Création d’Elennrot et des Eléments :

[ritalino]

Création d’Elennrot et des Eléments :


Iraufe - Auretere le Géant du commencement est né après des jours et des jours de chaos. La foudre tonna 4 fois et frappa le sol au même endroit formant un gouffre de plusieurs mètres au cœur de celui ci. Après que la fumée se soit dissipée, un œuf conique apparu, mais parallèlement au même moment le sol se referma emprisonnant ainsi cet œuf pour le moins, étrange. Les décennies passèrent, lorsqu’un orage s’annonça, il semblait être aussi puissant et intrigant que le précédent. Il frappa à 4 reprises le sol, au même endroit que la fois d’avant, ce sol s’écarta à nouveau et dans un bruit sourd et angoissant une fumée noire, épaisse sortit de la crevasse. Dans cette atmosphère Apocalyptique, un Géant de près de 7 mètres de haut du nom d’Iraufe - Auretere fit son apparition, sous ses pieds le sol se referma, dans un vacarme hors du commun. Une barbe blanche hirsute, de longs cheveux blancs, un corps musclé couvert par une toge, tel est l’apparence que l’on a de lui au premier coup d’œil. Iraufe - Auretere fit le tour de l’Elennrot en quelques jours en raison de sa taille (il aurait fallu des semaines pour un être de notre taille), sur la côte Elennrotienne, il butta à plusieurs reprises sur les amas de roches qui jonchaient le sol, il manqua même de tomber, lorsque le sol affaiblit se déroba sous ses pieds. Une chute de sa part aurait de graves conséquences d’une part pour lui, car tomber de 7 mètres pourrait lui être fatal et d’autre part il risquerait de détruire l’Elennrot. C’est pourquoi, le Géant décida de regrouper ces rochers en plusieurs tas, pour former respectivement le Mont Bergater, le Roccas et les Neiges Eternelles. Lorsqu’il empila cette dernière montagne, Iraufe - Auretere se blessa à une main et en jaillit une substance légère, transparente, fluide. Tant bien que mal, il acheva son travail et au sommet de ce dernier mont se fixait cette substance qu’il appela Eau, elle se mêla à la sueur de son front, givra en raison des températures glacières du sommet pour se transformer en neige. En descendant des Neiges Eternelles, Iraufe - Auretere contempla le magnifique panorama qui s’ouvrait à lui. Une fois au sol il découvrit avec stupeur que derrière chacun de ses pas une parcelle d’herbe verte et grasse poussa instantanément, comme par magie. De la même manière dès qu’il perdait ses longs cheveux blancs, ces derniers faisaient pousser des arbres de variété différentes. La Terre devenait prospère et donna naissance à trois espaces inondés de végétaux : le Bois de Tingelwalt, la Forêt de Saltaden et le Bois Végétal. Le quotidien d’Iraufe - Auretere ne changea guère, chaque jour est la réplique de la veille. Mais durant une matinée, encore une fois un orage gronda en Elennrot (le total s’élevait à 3). Iraufe - Auretere se réfugia dans une caverne qu’il avait creusée au sein de la Montagne Bergater. Après plusieurs éclaires, doublées de tonnerre, une immense boule lumineuse explosa et se logea au dessus des Montagnes : le Soleil apparaissait pour la première fois. Très vite malheureusement, les verts pâturages des valons, vallées, plaines d’Elennrot s’asséchèrent en prenant un teint jaunâtre : c’est comme si le Soleil déteignait sur le sol. Depuis cet orage, Iraufe - Auretere gravit régulièrement les 3 monts respectifs pour trouver un peu de fraîcheur, cette chaleur est insoutenable, étouffante. Alors qu’il descendait du Roccas, le Géant pressa le pas pour rejoindre le sol lorsqu’un éboulement se produisit. Un nuage de poussière l’encercla et lui masqua son champ de vision, pourtant très important. Tout à coup il vit des étincelles percer cet épais brouillard poussiéreux. Elles se succédèrent du fait du frottement de plusieurs rochers entre eux. Le Géant distinguait un peu mieux le contrebas mais ce n’était pas encore assez suffisant pour descendre sans danger, par conséquent, il prit une profonde inspiration et souffla de toute ses forces, de terribles bourrasque s’échappaient d’entre ses dents. Des arbres se déracinèrent, et tombèrent dans un vacarme assourdissant. A cela s’ajoute les flammes, en effet avec ce souffle les flammes furent attisées et l’incendie se propagea à une vitesse hallucinante en raison de la sècheresse des années passées. En voulant percevoir ces étincelles, il fit apparaître l’Air et donna l’aspect définitif au Feu. Il se rendit compte que l’Air et le Feu ne faisaient pas bon ménage, mais