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La boîte à bijoux

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La boîte à bijoux Empty La boîte à bijoux

Message  RICHARD2 Lun 30 Aoû 2010 - 9:16

(C'est un conte pour les enfants qui pourrait être illustré)

*

Elle était si petite, si précieuse…

Une boîte d’une grandeur de quelques centimètres
tout au plus…

A elle seule, elle remplissait une des plus merveilleuses histoires
Son histoire
Si petite et si grande à la fois
L’histoire de la Boîte à bijoux nous est contée…

*

L’horloge sonnait vingt heures lorsque Amélie s’endormit dans sa chambre située au premier étage. La nuit était calme et pourtant Amélie s’agitait dans son sommeil. Elle entendait une petite voix qui l’appelait au loin, troublant ses pensées.

«- Viens, viens, je m’ennuie, viens me voir »

Amélie ne cessait de se retourner dans son lit. Les voix continuaient de l’appeler. Elle sursauta.

- Viens, viens, viens vers moi ! »

Amélie cherchait dans l’obscurité la lampe de chevet et lorsqu’elle l’atteignit, elle pensa surprendre totalement ces voix qui ne pouvaient être que la fin de son rêve de la nuit.

« Je suis là, viens, viens vers moi ! »

A ces mots, elle se leva, s’approcha de sa petite commode ancienne située dans le coin de sa chambre, prit la poignée du premier tiroir et tremblante, l’ouvrit.

Amélie vit alors un magnifique coffret lumineux, orné de saphirs brillant de mille feux.

Les yeux émerveillés, elle demanda timidement :

"- Est-ce toi qui m’appelles, jolie boîte ?
- Oui, c’est moi. Quel est ton nom, petite fille ? »

Amélie fut surprise qu’un objet puisse lui répondre. Elle pensa que c’était l’esprit de son imagination qui divaguait et voulut se recoucher aussitôt. Mais, l’appel de l’inconnu et sa curiosité furent les plus forts.

« - Je m’appelle Amélie, et toi quel est le tien ? »

- Je m’appelle la boîte à bijoux.

- Boîte à bijoux, drôle de prénom, ..., joli prénom ! »

- Que caches tu dans ta boîte ? des bijoux ? »

- Bien sûr, des bijoux ! »

- J’aimerais bien un collier, un collier vert et aussi beau que, ..., aussi beau que l’univers ! »

Curieuse, Amélie ouvra légèrement le couvercle du coffret. Une lumière blanche, intense et froide illumina Amélie. Surprise, elle recula et ferma le coffret pour se réfugier au fond de sa chambre.

« - Approche Amélie, approche, n’aies pas peur »

- Mais, mais, il fait si froid, dès que je m’approche de toi ! »

- Tu pourras te réchauffer à l’intérieur de moi, aies confiance ! »

Alors, Amélie posa sa première main puis la seconde sur le rebord de la Boîte à bijoux. Elle sentit le froid l’envahir. La boîte s’illumina et inonda sa chambre d’étoiles de lumière. Tout tournait autour d’elle et l’encourageait à franchir le pas à l’intérieur de la Boîte à bijoux qui était devenue un puits immense de lumière. Des voix de sirènes enchanteresses, l’encourageaient à l’enjamber. Elle se laissa enfin glisser vers ce chemin étoilé et glacé. La peur, le froid, le vide, l’absence de repères et surtout son insouciance la fit hurler. Déjà elle regrettait sa curiosité. Comment avait-elle pu avoir confiance en une Boîte à bijoux. Les lumières d’étoiles venaient se briser contre ses jambes et fouettaient son visage dans sa descente vertigineuse.

Une feuille immense sortit de la première et vint caresser ses cheveux d’or, le contour de ses sourcils, de ses yeux, de sa bouche. Elle n’était pas effrayée mais elle n’osait plus bouger.

« - Viens, Amélie, entre à l’intérieur de cette perle ! »

Elle ouvrit les yeux. Deux feuilles l’invitaient dans un univers de camaïeux de verdure. Elle n’avait jamais vu autant de plantes, autant d’arbres, de fleurs.

Au fur et à mesure qu’elle marchait, le tapis de fleurs opalines, jaunes, rouges, bleues jaillissaient et disparaissaient comme des feux follets du chemin. Elle se mit à rire de cette magie florale. Des clochettes argentées tintèrent pour accompagner sa joie. Un chant de bonheur remplit son cœur et son bonheur raisonna jusqu’au fond de cet univers perlé.

Elle continuait à marcher sans but. Les fleurs devenaient plus grandes et les couleurs plus vives. Un champ de lumière et de gaieté surgissait. Des buissons feuillus bruissaient sur son passage et disparaissaient dans le vent de sa marche. Des milliers de feuilles voltigeaient comme une neige verdoyante.

