Fil temporaire pour misogynes et misandres

soyons abjects, ça fait toujours sourire

pourquoi j'hésite à mettre un S à abject ?

Hier, j’ai acheté de la lingerie fine à ma femme.
Aussitôt qu’elle est sortie de la salle de bain, j’ai eu envie d’attaquer « aubade » pour publicité mensongère.

Ps : il est évident que ceci est purement fictionnel, ma femme est un ange de beauté et d’intelligence

Ce matin, j'ai regardé mon homme qui sortait de la douche. J'ai eu l'impression qu'il était de dos.

Chaque fois que je fais du pot au feu, mon homme passe le repas à se regarder dans les yeux.

J'ai acheté de la lingerie fine à mon homme, il m'a conseillé d'aller me raser !

Quand je regarde un homme j'envie les poissons morts qui ont cessé de tourner en rond, quand un homme me regarde il perd ses écailles panées.
Oui, nous nageons dans le même bocal, mais pas sur la même longueur d'onde ;-)

coline Dé a écrit:Ce matin, j'ai regardé mon homme qui sortait de la douche. J'ai eu l'impression qu'il était de dos.

tu vois qu'en sortir, c'est possible...

Arielle a écrit:J'ai acheté de la lingerie fine à mon homme, il m'a conseillé d'aller me raser !

le problème ne se serait pas posé si tu en avais acheté pour toi.

Ba a écrit:Quand je regarde un homme j'envie les poissons morts qui ont cessé de tourner en rond, quand un homme me regarde il perd ses écailles panées.
Oui, nous nageons dans le même bocal, mais pas sur la même longueur d'onde ;-)

vu la taille du bocal, il lui faudrait un sonar...

coline Dé a écrit:Chaque fois que je fais du pot au feu, mon homme passe le repas à se regarder dans les yeux.

:-)
moi, c'est la tête de veau

coline Dé a écrit:Ce matin, j'ai regardé mon homme qui sortait de la douche. J'ai eu l'impression qu'il était de dos.

on te demande pas d'avoir des impressions, mais de passer le peignoir.

J’aime les chats, contrairement aux chiens et aux femmes, on n’est pas obligé de les sortir

moi mon mec il me dit tout le temps "sois belle et t'es toi "
il a raison je trouve...j'peux pas dire de vacherie sur lui

grieg a écrit:J’aime les chats, contrairement aux chiens et aux femmes, on n’est pas obligé de les sortir

j'te comprends...le seul avantage avec les femmes mais il est dérisoire c'est qu'on n'a pas à s'occuper de ce qu'elles ont laissé dans la litière

Arielle a écrit:J'ai acheté de la lingerie fine à mon homme, il m'a conseillé d'aller me raser !

t'as qu'à te frotter à lui les mecs c'est rasoir

j'aimerai tomber pile poil sur un type pas barbant

Rebecca a écrit:

grieg a écrit:J’aime les chats, contrairement aux chiens et aux femmes, on n’est pas obligé de les sortir

j'te comprends...le seul avantage avec les femmes mais il est dérisoire c'est qu'on n'a pas à s'occuper de ce qu'elles ont laissé dans la litière

Moi je m'en fout de ce qu'elles laissent dans litière, j'aimerais qu'elle se concentrent sur ce qu'elles laissent dans la literie.

leurs annotations détaillées sur vos cartes de France ?

Est ce dans leur nature si les hommes aiment bien faire mâles ?

Chassez le naturel le culturiste revient au galop

Rebecca a écrit:leurs annotations détaillées sur vos cartes de France ?

je ne répond pas, c'est hors-sujet :-)

Specimen de l'espèce humaine à la recherche du neurone perdu :

http://muscle.rmc.fr/91063/Definition-musculaire/

Je trouve qu'il a les testicules un peu bas ....

J'ai échangé quelques idées avec un homme, en début de soirée. Depuis, je me sens toute bête ...

coline Dé a écrit:Je trouve qu'il a les testicules un peu bas ....

c'est souvent quand ils se mêlent d'écrire qu'on voit que leurs texticules se situent sous la ceinture

D’accord. Je vous vois venir. Je sais que vouloir réduire le nombre de mes cellules adipeuses tandis que chacun tente de réduire le nombre de ses émissions gazeuses peut sembler être la preuve irréfutable de :
(au choix ; on peut panacher aussi)

-ma crétinerie profonde
-de mon optimisme allègre
-de mon cynisme subtil
-de mon effrayante mégalomanie
-de mon désespoir le plus noir

Je sais , quand chacun pense à nos squelettes pétrifiés recouverts par les eaux par les os de nos enfants irradiés,radieuse vision d’un futur dépassé, quand l’air est deleterre, l’écorce terrestre en passe d’être recouverte par l’amer, quand les continents et les incontinents des rives dérivent, quand Big Brother n’a pas besoin de barbelés pour nous rendre conformes, que me préoccuper de la forme que mon corps prendra dans cette réalité sordide est quelque peu futile.
Mais bon il parait que je suis une femme. :-)))

Maso et miso à la fois.

