Le vent

Quand le vent
Effleure
La peau du silence
J’entends comme un bruit
D’étoffe caressé
Qui adoucit ma souffrance

Parfois s’insinue
Entre les pierres
Jusqu’a laisser le désert
Dans son rituel de poussière

Je ne suis pas convaincu par ce texte, qui manque vraiment de soin, de rigueur : par exemple : les majuscules doivent être accentuées, il y a une grosse faute d'accord. Le dernier paragraphe me parait raboté jusqu'à la disparition de son essence. Désolé, mais passe pas la moyenne, votre texte.

A mon avis, trop court, pas terminé. Manque la ponctuation.
La première strophe est une phrase bien construite, mais la deuxième, telle quelle, est incompréhensible.
Je te suggère de commencer ta deuxième strophe comme la première, par
"Quand le vent (puisqu'on sent que c'est sous-entendu)
Parfois s'insinue
Entre les pierres
Jusqu'à laisser le désert
Dans son rituel de poussière..."
Et là on sent bien qu'il manque la fin de ton idée, la fin de la phrase.
Enfin c'est mon point de vue, je peux me tromper.
Faute : "J'entends comme un bruit d'étoffe caressée
Ce n'est pas le bruit qui est caressé, c'est l'étoffe.
A +. Amicalement,
embellie

Quel est le sujet de "s'insinue" ? Et ne me réponds pas que la réponse est dans le vent !
Quant à l'étoffe, Panda le dit et Panda a toujours raison : elle est féminine ...

embellie aussi d'ailleurs :-)

pandaworks a écrit:les majuscules doivent être accentuées

et quelle majuscule ?

Pas trop emballée, notamment par la répétition de son durs dans la première strophe :

Quand le vent
Effleure
La peau du silence
J’entends comme un bruit
D’étoffe caressé
Qui adoucit ma souffrance

Tout ceci a également une allure inaboutie, avec des images voulues éthérées mais là, c'est au point de leur faire perdre toute consistance, dommage.

"La peau du silence" : celle qui rougit quand on la pince mais ne pipe mot.