Amélie riait, riait et frappait dans ses mains pour accompagner sa joie. A chaque claquement de mains, des arbres gigantesques apparurent. Des branches percèrent le globe. Une épaisse fumée noire étouffa son rire. Elle suffoqua et tomba sur un tapis de mousse. Elle perdit connaissance. Une voix lointaine l’appela.

« - Amélie, Amélie, viens. Tu es dans le monde que tu as demandé. Ton voyage n’est pas terminé. Attrapes cette liane. Attrapes-là et laisses-là te soulever ! »

Amélie ouvrit les yeux, toussa plusieurs fois. Elle attrapa les lianes qui bougeaient devant elle. Les lianes la soulevèrent et l’emportèrent à l’intérieur d’une perle flamboyante. Une chaleur intense envahit son visage. Des flammes gourmandes léchaient la deuxième perle.

Elle ferma les yeux. Une flamme bleutée, chaude mais non brûlante vint caresser ses épaules, ses bras, lui prit la main. Elle n’osait plus bouger.

« - Viens, Amélie, entre à l’intérieur de cette perle ! »

Elle ouvrit les yeux. Elle ne touchait pas le sol. Un liquide rougeâtre coulait sous ses pieds. Des flammes s’ouvraient sur son passage. Lorsqu’elle essayait de les attraper, elles tombaient de chaque côté en une pluie de poussière grisâtre.

Elle voulut éteindre cet univers qu’elle refusait de voir. Un monde qui ne pouvait vivre sans souffrance. Elle se mit à pleurer, à pleurer si fort que ses larmes roulèrent à ses pieds. Un petit ruisseau se forma. Les plus grosses flammes s’étouffèrent. Amélie continuait de pleurer car elle était terrorisée par les images que les flammes dessinaient sur son passage. Ce monde ne pouvait exister. Elle sentait bien la chaleur mais cette chaleur la glaçait. La cendre dessinait des monstres malins. Des lames tranchantes essayaient de l’atteindre. Amélie se mit à hurler de peur. Ses pleurs brisèrent le globe de perles et une vague couleur émeraude étouffa ses cris. L’eau doucha ses cheveux, son corps et la recouvra toute entière. Amélie perdit connaissance.


Plongée dans un profond sommeil Amélie devenait familière des voix devenaient familières et ne cessaient de l’appeler :

« - Amélie, Amélie, réveilles-toi »

Une goutte d‘eau vint à ruisseler sur son adorable petit nez. En un instant tout changea. Ce n’était qu’une goutte et pourtant…de sa chrysalide surgit une perle. Doucement Amélie revint à elle ; elle n’était plus seule. Amélie se mit à rire. Le spectacle qui s’ouvrait devant elle était merveilleux.

« - Bonjour Amélie »

- Bonjour, mais toi qui es-tu ? »

- Ah enfin, tu te réveilles petite endormie ! je suis Perle Océane. C’est moi qui t’es trouvée lors de ton escapade…

- Comment connais-tu mon nom ?

- Oh ! Tu sais, c’est très simple : entre perles, on se raconte tout. On a beaucoup entendu parlé de toi ici, au royaume des eaux agitées. Tu as tellement pleuré et versé de gouttes d’eau que tu as fait surgir un énorme océan de larmes !

- Mais où suis-je ? »
Tu te trouves au cœur de l’océan. Le tapis de mousse sur lequel tu étais est devenu un lit fort douillet fait de gouttes d’eau qui se sont transformées en un véritable « igloo » marin bercé par mes cousines les vagues. Heureusement que cousins Tourbillon et Ouragan ne sont pas ici en ce moment pour tourmenter et inquiéter les gouttes d’eau.

« - Que dis-tu ? »

- Non, rien ; revenons à toi Amélie ».

- Il te faut retrouver des forces, aussi bois cette liqueur sucrée. Puis nous irons rendre visite au Maître des lieux. Prends deux grosses et belles gouttes qui te serviront de rames pour aller plus loin dans ton voyage ! Suis-moi, veux-tu ? N’aies pas peur Amélie, je suis ton amie »

- Je suis prête »

Amélie tout à fait réveillée était ravie de ramer.

Pourtant à peine avait-elle touché une des rames improvisées que soudain l’embarcation se mit à sursauter.

« - Que se passe-t-il ? » Demanda Amélie.

Perle Océane s’affairait ; ce qu’elle avait tant redouté se produisit. Cousin Tourbillon jusqu'alors silencieux se mit à faire des siennes.

« - Alors Perle Océane croyais-tu m’échapper et naviguer sur des eaux calmes ? Tu t’es trompée ! Tu fais moins la fière maintenant n’est-ce pas ? Pour la peine je vais te faire tournoyer toi et ta petite protégée, cela va être très amusant ! Amélie prit peur ; l’embarcation commençait à tourner.

