Que tes larmes sont belles ! (prose poétique)

Que tes larmes sont belles !



Croirais-tu seulement l’étrangeté du mal…
Celui qui vit de l’autre, celui qui vit que pour ton bien
Croirais-tu la faiblesse, celle qu’on t’offre nuit et jour, en million de couleurs.
Celles des arbres morts, que tu regardes près du feu, l’âtre de la télévision
Croirais-tu seulement, qu’il faut que je te dise…Que tes larmes sont belles !

Et ces amis que tu reçois, pour réchauffer tous les silences
Leurs traîtres mots qui se confondent à ceux qui te font rire, quand tu te sers à boire
Cette amitié qui te rassure au-delà de ses phrases…
Celle d’avoir comme elle, suffisamment pleuré
Le croirais-tu, alors, l’étrangeté du tout, celle fondue en toi

Cette belle arme douce, qui pourtant te fait vivre…
Et celles des grimaces ! Le croirais-tu encore ?

A toi, qui ne vois pas… A toi, qui ne sais pas !
A toi, qui ne crois pas, à ces chambres glacées d’un impossible rêve
Toi, qui pour avancer, inventes la rumeur, du temps qui recommence !

Toi, de tous les néants, toi de tous les venins…
Avec tous les déserts, les chemins rocailleux
Les portes sans issues, avortées de questions

Toi qui sais des moments, à lire au fond des yeux, les blessures du cœur…
Toi d’un autre langage et de suaves pitances
Qu’un monde ne sait pas…
Qu’un monde n’entend pas…
Un monde comme des peurs…

Et si je te disais, que le mot liberté, fracasse tous les murs...
Le croirais-tu vraiment ?

Et si les murs ne l’entendaient pas ?
Et si les murs ne s’entendaient pas ?
Le croirais-tu vraiment, qu’un seul mot d’amour, efface chaque mur et qu’un autre l’entende ?
Croirais-tu seulement, qu’il faut que je te dise… Que tes larmes sont belles ?

Faut-il que je te dise, l’étrangeté de moi ?
Faut-il que je te dise "Plus rien ne me fait mal" ?
J’ai remplis tous les verres… « Aux armes mes amis !!! »

Faut-il que je te dise
La peur de te faire mal ?
Mais toi ! Le croirais-tu ?

Faut-il te l’entendre dire…
Que mes larmes étaient belles ?

Ceci est de la poésie et non de la prose, désolée... :-)

Un peu trop long à mon goût, ça fait ressortir le côté larmoyant de l'ensemble, trop proche du pathos. La répétition de toi accentue cette impression de longueur. L'émotion et la puissance du cri poussé ressortiraient sans doute mieux avec un texte allégé, simple suggestion personnelle.
Suis quelque peu passée à côté cette fois...

Sahkti a écrit:Ceci est de la poésie et non de la prose, désolée... :-)

exact, et ça commence à bien faire, Athor, de poster exprès des textes aux titres ambivalents, ambigus, bi-quelque chose pour tenter de détourner grossièrement nos règles de postage

J'adore, peu importe ce qu'on en dit
Quelle beauté, quelle mélancolie exquise
Un texte qui n'est pas donné à tous
de pouvoir apprécier, ou même comprendre
J'adore tout ce texte, en particulier ces phrases,
remplies d'une puissance symbolique

Et si je te disais, que le mot liberté, fracasse tous les murs...
Le croirais-tu vraiment ?

Et si les murs ne l’entendaient pas ?
Et si les murs ne s’entendaient pas ?
Le croirais-tu vraiment, qu’un seul mot d’amour, efface chaque mur et qu’un autre l’entende ?
Croirais-tu seulement, qu’il faut que je te dise… Que tes larmes sont belles ?

Bonne continuité, je me ferais lecteur
Bonne soirée

"Bonne continuité, je me ferais lecteur"

Hélas, un cher modérateur, tant aidé de son double et à force d'escrimes, , semble très loin de m'apprécier. A la fois à mes quintes, comme la mort d'un cygne...

Merci Samael, pour ton gentil commentaire... hors des mémorandums

C'est pourtant pas compliqué mais faut croire que tu aimes ça... :-)

Il est demandé de poster un texte par semaine dans chaque partie du forum. Règle dont tu sembles te fiche éperdument puisque tu postes plus d'un texte par semaine et tu fais également semblant qu'il s'agit de prose pour certains textes alors que c'est purement et simplement de la poésie, uniquement dans le but de poster deux textes et non un.
Après, tu t'étonnes que certains ne soient pas dupes du stratagème et que la modération te tombe dessus. Alors tu te perds en commentaires divers et variés, attaquant stérilement ceci ou cela.

Suffit de jouer le jeu, comme les autres le font, c'est tout.