Quitte à être abjecte j'avoue que j'aime la sonorité de la sororité piétinée.

La fraternité si je voulais la piétiner, j'aurai plus de mal. Je l'ai cherchée mais pas trouvée.

coline Dé a écrit:J'ai échangé quelques idées avec un homme, en début de soirée. Depuis, je me sens toute bête ...

tu veux dire toute bite coline ! Déclarons la guerre des mots sinon c'est pas gagné !
ça fait combien de temps qu'on accepte quand on est bête d'être traité de con (ou de conne) ?!
moi juré je ne dirai plus de conneries mais des biteries
(signé la chienne de garde)

bon là j'arrête vous avez eu votre dose :-)))

70 personnes dans mon service, 8 hommes, 62 concierges.
Ça passe autant de temps à travailler qu’à critiquer la manière de s’habiller et à détailler des pieds à la tête pour scruter le kilo pris ou perdu. Ça piaille dans tous les coins, ça chuchote en pause, ça rumine et rumeur, ça compare la bouille et les résultats scolaires des progénitures, ça dissèque les régimes à la mode, ça murmure sur les hypothétiques adultères, ça crie à la mal baisée sur la collègue agressive, ça pousse des cris stridents quand un faux ongle se casse et ça va se recoiffer et se repoudrer les rides toutes les deux heures.

Et le G8 dans tout ça ? Ça se tape la cuisse en rire gras quand ça détourne une phrase pour lui donner une connotation sexuelle, ça mate les fesses et les seins (pas forcément dans cet ordre-là mais en aller-retour d‘yeux exorbités, bave aux lèvres façon loup de Tex Avery), ça refait les matchs de foot dans de longues discussions philosophiques sur la technique du coup de boule et de la main perdue, ça prend rendez-vous pour s’enfiler des bières devant du rugby, ça s’échange les dernières infos sur le portable, les consoles et les voitures dernier cri.

Pitié, dites-moi que pris individuellement ce ne sont plus des clichés !

Spoiler:

ça me fait fait penser à cette pensée
"L'argent est certes la racine de tous les maux, mais les femmes ont besoin de racines" ^^

Amis de la pÔésie bonsouAAAr.
Voici un petit poème qui j'espère nous permettra de faire avancer le sujet

Je luis dis : "Dis camion"
Et elle, elle me répète
Intriguée "camion"
Alors je lui réponds
"Pouêt pouêt"
En lui pinçant le nichon
Car je suis un poète

(ça va, j'suis au niveau du débat, j'peux rester ?)

La femme glose, l'homme rase, les deux sont à fuir :-)

"La femme esclave vile orgueilleuse et stupide
Sans rire s'adorant et s'aimant sans dégoût
L'homme tyran goulu paillard dur et cupide
Esclave de l'esclave et ruisseau dans l'égout"
Baudelaire, in Le Voyage

Autrefois, ils me dévisageaient,
me déshabillaient,
me désappointaient.
Aujourd’hui, ils me dépassent.

(Désolée pour ceux qui la connaissent !)


Un matin, une jeune femme se lève et va se regarder dans la glace. Elle revient, s'assoit au bord du lit et demande à son copain qui dort encore à moitié :

— Chéri, je trouve mes seins trop petits. Ça me complexe... Je sais plus quoi faire.

Après un instant de réfléxion, le jeune homme répond :

— Je pense qu'il faudrait les frotter tout les matins avec du PQ...

— Tu crois ?! s'étonne t-elle.

— Ça a bien marché avec ton cul...

Kilis a écrit:Autrefois, ils me dévisageaient,
me déshabillaient,
me désappointaient.
Aujourd’hui, ils me dépassent.

Autrefois, ils me dévisageaient,
me déshabillaient,
me désappointaient.
Aujourd’hui, ils me désolent encore.
.

il est évident que je ne me suis permis de changer ton texte, kilis, que parce que, je t'aime, et seulement pour faire une variation sur le même thème
je mesure la force et l'ambiguité de "dépassent"