Fiction collective

Sur un forum de jeune un membre a eu l'idée d'organiser une fiction collective en une soirée. Ne considérer donc pas cet extrait comme une oeuvre fini et dont la qualité est homogène.

j'ai décidé de raporter sur ce forum la fictions purger des commentaires inutiles et de la plus part des fautes d'orthographe.
Ici l'original : http://www.jeuxvideo.com/forums/1-50-36146664-1-0-1-0-une-fic-collective-ce-soir.htm

Seul les participants alpha et beta sont differenciés, les autres sont confendu en intervenant X.

***

Intervenant :
X
C'est l'histoire d'un chien qui marche dans la rue et il rencontre un canard ...

Intervenant :
BETA
Le canard porte un fusil de chasse, et il commence à raconter au chien son sombre passé à vendre des allumettes dans les vieilles rues Bangkok.

À quelques rues de là, le carnaval local fait des siennes, ce fichu ours kidnappeur d'enfants n'est jamais bien loin.

Au bout de l'avenue, un homme se met à danser en gémissant, "il faut s'en aller, dit le canard, c'est Habib le vendeur de sabots, il m'a retrouvé, et maintenant, tu es sur sa liste !".

Intervenant :
ALPHA
Les chars, les guirlandes, les lampadaires; en haut ça brille, en bas c'est noir. On pourrait penser que les lumières et les couleurs agressives animaient la rue, mais lorsqu'on pénétrer dans la foule, lorsqu'on reprenait son souffle pour contempler l'instant, on ne voyait que des prostituées pré-pubères recroquevillées sur elles mêmes et des visages ridés cherchant la joie chez le vendeur de barbe a papa et de rhum.
- Ou t'enfuis tu Herbert ? demanda le chien
- Je ne sais pas, tu comptais resté la de toute façon ?
Le vieux teckel hésita, "peut être..."
- Allah nous a quitté mon vieil ami, et tout ce qui allait avec aussi...

Intervenant :
BETA
Herbert se faufila entre les prostituées dans des battements d'ailes maladroits. Dans le bruit sourd du murmure de la foule, on n'entendait que des petits couinements bondir de l'horizon. Habib l'avait attrapé.

Ni une ni deux, une voiture débarque sur la place publique, disperse la foule et écrase des passants. Un homme sort, il crie comme une chienne. Un autre le suit : "c'est l'heure de la justice !"

Le teckel tremble, il a déjà vu ces hommes, mais où ? Herbert le savait sûrement lui

Intervenant :
X
Mais une crevette surgit

Intervenant :
BETA
La crevette est géante et domine le ciel comme un astre puant le vieux restaurant marseillais. Elle parle à ses fidèles, la foule s'agenouille, un des deux hommes aussi, l'autre reste droit comme un I.

Le teckel n'y comprend rien.

Intervenant :
X
KAR IL é TRO KON

Intervenant :
BETA
En effet, à ses trois ans, le teckel avait subi une chirurgie plastique qui avait affecté ses capacités cérébrales durablement. Il n'y pouvait rien, et personne n'ignorait cette réalité : il était trop con.

Pendant qu'il se remémorait les pires heures de sa vie, la crevette entonnait une petite musique d'ascenseur. Les gens commençaient à s'ennuyer de ce Dieu humide et salé.

Intervenant :
X
Mais la crevette sortit un fusil et se mit a tirer sur les gens.
Le Teckel reçu une balle dans la tête , il tomba dans une flaque de sang.

Intervenant :
BETA
Enfin, il était libéré du fléau de son enfance, sa connerie immense. Mais il était aussi mort comme une merde.

Au même moment, l'armée arrivait sur la place publique, on allait buter cette sale crevette (en plus, elle payait même pas ses impôts).

Intervenant :
X
En rentrant chez lui , le petit s'aperçut ( ) que la porte était ouverte ...