- Perle Océane, nous n’arriverons jamais jusqu’au Maître des lieux »

- N’aies pas peur ma Petite Amélie »

Tout à coup une brise se leva puis un vent de force incroyable se mit à souffler et à se déchaîner sur l’océan. Celui-ci se teinta d’une couleur grisâtre ; les vagues déferlaient, l’embarcation s’en trouva fortement chahutée.

Et comme si cela ne suffisait pas cousin Ouragan vint à la rescousse de Tourbillon.

« - Oh secours » criait Amélie mais sa voix se perdait dans le tumulte des éléments.

- « Je suis là » répondit Perle Océane.

Puis comme si rien n’avait été tout redevint calme ; elles se retrouvèrent sans ni rien comprendre projetées en la demeure du Maître des lieux.

« - Ouf ! Nous sommes sauvées » s’écrièrent-elles en chœur.

Le Maître des lieux s’avança vers elles :

« - Oh mes enfants quelle aventure ! Soyez les bienvenues dans mon humble demeure. Ici vous serez en sécurité »

Amélie se mit à pleurer. Elle commençait à regretter amèrement d’avoir ouvert la Boîte à bijoux ! Comment allait-elle regagner le continent maintenant ? Perle Océane qui devinait ses pensées du moment la rassura.

« - Nous allons tous t’aider ; ne l’ai-je pas déjà fait ? »

Le Maître des lieux eût une idée pour le moins surprenante :

« - Un envol d’oies sauvages doit partir demain pour la terre ferme ; pourquoi Amélie ne serait-elle pas du voyage ? » Aussitôt dit, aussitôt décidé. Amélie se laissa séduire par l’idée et s’en amusa. Le Maître des lieux et ses pensionnaires d’un soir firent bonne collation et se préparèrent à dormir en vue du lendemain. Nul n’est besoin d’imaginer la fatigue d’Amélie : ses paupières s’alourdirent et elle tomba dans un profond sommeil.

Le voyage de retour sur le continent fût pour Amélie source de joies. Ses amies les oies avaient été de merveilleuses ambassadrices mais le temps était venu de leur dire au revoir.

Déposée sur le sol ferme Amélie ne pût s’empêcher d’embrasser et de serrer très fort contre son cœur Perle Océane qui l’avait accompagnée.

« - Au revoir Perle Océane » dis Amélie ; « je suis si triste de me séparer de toi »

- Il le faut pourtant ; ne sois pas triste Amélie : nous sommes désormais de très bonnes amies ; et si un jour tu as besoin de moi je serais là, promis »

- Au revoir mes amies, au revoir » s’écria Amélie.

Ce n’est pas sans pleurs qu’elle les laissa partir. De nouveau elle se retrouvait seule et perdue.

Soudain Amélie entendit un clapotis…un ruisseau ? Peut-être ? Oh non le bruit était bien trop fort… une cascade. Oui, il s’agissait bien là d’une cascade. Amélie n’en croyait ni ses yeux ni ses oreilles. Quel spectacle ravissant ! Quelle féerie ! Quel enchantement ! Soudain tout devint un paradis !

Des oiseaux chantaient à tue-tête. Amélie se mit à rire aux éclats. Ce qui se présentait devant elle était tout simplement magique ! Que d’eaux transparentes, de vrais miroirs ; tout n’était que symphonie. Un petit oiseau vint se poser sur sa main.

« - Comme tu es beau » murmura Amélie.

- Je ne suis que le déguisement de Perle Douceur.

-Perle Douceur ? demanda Amélie

- Oui on m’appelle Perle Douceur car je suis la dernière goutte d’eau tant attendue : celle qui adoucit tout maux. Tu te trouves désormais au Royaume des Eaux douces. Ici tu ne trouveras que des cascades où miroitent des eaux bleues, si bleues, si pures…
L’eau en effet scintillait autour d’Amélie. Des milliers et des milliers de perles coulaient et rafraîchissaient son cœur. Des ruisseaux coulaient, chantaient avec les oiseaux en forme de papillons de toutes les couleurs pour lui souhaiter la bienvenue. Jamais de sa vie elle n’avait vu un spectacle aussi beau. Un moment hors du temps. Un temps d’hiver, d’automne, de printemps et d’été réunis. Elle posa sa main autour de son cou car elle avait senti qu’un oiseau y avait délicatement attaché un collier. Elle se pencha, se regarda dans le miroir de l’eau et vit un collier avec sept perles vertes et vingt blanches.

« - Qu’il est magnifique ! »

Amélie ferma les yeux et fit un vœu !

- « Je souhaiterais de toute mon âme et de tout mon cœur que toutes les épreuves que je viens de passer ne soient plus qu’un cauchemar et que je puisse garder en mémoire que le meilleur et que si d’autres épreuves m’affectaient de nouveau, penser qu’une perle, quelque part, saurait éclairer mon chemin et me garder toujours espoir »

« Tu es la force et tu es l’espoir ! »

« - L’espoir ! L’espoir : répéta Amélie, mais quel espoir ?

