À un lettre près : Exo éphémère

La coupe ;0) ou un carré plongeant

Lyra will a écrit:

pandaworks a écrit:

Lyra will a écrit:je crois que je vais me faire un barré

pas compris, on rentre dans la féminité inaccessible :-(

meuh :0))

Un carré !

haaaaaaaaaaaaaaaa ! pas une coupe au bal ?

petite illustration :0)))
http://images.francetop.net/uploads/carr%C3%A9%20plongeant_21328.jpg

pandaworks a écrit:

Lyra will a écrit:Un carré !

haaaaaaaaaaaaaaaa ! pas une coupe au bal ?

ah ben non ! on fait pas dans les châteaux morts!

Une longue presse derrière.

Easter : des deadlocks sur les cotés.

quand c'est fait par soin-même, c'est souvent pas très séculier!

un peu de loque ?

l'esthéticienne veut m'épicer les sourcils ...ses hormones de mormonne sans doute

elle veut aussi épiler l'épicéa

pandaworks a écrit:Ca ne serrait pas mieux avec une charrette au milieu ?

Ou une bérette dessus ?

pandaworks a écrit:

Easter : des deadlocks sur les cotés.

morte de trouille ( ouis, bon : "dead/dread")

shampoing cheveux gros tendance sacs.

pintes sèches.

shampooing cheveux gros sales

Shampooing cheveux poivrés sales

Pointes fourbues

cheveux pisseux.

Le coiffeur australien : un bush ?

On peut mettre au point un cheveux plan

assis à ma table je soigne mon rhume avec du rhum :

j'ai dessiné une vache avec des taches: elle se presse sans paresse vers l' étable pourrie où chaque soir dans le noir nourrie avec du pain rassis et de la mache elle avale le repas que je lui ai destiné puis c'est le repos
le jour on joue, ma compagne cavale dans la campagne, elle hâte le pas tandis que je lui tâte le pis, elle sait que son lait me plait c'est l'agent du leurre
la vente de mes crêpes me rapporte plus que mes cèpes sur la sente,
je verse la pâte que je fais frire dans la crêpière avec du citron, déguisé en mitron, et berce mon litron de cidre
ça cadre : ainsi j'ai le beurre l'argent du beurre et le rire de la crémière

assis à ma table je soigne mon rhume avec du rhum et cygne mon dessin d'un cou de plume, ah la vache une tache ...maudit destin ...à la place de l'étable un érable ...
et t'sais tes rats....

Autant en importe le vent.

chaque fois que la tristesse me câble.

chaque doigt que la tristesse m'accable

George Clowney , tombe les filles et tais toi . Tombe les comme des mouches, comme des moches.
C’est à gorge déployée que je rie, George, mais toi prie !
George, where is your tomb ?
Because I am the bomb on the beach and you’re not out of my reach.
You’re not just a pig ? Pas grave, dig your grave.

ne pas avoir les Dieux en face des trous.

il faut se réjouir de rejouir.

Chako Noir a écrit:chaque doigt que la tristesse m'accable

quand la tristesse s'emmêle.

chacun est jauge de ses propres actions.

Allez Panda, enlève ton casque on t'a reconnu !

Plus un homme avance en âge, plus il est difficile de le faire traire.

La mite de la caserne, comme aurait dit Platon, donnait du fil à découdre à plus d'un.

Dis, tu m'animes? lui demandait sans cesse Galatée.

il eut fallu, ça prend pas de S ???

alors... hue !!!... écris ! mais pas trop fort

PRUNIER Frédéric a écrit: il eut fallu, ça prend pas de S ???

alors... hue !!!... écris ! mais pas trop fort

une lettre Fred; une lettre.

chrystie12 a écrit:La mite de la caserne, comme aurait dit Platon, donnait du fil à découdre à plus d'un.

La perversion de la cité commence par la fraude des morts
Pluton

qu'on a attribué plus tard et à tord à Jean Tibéri.

conseil viager :
la maison du plus mort est toujours la meilleure

nymphomane, elle avait souvent mâle aux jambes

pandaworks a écrit:

Avis à la copulation

:0)))
Je l'avais pas lu celle-là.