JO DOMENICA : Pour l’amour de la langue

Et m..... ! J'ai oublié d'indiquer JO DOMENICA !!
Modo please ! Chaaaaarles !!

<-- C'est fait ! T'as bien fait de faire équipe avec un modo ! :-)))) -->

Excellent ! J'ai adoré de bout en bout. Les scènes sont très bien campées et drôles.

Quelle fin !
Et dire qu'à cause de ce Jo Domenica maladroit, le Frioulan n'aura pas encore droit de cité(e).
Félicitation pour l'exercice écrit de mains de maîtres !

Et Miss Marple dans tout ça, a-t-elle enfin trouvé un bel canto ?

Bien joué, habile, amusant, bien écrit. Une friandise. Miam!

Pauvre wendy... quelle supplice!
Sinon je me disais qu'il faudrait peut-être que j'essaie l'Erri cota avec le chakras de poulpe.

bon je dois dire que vous ne manquez pas d'humour surtout sur la manière de faire périr notre Gît aie Jo....

Oui, il est vraiment plein d'humour ce Jo Domenica. J'ai pris du plaisir à vous lire mais j'avoue mon ignorance, j'ai dû aller sur google pour savoir ce qu'était le Frioulan...Merci Wikipédia

le frioulan, en plus ça existe !
un grand bravo, quel duo !
impossible de dissocier les écritures
et la nouvelle est marrante, solide, bien menée, alerte
la fin est super
va falloir que vous refassiez un texte à vous deux, c'est impec

Tout comme dans le texte de Halicator, les jeux sur la langue et ce besoin de mêler anglais, français etc, tout cela m'a paru forcé, trop présent et pas forcément utile, même si l'essentiel de l'intrigue repose ici sur la langue, donc ceci explique cela. C'est simplement que ça ne m'a pas paru très naturel et dès lors, les quelques situations drôles m'ont semblé laborieuses. L'idée est bonne, drôle et amusante; dommage qu'elle soit toutefois distillée autour de ces effets de langage, mais c'est avis subjectif et perso, ça.
Cela ne m'a pas empêchée d'apprécier la vivacité et la fluidité de l'écriture et puis les personnages sont très attachants, pas facile à réussir ça!

J’ai beaucoup aimé, c’est drôle et vif… Les « Erri Cota », « tutti chianti » et les « hooligans de la gastronomie » m’ont bien fait rire !
J’ai en revanche eu un peu de mal à situer le personnage et l’action. C’est seulement là que tout est devenu clair : « moi Jo Domenica, nouvelle recrue du comité de jumelage Trieste-Southampton », mais c’est peut-être parce que je suis mal réveillée :-))
J’hésite un peu à composer le 06 06 02 01 05… Des fois que je tombe sur le presidente !

Halicante a écrit:J’ai beaucoup aimé, c’est drôle et vif… Les « Erri Cota », « tutti chianti » et les « hooligans de la gastronomie » m’ont bien fait rire !

toutes des trouvailles de Charles !!

Easter(Island) a écrit:

Halicante a écrit:J’ai beaucoup aimé, c’est drôle et vif… Les « Erri Cota », « tutti chianti » et les « hooligans de la gastronomie » m’ont bien fait rire !

toutes des trouvailles de Charles !!

tatatata ... y a pas de lignes d'Easter et pas de lignes de Charles ! Tout est commun ! ;-)

POur l'amour de la langue la marque de négation m'a manquée :

Sauf qu'ils avaient pas l'air très drôles là, les Inglesi...

manqué ( fatigue, sais plus...)

Désolé je n'arrive pas à lire : rythme enjoué, écriture sifflante, avec un début chargé en ça ce serait ceci.. C'est exactement le style qui me fait fuir. Qu'on s'entende : à propos de ce texte, ce qui n'enlève rien au travail fourni et au talent de leurs auteurs.

Il y a de l'esprit là-dedans - on n'en attendait pas moins d'une telle équipe.
"Charleaster ®, finesse professionnelle depuis 1825"
Ce Jo-là a une personnalité et c'est pas rien.
Entre faux investi et vrai coureur, c'est le genre de type que j'aime lire.

Le reste est moins léger les loulous : la fin... mais la fin... pourquoi avorter comme ça ? Me dites pas que c'est la limitation de caractères qui vous a crispés ?
C'est dommage, j'attendais presque un format intermédiaire... genre un 20 000 caractères pour avoir au moins un début d'intrigue, de résolution, de baston, de cul... Bah nan.
Dommage.

Sur l'écriture (puisqu'on est là pour ça), je la trouve trop tassée, pas assez aérée. L'équilibre n'est pas : trop descriptif au début, j'ai failli lâcher. Du mal à me passionner pour cette réunion culturo-machin.
L'action est un peu forcée et vraiment, vraiment, la fin me chiffonne.

Pour ce qui est du style, les démarcations ne sont pas évidentes et en ce sens, l'accordage de vos scribouillages est réussi. Qui de l'une ou de l'autre a pondu cette phrase, ce passage, cette fin (...) reste un mystère.

C'est bien.

Alors je sais, Loup et kazou ont quoi, trois semaines de retard, petit détail qui décridibilise fortement leur commentationnage, mais bon.

Vous me manquez.

Kazar, nous ne sommes pas si vieux, même à deux :-))
Merci de tes commentaires que je trouve personnellement parfaitement justifiés, notamment sur la densité de l'écriture et une certaine lourdeur descriptive. En revanche pour la fin oui, on a dû concentrer pour respecter le nombre de signes (tu as bien tout suivi, Kazarounet ?) et donc faire la pirouette.
Ravie, que dis-je ? extatique, de ton passage ;-))

j'ai vraiment beaucoup, beaucoup aimé. C'est drôle, vif, picaresque; et puis, j'ai adoré ce mélange de langues qui donne une dimension et un relief étonnant à ce récit où les évocations gastronomiques mettent à la torture un pauvre cconvalescent à la diette.

Un grand bravo !