- L’espoir de la vie »

Et la voix se tue pour laisser place aux chants des oiseaux et des sirènes qui l’appelaient au loin.

Au loin, à l ‘horizon, une bâtisse se construisait au fur et à mesure qu’elle avançait. Que pouvait-elle découvrir alors qu’il lui semblait déjà avoir tout vu et tout entendu. Amélie se mit à courir, courir.

« - Pas si vite lui dit une voix, je n’ai pas le temps de me construire ! »

- Qui es-tu ? »

- « Je suis ta demeure »

- Ah ! »

- Regardes, assieds-toi »

Amélie s’assit et vit des pierres voltiger dans le ciel bleu azur et se poser, les unes à la suite des autres. Un château, rond comme une perle, s’édifiait devant ses yeux.

Des centaines de petites fenêtres s’ouvraient pour accueillir les oiseaux et leurs chants. Plus les chants racontaient l’histoire d’Amélie plus le château grandissait. Une large porte s’ouvrit et invita Amélie à l’intérieur.

« -Viens, Amélie, aies confiance, entre à l’intérieur de moi »

Amélie n’osait pas rentrer, elle avait peur tout à coup que quelque chose d’imprévisible arriva. Elle avait compris aussi qu’elle devait chasser toutes ses idées noires car son imagination négative pouvait détruire ce palais aussi vite qu’il avait été construit. Amélie pensa à la vie ...
Une voix venue de son intérieur lui répondit.

*

Elles étaient si petites, si précieuses ...

Des boîtes d’une grandeur de quelques centimètres
tout au plus ....

A elles toutes, elles remplissaient une des plus
merveilleuses histoires ...

*

Amélie a voyagé à travers le temps pour trouver le monde qu’elle cherchait. Un monde imaginé, brodé, perlé, rêvé et pourtant si parlant de vérité. Chaque perle conte l’histoire de la vie et de ses espérances. La vie va toujours plus loin, même lorsque l’on n’en espère plus rien. Une voix, cette voix. La mienne, la tienne, la vôtre, la voix de l’amitié qui m’a guidée tout le long de ce voyage. Je t’offre aujourd’hui ce merveilleux collier vert de l’espérance, à toi qui lit ces lignes, caché sous une perle. Chaque goutte de pluie, chaque perle, chaque goutte de ta vie, de tendresse et d’espoir pour trouver et te donner un monde meilleur. Un monde où la confiance peut exister malgré les obstacles et les épreuves.

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La boîte à bijoux Empty Re: La boîte à bijoux

Message  Invité Lun 30 Aoû 2010 - 9:46

Bon, je le dis tout de suite : les contes c'est pas trop mon truc. La morale de celui-ci me paraît en outre trop appuyée... sinon, il y a de jolies images, je trouve, mais l'ensemble, pour moi, est confus, part un peu dans tous les sens. J'ai un peu l'impression que, sous prétexte qu'il s'agit d'un conte, vous alignez les idées comme elles vous viennent ; un manque de construction, donc, pour moi.

Sinon, il y a aussi beaucoup d'erreurs de langues qui ont arrêté ma lecture, et puis vous n'êtes pas très fixé sur la manière de traiter les dialogues, je pense qu'il serait bon de normaliser leur présentation. En tout cas, le trait d'union "-" ne suffit pas à introduire une réplique de dialogue, il faut prévoir le tiret demi-cadratin "–" ou, format au-dessus, "—". En outre, si vous choisissez d'introduire une réplique par un tiret, il ne faut pas y mettre en plus des guillemets ouvrant, ça fait double emploi.

Je crois que c'est le premier texte de vous que je commente... bienvenue sur Vos Écrits, à vous lire bientôt !

Mes remarques :
« Mais, (pourquoi une virgule ici ?) l’appel de l’inconnu et sa curiosité furent les plus forts »
« Que caches-tu (trait d’union) dans ta boîte »
« Amélie ouvrit légèrement le couvercle »
« approche, n’aie (et non « n’aie », pas de « s » à l’impératif pour avoir ») pas peur » : manque un signe de ponctuation en fin de phrase
« à l’intérieur de moi, aie (et non « aies ») confiance »
« Des voix de sirènes enchanteresses, (pourquoi une virgule ici ?) l’encourageaient à l’enjamber »
« La peur, le froid, le vide, l’absence de repères et surtout son insouciance la firent (liste de plusieurs sujets --> verbe conjugué au pluriel) hurler »
« son bonheur résonna (un bonheur qui raisonne, il développe un raisonnement) jusqu’au fond de cet univers »
« Attrape (et non « Attrapes ») cette liane. Attrape-la (et non « Attrapes-là ») et laisse-la (et non « laisses-là ») te soulever »
« L’eau doucha ses cheveux, son corps et la recouvrit tout (et non « toute ») entière »
« Amélie, réveille-toi (et non « réveilles-toi ») » : manque un signe de ponctuation en fin de phrase
« Bonjour Amélie » : manque un signe de ponctuation en fin de phrase
« C’est moi qui t’ai trouvée »
« On a beaucoup entendu parler de toi ici »
« N’aie (et non « N’aies ») pas peur Amélie, je suis ton amie » : manque un signe de ponctuation en fin de phrase
« Je suis prête » : manque un signe de ponctuation en fin de phrase
cela va être très amusant ! (ici, il conviendrait je pense de fermer les guillemets) Amélie prit peur
« nous n’arriverons jamais jusqu’au Maître des lieux » : manque un signe de ponctuation en fin de phrase