Intervenant :
BETA
Le jeunot habitait à l'autre bout de la ville, il avait passé la nuit à chasser des écureuils dans les égouts. Il croyait encore à leur existence, même si son grand-père pédophile lui disait qu'ils étaient tous morts quand il les avait fourré dans son cul.

Balivernes, s'il n'y avait pas d'écureuils qui gambadaient dans les souterrains, à quoi bon être un enfant ? À quoi bon ? Bon sang ! Il reprit ses esprits. Sur la porte, on voyait des tâches d'excréments.

Intervenant :
ALPHA
Le gosse, sans se presser, se lava immédiatement les mains. Il n'était pas paniqué ni même dégouté, mais simplement peguant. Il avait pris l'habitude de ces évènements étranges, il ne leur accordait aucune importance, il savait que derrière un mystère se cachait un réponse qui ne nous étonnerait même pas, on comprendrait ,si on le voulait, qu'une réaction instinctive isolée était la cause de ces excréments abandonnés, mais il n'y avait ni pègre, ni épidémie exotique, ni amants passionnés mis en cause; ça devait être du a une discute entre mari et femme ou voisins septuagénaires, au mieux, une gastro n'avait pas était canalisée.
Kévin était las. Il savait déjà tout du cercle vicieux de l'ennuie et de la solitude qui poussait les citoyens a se bourrer l'esprit pour ne pas être rongeait par par le doute d'une existence rigide et veine.
Alors oui, Kévin chassait des écureuils anonymes, qui même dans ses rêves était de dos. Mais c'était comme çà qu'il s'évadait, en recréant les miettes d'un monde qui lui semblait exister quelque part, ce monde dont dépendait sa raison et justifier la tristesse de sa mort.

FILS_DE_HYENE a écrit:Sur un forum de jeune un membre a eu l'idée d'organiser une fiction collective en une soirée. Ne considérer donc pas cet extrait comme une oeuvre fini et dont la qualité est homogène.

Merci de lire pa lage une du site, svp :-)

j'ai décidé de raporter sur ce forum la fictions purger des commentaires inutiles et de la plus part des fautes d'orthographe.

Des fautes d'orthographe? Purgées ? :-)

Allez, un peu plus de sérieux dans la manière de faire ne serait pas du luxe !

Il n'y a pas non plus besoin de repréciser chaque fois Intervenant; c'est déjà assez lourd avec ces Alpha, Beta et X qui parsèment le texte.

Bon Ok, admettons, C'est de la prose live de Gamers. Vous voulez que l'on en fasse quoi au juste ?

Intervenant :
X
C'est l'histoire d'un chien qui marche dans la rue et il rencontre un canard ...

Intervenant :
BETA
Le canard porte un fusil de chasse, et il commence à raconter au chien son sombre passé à vendre des allumettes dans les vieilles rues Bangkok.

À quelques rues de là, le carnaval local fait des siennes, ce fichu ours kidnappeur d'enfants n'est jamais bien loin.

Au bout de l'avenue, un homme se met à danser en gémissant, "il faut s'en aller, dit le canard, c'est Habib le vendeur de sabots, il m'a retrouvé, et maintenant, tu es sur sa liste !".

Intervenant :
ALPHA
Les chars, les guirlandes, les lampadaires; en haut ça brille, en bas c'est noir. On pourrait penser que les lumières et les couleurs agressives animaient la rue, mais lorsqu'on pénétrer dans la foule, lorsqu'on reprenait son souffle pour contempler l'instant, on ne voyait que des prostituées pré-pubères recroquevillées sur elles mêmes et des visages ridés cherchant la joie chez le vendeur de barbe a papa et de rhum.
- Ou t'enfuis tu Herbert ? demanda le chien
- Je ne sais pas, tu comptais resté la de toute façon ?
Le vieux teckel hésita, "peut être..."
- Allah nous a quitté mon vieil ami, et tout ce qui allait avec aussi...

Intervenant :
BETA
Herbert se faufila entre les prostituées dans des battements d'ailes maladroits. Dans le bruit sourd du murmure de la foule, on n'entendait que des petits couinements bondir de l'horizon. Habib l'avait attrapé.