Y en a bien qui confondent le mot prose et nouvelle et qui en postent et repostent et à tout va, leur prosotexte nombrilisé et sans le moindre intérêt littéraire... Y en a même d'autres qui confondent "chaque semaine" avec "tous les 7 jours" et le lundi avec le dimanche qui est, qu'on l'veuille ou non, le jour de début de semaine... y en a qui guettent, et qui attendent qu'on les morde... Y en a à qui, toujours se mentir va si bien !

Y en a qui jalousent la marginalité, qui dédaignent l'expressionnisme.

Ce n'est pas parce qu'il sont nombreux à avoir tort qu'ils ont tous raison [Bernard Werber]

Bof; ni très intéressant, ni très bien venu quant à la forme.
Pourquoi tu ne tentes pas "poésie proutique" pour essayer d'arnaquer les modos?
Quant au cygne auquel tu sembles te comparer, fais gaffe, la grippe aviaire rôde! Il expectore, et se démarquant du phénix, bien loin de renaître, il s'étouffe dans ses sanies.
ma parole, qu'est ce qu'il nous baragouine avec son charabia?

Définition de "prose"

Langage, manière d'écrire qui n'est point assujettie à une certaine mesure, à un certain nombre de pieds et de syllabes, etc.
Prose française.
Écrire en prose.
Il a traité le même sujet en vers et en prose.
Mélanges de vers et de prose.
Épître en prose mêlée de vers.
Comédie en cinq actes et en prose.
Ce n'est pas de la poésie, ce n'est que de la prose rimée.
Prose poétique : prose qui affecte le ton et le style figuré de la poésie.
(Familier) Simple écrit.
J'ai reçu de sa prose.
Sorte d'hymnes latines, où la rime et le nombre des syllabes remplacent la quantité, et que l'on chante à la messe immédiatement avant l'évangile, dans les grandes solennités.
La prose du Saint Sacrement.
La prose des morts.
Le ''Dies irae'', le ''Stabat Mater'' sont des proses.

Cette définition / definition de "prose" est issue de l'encyclopédie libre et collaborative wiktionary. Vous pouvez consulter la dernière version de la définition / definition de "prose" ainsi que la liste des contributeurs à cette définition / definition ici. Les tesxtes et les images de la definition de "prose" sont disponibles sous les termes de la Licence de documentation libre GNU.

Athor, t'es pénible !
et tu n'avais pas dit que tu partais du site ?
hein ?
allez, bon vent

VE, on l'aime ou on le quitte

(© N.S.)

Athor a écrit:Y en a bien qui confondent le mot prose et nouvelle et qui en postent et repostent et à tout va, leur prosotexte nombrilisé et sans le moindre intérêt littéraire... Y en a même d'autres qui confondent "chaque semaine" avec "tous les 7 jours" et le lundi avec le dimanche qui est, qu'on l'veuille ou non, le jour de début de semaine... y en a qui guettent, et qui attendent qu'on les morde... Y en a à qui, toujours se mentir va si bien !

et y en a qui prennent un malin plaisir à enmmerder le monde
ça ira comme ça

mentor a écrit:Athor, t'es pénible !
et tu n'avais pas dit que tu partais du site ?
hein ?
allez, bon vent

VE, on l'aime ou on le quitte

(© N.S.)

T'es un sacré téméraire, Guy: bon vent, tu rigoles où quoi? Avec les alizés, c'est chez toi que tu vas l'avoir, et tu vas voir que Modestine va pas aimer, surtout si elle se rend compte que c'est par ta faute

silene82 a écrit:bon vent, tu rigoles où quoi? Avec les alizés, c'est chez toi que tu vas l'avoir, et tu vas voir que Modestine va pas aimer, surtout si elle se rend compte que c'est par ta faute

des fois les alizés laissent place à un ouragan
m'arrangerais pour l'y pousser, un peu, juste dans l'oeil

là, il ne reviendra plus ici
sauf à se faire un autre pseudo
mais j'ai l'oeil

Tout de même, ses textes étaient for interressants
Domage, la raison est une raison que la raison ne connait pas...
C'est le problème avec la marginalité, lorsqu'on se laisse atteindre par l'extérieur de la bulle.

Samael Clayman a écrit:Y en a qui jalousent la marginalité, qui dédaignent l'expressionnisme.

C'est le problème avec la marginalité, lorsqu'on se laisse atteindre par l'extérieur de la bulle.

La marginalité c'est comme la confiture.

La marginalité c'est comme la confiture.

Dans quel sens?
Ça dépends de quel côté la tartine tombe?
lol
Très clair en effet

Le sens?

Celui du faux-cul!

Toujours plus lourd à supporter et on tombe inévitablement sur ses élucubrations dignes de la plus haute attention philosophique.

Un tout nouveau fil est ouvert pour ces discussions.
C'est dommage de gâter le fil de notre ami « confit ».