« N’aie (et non « N’aies ») pas peur ma Petite Amélie » : manque un signe de ponctuation en fin de phrase
« Au secours »
« elles se retrouvèrent sans n’y rien comprendre »
« Ici vous serez en sécurité » : manque un signe de ponctuation en fin de phrase
« Le Maître des lieux eut (et non « eût » qui est la forme du subjonctif imparfait) une idée »
« Le voyage de retour sur le continent fut (et non « fût » qui est la forme du subjonctif imparfait) pour Amélie »
« Amélie ne put (et non « pût » qui est la forme du subjonctif imparfait) s’empêcher d’embrasser »
« Au revoir Perle Océane » dit Amélie ; « je suis si triste de me séparer de toi » : manque un signe de ponctuation en fin de phrase
« si un jour tu as besoin de moi je serai (et non « serais », le futur s’impose ici et non le conditionnel) là, promis » : manque un signe de ponctuation en fin de phrase
« Perle Douceur ? demanda Amélie » : manque un signe de ponctuation en fin de phrase
« saurait éclairer mon chemin et me garder toujours espoir » : manque un signe de ponctuation en fin de phrase
« L’espoir de la vie » : manque un signe de ponctuation en fin de phrase
« Et la voix se tut pour laisser place aux chants »
« Je suis ta demeure » : manque un signe de ponctuation en fin de phrase
« Regarde (et non « Regardes »), assieds-toi » : manque un signe de ponctuation en fin de phrase
« aies confiance, entre à l’intérieur de moi » : manque un signe de ponctuation en fin de phrase
« elle avait peur tout à coup que quelque chose d’imprévisible arrivât (ou « arrive », le subjonctif imparfait n'est pas obligatoire) »
« à toi qui lis ces lignes »

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La boîte à bijoux Empty conte - la boite a bijoux (corrigé)

Message  RICHARD2 Mar 31 Aoû 2010 - 8:17

*

Elle était si petite, si précieuse…

Une boîte d’une grandeur de quelques centimètres
tout au plus…

A elle seule, elle remplissait une des plus merveilleuses histoires
Son histoire
Si petite et si grande à la fois
L’histoire de la Boîte à bijoux nous est contée…

*

L’horloge sonnait vingt heures lorsque Amélie s’endormit dans sa chambre située au premier étage. La nuit était calme et pourtant Amélie s’agitait dans son sommeil. Elle entendait une petite voix qui l’appelait au loin, troublant ses pensées.

«- Viens, viens, je m’ennuie, viens me voir »

Amélie ne cessait de se retourner dans son lit. Les voix continuaient de l’appeler. Elle sursauta.

« - Viens, viens, viens vers moi ! »

Amélie cherchait dans l’obscurité la lampe de chevet et lorsqu’elle l’atteignit, elle pensa surprendre totalement ces voix qui ne pouvaient être que la fin de son rêve de la nuit.

« Je suis là, viens, viens vers moi ! »

A ces mots, elle se leva, s’approcha de sa petite commode ancienne située dans le coin de sa chambre, prit la poignée du premier tiroir et tremblante, l’ouvrit.

Amélie vit alors un magnifique coffret lumineux, orné de saphirs brillant de mille feux.

Les yeux émerveillés, elle demanda timidement :

« - Est-ce toi qui m’appelles, jolie boîte ?
- Oui, c’est moi. Quel est ton nom, petite fille ? »

Amélie fut surprise qu’un objet puisse lui répondre. Elle pensa que c’était l’esprit de son imagination qui divaguait et voulut se recoucher aussitôt. Mais l’appel de l’inconnu et sa curiosité furent les plus forts.

« - Je m’appelle Amélie, et toi quel est le tien ? »

- Je m’appelle la boîte à bijoux.

