La proie

Pas touchée cette fois, désolée.

J'ai cherché en vain une image, quelques mots à sauver...
Peut-être "Que j'aimerais revoir pour les décoiffer de leurs conventions"...
Et je trouve très laide la phrase (répétée à souhait) "Tu marchais comme soubresaute une vague". Désolée, mais ce texte ne me parle pas du tout.

Comme parfois dans certains textes on sent le frémissement d'une émotion qui ne trouve pas son expression. La faute à qui, la faute à quoi ? A trop de recherche dans les effets ? Je ne sais pas, mais j'ai plutôt mieux aimé à partir de "tu étais différente", ce qui précède me faisant l'effet d'un exercice de pure stylistique.

hmm, je l'ai trouvé particulièrement savoureux celui-ci, dans le rythme et les images, ça a trouvé répercution en moi.
merci pour ce bon moment de lecture, au plaisir

On ne peut que te féliciter dans ta volonté de sortir des sentiers battus. Le choix de ton vocabulaire frappe dans porter atteinte à la lecture. L'expression du désir trouve aussi des accents inattendus voire neufs.
Cordialement.

Jusqu'à Tu étais différente, j'ai trouvé cela superbe, parce que fort, déchiré et violent, plainte poussée dans un cri qui pourrait s'apparenter à de la révolte. Le choix des mots est judicieux, il permet au texte de dégager pas mal d'émotion brute.

Ensuite, ça se gâte un peu, parce que ça retombe dans quelque chose de trop conventionnel à mon goût et les répétitions sont peu heureuses, trop remarquées, avec également le sentiment que tout cela suit un fil conducteur prévisible.

J'en reste donc à cette première partie que j'apprécie beaucoup, elle me suffit amplement.