire : « Marc Leclerc – Officier de Police ». Il prit tout ce dont il avait besoin : matraque, pistolet, menotte, talkie walkie.

Il était huit heures. La journée de Marc commençait tout juste et c’était peut être une des dernières normales qui lui restaient à vivre avant un moment, mais cela Marc n’allait pas tarder à l’apprendre à ses dépends.



III


Maquillée, coiffée, elle était sublime. Ses longs cheveux blonds tombaient sur son joli visage et faisait ressortir le bleu de ses yeux dans lesquels de nombreuses personnes aimeraient plonger, océan de pureté et de gentillesse. Elle sortit de la salle de bain et se dirigea vers une armoire pour chercher des affaires qu’elle devait emmener. Elle prit deux dossiers qu’elle mit dans son sac à main. Sept heures, il était temps de partir pour aller travailler. Elle s’avança vers la sortie et s’apprêta à ouvrir la porte quand elle entendit :

- Tu n’oublies rien Juliette ? dit une voix qui n’avait rien de féminine.

C’était son mari qui attendait juste son baiser du matin. Juliette s’approcha de lui et l’embrassa tendrement en s’excusant de cet oubli. Elle marcha vers la porte et la referma derrière elle. Elle commença à descendre les marches menant au rez de chaussé de son immeuble quand elle aperçu une de ses voisines sur le seuil de sa porte. Juliette la salua et lui demanda comment elle allait. Sa voisine était une femme mûre d’une soixantaine d’années qui vivait seule depuis la mort de son mari. Celle-ci lui répondit :

- Oh ma fois ça a déjà été un peu mieux, je ne me sens pas très bien aujourd’hui. Dit-elle en soupirant.

Juliette lui proposa gentiment de passer la voir ce soir au cas ou ça n’irait pas mieux et la voisine accepta volontiers car cela lui fera un peu de visite et de discussion car elle n’en avait que très peu, famille évitait de lui rendre visite. Sur ce Juliette continua à descendre les cinq étages qui lui restaient. Elle arriva dans la rue ou le bruit de la ville commençait se faire entendre et les piétons circulaient déjà abondamment marchant vite sans faire attention aux autres. Juliette s’incrusta dans les files de personnes parcourant le trottoir. Deux rues plus loin elle s’installa à un arrêt de bus afin de prendre celui qui le mènera à son lieu de travail, endroit qu’elle adorait par-dessus tout et métier qu’elle faisait avec soin et passion.

Elle se faufila dans le bus, légère et souple et se glissa entre les personnes qui bondaient le bus n’ayant plus de place pour s’assoir. Elle trouva une place près de la fenêtre afin d’observer les rues qu’elle parcourait tous les matins.

La route continuait et au bout d’un moment, Juliette descendit devant un grand bâtiment ou la circulation était très importante. C’était un très grand hôpital situé un peu plus à l’écart du centre même de Paris.

Cet hôpital comportait de nombreuses parties comme : la pédiatrie, psychiatrie, urgence, maternité, service de chirurgie et de grands blessés. C’était un hôpital reconnu dans toute la ville et qui accueillait et soignait de nombreuses personnes par jour. Juliette pénétra dans le bâtiment des urgences ou elle aimait œuvrer pour la diversité des incidents dont elle devait s’occuper. Elle passa par l’entrée principale et traversa la salle d’attente qui commençait déjà à se remplir peu à peu. Juliette s’arrêta par les vestiaires ou elle enfila sa tenue d’infirmière en quatrième vitesse afin d’aller au plus vite aider ceux qui en avait besoin. Elle accrocha un badge à la poche de sa tenue avec marquer : « Juliette ROUSSEAU – Infirmière : Urgences ».

Il était huit heures. Juliette allait commencer son service, rencontrer de nombreuses personnes, en soigner d’autres, opérer, écouter, soigner. Elle adorait cela par-dessus tout, mais peut être plus pour longtemps.

IV




Sept heurs et l’écran d’ordinateur était toujours allumé et l’homme ne l’avait pas quitté. La porte du salon qui était mal fermée s’ouvrit doucement, sans grincement. Une silhouette se faufila et s’approcha par derrière de l’homme devant son ordinateur. Silencieuse, furtive l’ombre se rapprochait de plus en plus de la table. L’homme toujours concentré sur sa machine ne s’aperçu de quelque chose qu’au moment ou il sentit deux pattes se poser sur ses genoux et un grand chien noir lui lécher le visage. L’homme repoussa gentiment le chien sur le côté. Le gros labrador s’assit à côté de la chaise de son maitre mais ne bougea pas. Il se mit à gémir en regardant celui-ci. Son maître étant très sérieux et quoi qu’imperturbable finit pourtant par répondre aux attentes de son petit compagnon à quatre pattes en daignant se lever jusqu’à la cuisine pour lui donner à manger. Le chien le suivit sans faire d’histoire, remuant la queue de satisfaction.