- Boîte à bijoux, drôle de prénom, ..., joli prénom ! »

- Que caches-tu dans ta boîte ? des bijoux ? »

- Bien sûr, des bijoux ! »

- J’aimerais bien un collier, un collier vert et aussi beau que, ..., aussi beau que l’univers ! »

Curieuse, Amélie ouvrit légèrement le couvercle du coffret. Une lumière blanche, intense et froide illumina Amélie. Surprise, elle recula et ferma le coffret pour se réfugier au fond de sa chambre.

« - Approche Amélie, approche, n’aie pas peur »

- Mais, mais, il fait si froid, dès que je m’approche de toi ! »

- Tu pourras te réchauffer à l’intérieur de moi, aie confiance ! »

Alors, Amélie posa sa première main puis la seconde sur le rebord de la Boîte à bijoux. Elle sentit le froid l’envahir. La boîte s’illumina et inonda sa chambre d’étoiles de lumière. Tout tournait autour d’elle et l’encourageait à franchir le pas à l’intérieur de la Boîte à bijoux qui était devenue un puits immense de lumière. Des voix de sirènes enchanteresses, l’encourageaient à l’enjamber. Elle se laissa enfin glisser vers ce chemin étoilé et glacé. La peur, le froid, le vide, l’absence de repères et surtout son insouciance la firent hurler. Déjà elle regrettait sa curiosité. Comment avait-elle pu avoir confiance en une Boîte à bijoux. Les lumières d’étoiles venaient se briser contre ses jambes et fouettaient son visage dans sa descente vertigineuse.

Une feuille immense sortit de la première et vint caresser ses cheveux d’or, le contour de ses sourcils, de ses yeux, de sa bouche. Elle n’était pas effrayée mais elle n’osait plus bouger.

« - Viens, Amélie, entre à l’intérieur de cette perle ! »

Elle ouvrit les yeux. Deux feuilles l’invitaient dans un univers de camaïeux de verdure. Elle n’avait jamais vu autant de plantes, autant d’arbres, de fleurs.

Au fur et à mesure qu’elle marchait, le tapis de fleurs opalines, jaunes, rouges, bleues jaillissaient et disparaissaient comme des feux follets du chemin. Elle se mit à rire de cette magie florale. Des clochettes argentées tintèrent pour accompagner sa joie. Un chant de bonheur remplit son cœur et son bonheur résonna jusqu’au fond de cet univers perlé.

Elle continuait à marcher sans but. Les fleurs devenaient plus grandes et les couleurs plus vives. Un champ de lumière et de gaieté surgissait. Des buissons feuillus bruissaient sur son passage et disparaissaient dans le vent de sa marche. Des milliers de feuilles voltigeaient comme une neige verdoyante.

Amélie riait, riait et frappait dans ses mains pour accompagner sa joie. A chaque claquement de mains, des arbres gigantesques apparurent. Des branches percèrent le globe. Une épaisse fumée noire étouffa son rire. Elle suffoqua et tomba sur un tapis de mousse. Elle perdit connaissance. Une voix lointaine l’appela.

« - Amélie, Amélie, viens. Tu es dans le monde que tu as demandé. Ton voyage n’est pas terminé. Attrape cette liane. Attrape-là et laisses-là te soulever ! »

Amélie ouvrit les yeux, toussa plusieurs fois. Elle attrapa les lianes qui bougeaient devant elle. Les lianes la soulevèrent et l’emportèrent à l’intérieur d’une perle flamboyante. Une chaleur intense envahit son visage. Des flammes gourmandes léchaient la deuxième perle.

Elle ferma les yeux. Une flamme bleutée, chaude mais non brûlante vint caresser ses épaules, ses bras, lui prit la main. Elle n’osait plus bouger.

« - Viens, Amélie, entre à l’intérieur de cette perle ! »

Elle ouvrit les yeux. Elle ne touchait pas le sol. Un liquide rougeâtre coulait sous ses pieds. Des flammes s’ouvraient sur son passage. Lorsqu’elle essayait de les attraper, elles tombaient de chaque côté en une pluie de poussière grisâtre.

Elle voulut éteindre cet univers qu’elle refusait de voir. Un monde qui ne pouvait vivre sans souffrance. Elle se mit à pleurer, à pleurer si fort que ses larmes roulèrent à ses pieds. Un petit ruisseau se forma. Les plus grosses flammes s’étouffèrent. Amélie continuait de pleurer car elle était terrorisée par les images que les flammes dessinaient sur son passage. Ce monde ne pouvait exister. Elle sentait bien la chaleur mais cette chaleur la glaçait. La cendre dessinait des monstres malins. Des lames tranchantes essayaient de l’atteindre. Amélie se mit à hurler de peur. Ses pleurs brisèrent le globe de perles et une vague couleur émeraude étouffa ses cris. L’eau doucha ses cheveux, son corps et la recouvra toute entière. Amélie perdit connaissance.


