Dans des doigts
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Dans des doigts
C’est assis dans un bar que j’ai vu le varan ! Jolis yeux bleus mais cheveux moyens il arpentait la piste. De danse. (pas besoin de demander, je précise). Moi je le convoitais comme un chat du ragout : je voulais être lui. Mais des femmes en furie voulaient le déguster, chipie rébarbative aux seins dressés en flèche.
J’étais son avatar, et personne ne daignait concentrer son regard sur le simili mâle qu’exhibait ma toison.
C’est alors que j’ai commencé à chanter ma chanson ; des notes susurrées à ta féline oreille, et aussi que ma langue rêche embrumait ton présent, ton mari inodore. Je suis sûrement le pire mais tu m’as convoité. M’as pourléché.
Il est deux, paris s’éveille dans trois, comme dirait le papa d’un chanteur que j’exècre. Je dépose mes mains vagabondes sur ta croupe comme un autre, je ne m’en soucie pas et pourtant je t’adore. On pourrait pas s’aimer un peu ?
Je ne te le dis même pas, et sans cette fameuse phrase tu m’emmène te lécher et je suis ton tourteau, je lèche en diagonale. Pour toi. Car tu l’as demandé. (tu te rappelles ?) on dirait que tu aimes, mais le soleil s’allume et je dois m’en aller. Nous sommes deux soldats et le combat perdure !
Mais soudain je me dis que : Femmes ! combien je vous adore… et que pour cette idylle je pourrais me damner… mais le varan demeure, en bourreau de nos cœurs ! Tu le vois ? Il ajuste une mèche, il est radieux et ne ferait de toi qu’une bouchée limpide… eh bien je me demande pourquoi ce varan c’est moi-même, moi qui avait prié pour être aigle royal (car c’est cool !).
Prier ne servirait à rien ? Dans tes sein je découvre une théologie : cette bible je l’écrit avec tes genoux sur mes épaules car tout ceci est interdit… mais rappelle t’en… on l’aime !
Aucune dictature n’imposera au varan de se laver les dents !
(cette fin était pourrie… mais comment dire à quel point un varan aime, et se contrefout du savoir ?)
Mais ce n’est pas la fin que je voulais donner. Ce que je convoite ce sont tes yeux, tes délicieux seins et ton sexe délicat. Quand bien même je l’écrirai mille fois, je resterai le faisan à la plume acérée… rien de plus !
J’étais son avatar, et personne ne daignait concentrer son regard sur le simili mâle qu’exhibait ma toison.
C’est alors que j’ai commencé à chanter ma chanson ; des notes susurrées à ta féline oreille, et aussi que ma langue rêche embrumait ton présent, ton mari inodore. Je suis sûrement le pire mais tu m’as convoité. M’as pourléché.
Il est deux, paris s’éveille dans trois, comme dirait le papa d’un chanteur que j’exècre. Je dépose mes mains vagabondes sur ta croupe comme un autre, je ne m’en soucie pas et pourtant je t’adore. On pourrait pas s’aimer un peu ?
Je ne te le dis même pas, et sans cette fameuse phrase tu m’emmène te lécher et je suis ton tourteau, je lèche en diagonale. Pour toi. Car tu l’as demandé. (tu te rappelles ?) on dirait que tu aimes, mais le soleil s’allume et je dois m’en aller. Nous sommes deux soldats et le combat perdure !
Mais soudain je me dis que : Femmes ! combien je vous adore… et que pour cette idylle je pourrais me damner… mais le varan demeure, en bourreau de nos cœurs ! Tu le vois ? Il ajuste une mèche, il est radieux et ne ferait de toi qu’une bouchée limpide… eh bien je me demande pourquoi ce varan c’est moi-même, moi qui avait prié pour être aigle royal (car c’est cool !).
Prier ne servirait à rien ? Dans tes sein je découvre une théologie : cette bible je l’écrit avec tes genoux sur mes épaules car tout ceci est interdit… mais rappelle t’en… on l’aime !
Aucune dictature n’imposera au varan de se laver les dents !
(cette fin était pourrie… mais comment dire à quel point un varan aime, et se contrefout du savoir ?)
Mais ce n’est pas la fin que je voulais donner. Ce que je convoite ce sont tes yeux, tes délicieux seins et ton sexe délicat. Quand bien même je l’écrirai mille fois, je resterai le faisan à la plume acérée… rien de plus !
levaran82- Nombre de messages : 145
Age : 42
Localisation : belgique
Date d'inscription : 26/01/2010
Re: Dans des doigts
Je ne comprends pas trop pourquoi le varan devient faisan... d'une manière générale, je trouve le texte confus, avec quelques trouvailles intéressantes. L'ambiance me plaît assez.
Mes remarques :
« sans cette fameuse phrase tu m’emmènes te lécher »
« Nous sommes deux soldats et le combat perdure ! » : bel alexandrin !
« moi qui avais prié »
« cette bible je l’écris avec tes genoux sur mes épaules car tout ceci est interdit… mais rappelle-le-toi (et non « rappelle t’en », on se rappelle quelque chose et on se souvient de quelque chose) »
Mes remarques :
« sans cette fameuse phrase tu m’emmènes te lécher »
« Nous sommes deux soldats et le combat perdure ! » : bel alexandrin !
« moi qui avais prié »
« cette bible je l’écris avec tes genoux sur mes épaules car tout ceci est interdit… mais rappelle-le-toi (et non « rappelle t’en », on se rappelle quelque chose et on se souvient de quelque chose) »
Procuste- Nombre de messages : 482
Age : 61
Localisation : œ Œ ç Ç à À é É è È æ Æ ù Ù â  ê Ê î Î ô Ô û Û ä Ä ë Ë ï Ï ö Ö ü Ü – —
Date d'inscription : 16/10/2010
Re: Dans des doigts
Un quelque chose qui retient l'attention, des détails qui se détachent de l'ensemble brouillon. Toujours cette impression d'une écriture brute, primesautière.
Invité- Invité
Une autre fois.
Il y a là manifestement quelque chose qui cherche à s'exprimer, avec rage, agressivité, panache même, mais quoi ? ? ?
Je dois être too much old fashioned pour comprendre...
Désolé, ce texte m'a paru aussi hermétique que le garage de Jerry Cornelius. Je suis resté dehors, à me les geler.
Tant pis, une autre fois...
Ubik.
Je dois être too much old fashioned pour comprendre...
Désolé, ce texte m'a paru aussi hermétique que le garage de Jerry Cornelius. Je suis resté dehors, à me les geler.
Tant pis, une autre fois...
Ubik.
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