La cuisine contrairement au salon était très bien rangée et soignée, ce qui laissait penser que l’homme avait une bonne hygiène de vie et n’était que désordonné que pour ce qui concerne son travail. Il donna des croquettes à son chien et retourna devant son écran. Il se servit un verre d’eau et retourna sur son ordinateur.

Un icône s’afficha à l’écran, c’était une enveloppe clignotante signifiant qu’il venait de recevoir un mail. Il s’approcha de l’écran afin de lire son contenu. En regardant l’auteur de l’email l’homme fronça les sourcils. Ce mail lui était bien destiné, lui le professeur Edouard LEONARD. Interloqué il décida de l’ouvrir car le message émanait d’un de ses collègues japonais. Il attendait des résultats de la part d’un collègue américain mais de message de son confrère japonais. Il ouvrit le message et quand il en vit le contenu, il lâcha le verre qu’il avait dans les mains. Le verra tomba sur le tapis du salon et éclata en centaines de morceaux.

Edouard ne pensa même pas à ramasser ce qu’il venait de faire tomber et se précipita dans une pièce au sous sol. En enfilant une blouse, il descendit rapidement les marches de sa cave. Il ouvrit une porte hermétique très solide et épaisse. Les fioles et machines sophistiquées brillèrent à la lumière de la cave juste le temps ou Edouard ferma la porte pour un long moment afin de travailler à des choses que seul lui comprenait mais dont le rôle était d’une importance capitale.
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Message  Invité Jeu 9 Avr 2009 - 20:18

Il faut aussi revoir cette partie, il doit manquer des mots :

Les humains tels des fourmis se réveillent et de commencent à errer sans but, ou du moins travailler but qui leurs donne l’impression qu’ils servent à quelque chose dans ce monde où ils ne trouvent pas leur place

Vu les corrections. Bien joué avec "imperturbable" ; attention à "quoique", en un mot ici.

Et puis aussi, je voulais te dire que des "chaussures décharnées" sonne bizarre ("éculées" plutôt), comme les 5 centimes pour faire la charité, c'est vraiment très peu.

Le temps ici :

L’homme descendit de son véhicule pour pénétrer dans le bâtiment cerné d’une grande cour où de nombreuses voitures de police l’entoureraient

"l'entouraient", mais "cerner" et "entourer" disent la même chose.

Et pour conclure avec mes doléances, ceci qui m'avait déjà gênée à la première lecture :

- Tu n’oublies rien Juliette ? dit une voix qui n’avait rien de féminine.

pourquoi ne pas faire simple avec "une voix masculine" ?

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Message  Sahkti Mar 5 Mai 2009 - 17:10

J'ai lu la première et la seconde version de la première partie. Tu tiens compte de certaines remarques mais il demeure encore des phrases un peu tarabiscotées ou maladroites.
Par exemple Il jugea qu’il avait dû rêver, cela sonne artificiel à mon oreille.

Je me demande si à un moment donné, tu ne devrais pas carrément en raccourcir quelques-unes, les scinder, bref adopter un autre rythme pour donner à ton texte une respiration différente. De la sorte, tu marierais un rythme plus saccadé (et soutenu) à un contenu qui peut s'écouler en prenant son temps, tout en étant épaulé par la forme (sais pas si je suis très claire, hum).

A part ça, cette première partie ouvre des pistes et est tout de même efficace dans sa narration.
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Message  Sahkti Mar 5 Mai 2009 - 17:13

La seconde partie du premier chapitre me paraît différente, pas moins crédible mais comment dire... moins naturelle. Tout s'écoule lentement, les actions sont disséquées et rien à faire, je n'arrive pas à entrer dans l'histoire. Peut-être parce que je n'arrive pas à réellement ressentir les émotions du personnage, la tension qui peut habiter cette femme ou ce qu'elle éprouve en se promenant dans un rêve.

Me plaît beaucoup cette idée de partir d'un point commun pour ébaucher plusieurs petites histoires qui vont en former une grande. Dans la mesure où tu tiens une idée qui vaut le coup, ça serait bien d'essayer de garder un équilibre entre les textes, au niveau du contenu et de son exploitation.
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Message  Sahkti Mar 5 Mai 2009 - 17:16

Le deuxième chapitre a tendance à reprendre peut-être un peu trop d'infos déjà données dans le premier. C'est bien de permettre au lecteur de se raccrocher à quelque chose mais pas en étant aussi "copier-coller", ça se remarque trop.
De plus, j'ai le sentiment que tu as changé de ton, de style, que tu tentes de faire passer un message plutôt que narrer les faits, comme tu l'as fait au début. Ce n'est pas vraiment dérangeant mais cette orientation peut laisser sur sa faim, parce que l'intrigue commence à peine à se dévoiler.

Sinon, dans l'ensemble, tu tiens une bonne idée de départ, je le redis et ton texte vaut la peine d'être retravaillé.
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Message  speecy Mar 5 Mai 2009 - 19:09

tu tiens une bonne idée de départ

Je dirais même plus, une idée prémonitoire ^_^ Tu as été au mexique récemment zero?
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