Plongée dans un profond sommeil Amélie devenait familière des voix devenaient familières et ne cessaient de l’appeler :

« - Amélie, Amélie, réveilles-toi »

Une goutte d‘eau vint à ruisseler sur son adorable petit nez. En un instant tout changea. Ce n’était qu’une goutte et pourtant…de sa chrysalide surgit une perle. Doucement Amélie revint à elle ; elle n’était plus seule. Amélie se mit à rire. Le spectacle qui s’ouvrait devant elle était merveilleux.

« - Bonjour Amélie »

- Bonjour, mais toi qui es-tu ? »

- Ah enfin, tu te réveilles petite endormie ! je suis Perle Océane. C’est moi qui t’ai trouvée lors de ton escapade…

- Comment connais-tu mon nom ?

- Oh ! Tu sais, c’est très simple : entre perles, on se raconte tout. On a beaucoup entendu parlé de toi ici, au royaume des eaux agitées. Tu as tellement pleuré et versé de gouttes d’eau que tu as fait surgir un énorme océan de larmes !

- Mais où suis-je ? »
Tu te trouves au cœur de l’océan. Le tapis de mousse sur lequel tu étais est devenu un lit fort douillet fait de gouttes d’eau qui se sont transformées en un véritable « igloo » marin bercé par mes cousines les vagues. Heureusement que cousins Tourbillon et Ouragan ne sont pas ici en ce moment pour tourmenter et inquiéter les gouttes d’eau.

« - Que dis-tu ? »

- Non, rien ; revenons à toi Amélie ».

- Il te faut retrouver des forces, aussi bois cette liqueur sucrée. Puis nous irons rendre visite au Maître des lieux. Prends deux grosses et belles gouttes qui te serviront de rames pour aller plus loin dans ton voyage ! Suis-moi, veux-tu ? N’aies pas peur Amélie, je suis ton amie »

- Je suis prête »

Amélie tout à fait réveillée était ravie de ramer.

Pourtant à peine avait-elle touché une des rames improvisées que soudain l’embarcation se mit à sursauter.

« - Que se passe-t-il ? » Demanda Amélie.

Perle Océane s’affairait ; ce qu’elle avait tant redouté se produisit. Cousin Tourbillon jusqu'alors silencieux se mit à faire des siennes.

« - Alors Perle Océane croyais-tu m’échapper et naviguer sur des eaux calmes ? Tu t’es trompée ! Tu fais moins la fière maintenant n’est-ce pas ? Pour la peine je vais te faire tournoyer toi et ta petite protégée, cela va être très amusant ! »

- Amélie prit peur ; l’embarcation commençait à tourner.

- Perle Océane, nous n’arriverons jamais jusqu’au Maître des lieux »

- N’aie pas peur ma Petite Amélie.»

Tout à coup une brise se leva puis un vent de force incroyable se mit à souffler et à se déchaîner sur l’océan. Celui-ci se teinta d’une couleur grisâtre ; les vagues déferlaient, l’embarcation s’en trouva fortement chahutée.

Et comme si cela ne suffisait pas cousin Ouragan vint à la rescousse de Tourbillon.

« - Au secours » criait Amélie mais sa voix se perdait dans le tumulte des éléments.

- « Je suis là » répondit Perle Océane.

Puis comme si rien n’avait été tout redevint calme ; elles se retrouvèrent sans n’y rien comprendre projetées en la demeure du Maître des lieux.

« - Ouf ! Nous sommes sauvées » s’écrièrent-elles en chœur.

Le Maître des lieux s’avança vers elles :
« - Oh mes enfants quelle aventure ! Soyez les bienvenues dans mon humble demeure. Ici, vous serez en sécurité.»

Amélie se mit à pleurer. Elle commençait à regretter amèrement d’avoir ouvert la Boîte à bijoux ! Comment allait-elle regagner le continent maintenant ? Perle Océane qui devinait ses pensées du moment la rassura.

« - Nous allons tous t’aider ; ne l’ai-je pas déjà fait ? »

Le Maître des lieux eut une idée pour le moins surprenante :

« - Un envol d’oies sauvages doit partir demain pour la terre ferme ; pourquoi Amélie ne serait-elle pas du voyage ? » Aussitôt dit, aussitôt décidé. Amélie se laissa séduire par l’idée et s’en amusa. Le Maître des lieux et ses pensionnaires d’un soir firent bonne collation et se préparèrent à dormir en vue du lendemain. Nul n’est besoin d’imaginer la fatigue d’Amélie : ses paupières s’alourdirent et elle tomba dans un profond sommeil.

Le voyage de retour sur le continent fut pour Amélie source de joies. Ses amies les oies avaient été de merveilleuses ambassadrices mais le temps était venu de leur dire au revoir.

Déposée sur le sol ferme Amélie ne pût s’empêcher d’embrasser et de serrer très fort contre son cœur Perle Océane qui l’avait accompagnée.