Ni une ni deux, une voiture débarque sur la place publique, disperse la foule et écrase des passants. Un homme sort, il crie comme une chienne. Un autre le suit : "c'est l'heure de la justice !"

Le teckel tremble, il a déjà vu ces hommes, mais où ? Herbert le savait sûrement lui

Intervenant :
X
Mais une crevette surgit

Intervenant :
BETA
La crevette est géante et domine le ciel comme un astre puant le vieux restaurant marseillais. Elle parle à ses fidèles, la foule s'agenouille, un des deux hommes aussi, l'autre reste droit comme un I.

Le teckel n'y comprend rien.

Intervenant :
X
KAR IL é TRO KON

Intervenant :
BETA
En effet, à ses trois ans, le teckel avait subi une chirurgie plastique qui avait affecté ses capacités cérébrales durablement. Il n'y pouvait rien, et personne n'ignorait cette réalité : il était trop con.

Pendant qu'il se remémorait les pires heures de sa vie, la crevette entonnait une petite musique d'ascenseur. Les gens commençaient à s'ennuyer de ce Dieu humide et salé.

Intervenant :
X
Mais la crevette sortit un fusil et se mit a tirer sur les gens.
Le Teckel reçu une balle dans la tête , il tomba dans une flaque de sang.

Intervenant :
BETA
Enfin, il était libéré du fléau de son enfance, sa connerie immense. Mais il était aussi mort comme une merde.

Au même moment, l'armée arrivait sur la place publique, on allait buter cette sale crevette (en plus, elle payait même pas ses impôts).

Intervenant :
X
En rentrant chez lui , le petit s'aperçut ( ) que la porte était ouverte ...

Intervenant :
BETA
Le jeunot habitait à l'autre bout de la ville, il avait passé la nuit à chasser des écureuils dans les égouts. Il croyait encore à leur existence, même si son grand-père pédophile lui disait qu'ils étaient tous morts quand il les avait fourré dans son cul.

Balivernes, s'il n'y avait pas d'écureuils qui gambadaient dans les souterrains, à quoi bon être un enfant ? À quoi bon ? Bon sang ! Il reprit ses esprits. Sur la porte, on voyait des tâches d'excréments.

Intervenant :
ALPHA
Le gosse, sans se presser, se lava immédiatement les mains. Il n'était pas paniqué ni même dégouté, mais simplement peguant. Il avait pris l'habitude de ces évènements étranges, il ne leur accordait aucune importance, il savait que derrière un mystère se cachait un réponse qui ne nous étonnerait même pas, on comprendrait ,si on le voulait, qu'une réaction instinctive isolée était la cause de ces excréments abandonnés, mais il n'y avait ni pègre, ni épidémie exotique, ni amants passionnés mis en cause; ça devait être du a une discute entre mari et femme ou voisins septuagénaires, au mieux, une gastro n'avait pas était canalisée.
Kévin était las. Il savait déjà tout du cercle vicieux de l'ennuie et de la solitude qui poussait les citoyens a se bourrer l'esprit pour ne pas être rongeait par par le doute d'une existence rigide et veine.
Alors oui, Kévin chassait des écureuils anonymes, qui même dans ses rêves était de dos. Mais c'était comme çà qu'il s'évadait, en recréant les miettes d'un monde qui lui semblait exister quelque part, ce monde dont dépendait sa raison et justifier la tristesse de sa mort.

Je vous ai signalé en gras la présence de fautes d'orthographe. A vous de les corriger si vous avez l'intention de ballader ce texte de forum en forum.

Sur un forum de jeune un membre a eu l'idée d'organiser une fiction collective en une soirée. Ne considérer donc pas cet extrait comme une oeuvre fini et dont la qualité est homogène.

j'ai décidé de raporter sur ce forum la fictions purger des commentaires inutiles et de la plus part des fautes d'orthographe.

Vous pouvez également réfléchir sur ce texte.