« - Au revoir Perle Océane » dit Amélie ; « je suis si triste de me séparer de toi.»

- Il le faut pourtant ; ne sois pas triste Amélie : nous sommes désormais de très bonnes amies ; et si un jour tu as besoin de moi je serai là, promis.»

- Au revoir mes amies, au revoir » s’écria Amélie.

Ce n’est pas sans pleurs qu’elle les laissa partir. De nouveau elle se retrouvait seule et perdue.

Soudain Amélie entendit un clapotis…un ruisseau ? Peut-être ? Oh non le bruit était bien trop fort… une cascade. Oui, il s’agissait bien là d’une cascade. Amélie n’en croyait ni ses yeux ni ses oreilles. Quel spectacle ravissant ! Quelle féerie ! Quel enchantement ! Soudain tout devint un paradis !

Des oiseaux chantaient à tue-tête. Amélie se mit à rire aux éclats. Ce qui se présentait devant elle était tout simplement magique ! Que d’eaux transparentes, de vrais miroirs ; tout n’était que symphonie. Un petit oiseau vint se poser sur sa main.

« - Comme tu es beau » murmura Amélie.

- Je ne suis que le déguisement de Perle Douceur.

- Perle Douceur ? demanda Amélie.

- Oui on m’appelle Perle Douceur car je suis la dernière goutte d’eau tant attendue : celle qui adoucit tout maux. Tu te trouves désormais au Royaume des Eaux douces. Ici tu ne trouveras que des cascades où miroitent des eaux bleues, si bleues, si pures…
L’eau en effet scintillait autour d’Amélie. Des milliers et des milliers de perles coulaient et rafraîchissaient son cœur. Des ruisseaux coulaient, chantaient avec les oiseaux en forme de papillons de toutes les couleurs pour lui souhaiter la bienvenue. Jamais de sa vie elle n’avait vu un spectacle aussi beau. Un moment hors du temps. Un temps d’hiver, d’automne, de printemps et d’été réunis. Elle posa sa main autour de son cou car elle avait senti qu’un oiseau y avait délicatement attaché un collier. Elle se pencha, se regarda dans le miroir de l’eau et vit un collier avec sept perles vertes et vingt blanches.

« - Qu’il est magnifique ! »

Amélie ferma les yeux et fit un vœu !

- « Je souhaiterais de toute mon âme et de tout mon cœur que toutes les épreuves que je viens de passer ne soient plus qu’un cauchemar et que je puisse garder en mémoire que le meilleur et que si d’autres épreuves m’affectaient de nouveau, penser qu’une perle, quelque part, saurait éclairer mon chemin et me garder toujours espoir. »

« Tu es la force et tu es l’espoir ! »

« - L’espoir ! L’espoir : répéta Amélie, mais quel espoir ?

- L’espoir de la vie.»

Et la voix se tut pour laisser place aux chants des oiseaux et des sirènes qui l’appelaient au loin.

Au loin, à l ‘horizon, une bâtisse se construisait au fur et à mesure qu’elle avançait. Que pouvait-elle découvrir alors qu’il lui semblait déjà avoir tout vu et tout entendu. Amélie se mit à courir, courir.

« - Pas si vite lui dit une voix, je n’ai pas le temps de me construire ! »

- Qui es-tu ? »

- « Je suis ta demeure. »

- Ah ! »

- Regarde, assieds-toi »

Amélie s’assit et vit des pierres voltiger dans le ciel bleu azur et se poser, les unes à la suite des autres. Un château, rond comme une perle, s’édifiait devant ses yeux.

Des centaines de petites fenêtres s’ouvraient pour accueillir les oiseaux et leurs chants. Plus les chants racontaient l’histoire d’Amélie plus le château grandissait. Une large porte s’ouvrit et invita Amélie à l’intérieur.

« -Viens, Amélie, aies confiance, entre à l’intérieur de moi.»

Amélie n’osait pas rentrer, elle avait peur tout à coup que quelque chose d’imprévisible arrive. Elle avait compris aussi qu’elle devait chasser toutes ses idées noires car son imagination négative pouvait détruire ce palais aussi vite qu’il avait été construit. Amélie pensa à la vie ... Une voix venue de son intérieur lui répondit.

*

Elles étaient si petites, si précieuses ...

Des boîtes d’une grandeur de quelques centimètres
tout au plus ....

A elles toutes, elles remplissaient une des plus
merveilleuses histoires ...

*

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Message  akdonf Mer 8 Sep 2010 - 6:17

Je trouve féerique et magique,fluide,j'avais envie de continuer le rêve....
merci
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Message  RICHARD2 Mer 8 Sep 2010 - 9:56

Oui, je serais contente de lire la suite de "la boîte à bijoux".
Alors, j'attends de vous lire...
C'est une bonne idée ! :))
RICHARD2
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