le mal était déjà fait. Il tenta tant bien que mal de réparer le sinistre, mais en vain. Une bonne partie des pâturages devinrent cendres et poussières : le Bois Végétal ne résista pas longtemps. Le Feu prenait de plus en plus d’ampleur avec l’aide de l’Air, mais Iraufe - Auretere perçut une faille. Sous cette chaleur torride, la neige des sommets fondit pour transformer en Eau. Cette même Eau, prend le dessus sur le Feu et avec un Feu maitrisé, l’Air n’est rien. Malheureusement la neige présente sur les 3 sommets n’était pas suffisante et le Feu persista. C’est alors que le Géant escalada la Montagne des Neiges Eternelles pour atteindre son sommet. Une fois à son point culminant, ni une ni deux il saisit un rocher aiguisé et se sectionna la main gauche. De cette, opération coulait des flots, des torrents de cette substance que l’on connaît sous le nom d’Eau. Très vite le sinistre fût éteint, pour laisser la place à un autre : l’inondation. La Terre ne pouvant plus absorber l’Eau, des glissements de terrains firent leur apparition, emportant tout sur leur passage. L’hémorragie continuait sous un Soleil de plomb, les vallées, les pâturages brûlés devinrent impraticable. Iraufe -Auretere en avait assez de cette chaleur. Il avait le choix entre mourir noyé ou étouffé. Il choisit la troisième option qu’il s’offrait à lui : avec son bras droit il se saisit d’un rocher, le jeta de toutes ses forces, accompagnées d’un cri effroyable. Le Soleil et ce rocher le remplaça. Des étincelles jaillirent de l’impact (futures étoiles) et se fixèrent dans le ciel noir de la nuit éclairé par la lueur de la Lune puisqu’il faut l’appeler par son nom. Cette folle journée qui n’arrive qu’une fois tous les siècles à peu près s’acheva dans la froideur de la première nuit de tous les temps. A son réveil, le Géant vit le Soleil remplacer la Lune. C’était le début du cycle : la succession du jour et de la nuit, de ce fait du Soleil et de la Lune. Durant cette nuit glaciale, l’hémorragie d’Iraufe - Auretere avait cessée, une main de glace avait emprisonnée en son sein des cailloux : le tout fixé par la solidification de l’Eau. Il se rendit compte que la Terre et l’Eau ne pouvait cohabiter. Les années, les décennies passèrent et le Géant tenta de remettre de l’ordre en Elennrot, chose pas si facile quand on voit les conséquences, les dégâts de la fameuse journée. La côte Ouest Elennrotienne et son horizon furent inondés à tout jamais, telle est la naissance du Royaume des Mers d’Aupéride. Les glissements de terrains et les coulées de boues donnèrent naissance à de nombreuses rivières allant des montagnes à cette Mer. Enfin, la chaleur raya de la carte le Bois Végétal ainsi toute la partie méridionale, septentrionale et orientale de ce dernier : les Terres Sombres & Arides venaient d’être crées. Pour la première fois depuis sa création Iraufe - Auretere fût intrigué par quelque chose. Le Soleil avait observé des journées durant les moindres faits et gestes du Géant. Il en créa une copie : l’astre donna vie à l’Ombre ou plutôt l’ombre d’Iraufe - Auretere. Elle imita tous ses attitudes, elle le suivi n’importe où. Intrigué et cherchant à fuir, son ombre l’attaqua. Le Géant tenta de résister mais cela lui procurait des douleurs terribles au niveau du crâne. Ses cris ne pouvait rien changer. En émettant les émettant l’ombre pris possession de son corps. Il était comme un pantin entre les mains d’un monstre, il se dirigea vers les Montagnes. Une fois en haut du Roccas, Iraufe - Auretere se jeta dans le vide, la suite est inéluctable. Lorsqu’il heurta le sol, un quatrième orage éclata pour annoncer des naissances. De son existence naquît les 4 éléments et de sa mort naquît leurs divinités. En frappant le sol violement, sa main gauche incrustée de pierre ripa sur les rochers : Phlox Dieu du Feu fût forgé. Vatten Dieu de l’Eau vint à la vie lorsque la plaie ouverte laissa échapper le liquide intérieur du Géant. En poussant son dernier soupir, son dernier souffle c’est Klima Dieu de l’Air qui apparut. De plus, de ce dernier souffle la barbe d’Iraufe - Auretere s’arracha et forma les Oblaccis en d’autre terme les nuages qui sont toutefois assez spéciaux. Quelques heures après cette terrible scène, la déesse de la Terre Kvernet naquît de la putréfaction du corps du Géant au contact de la Terre. Enfin de la mort d’Iraufe - Auretere, le Dieu de l’Ombre Skia fit son Apparition.

[bertrand-môgendre]

celui ci ...au dessus ...

avec traits d'union.

glissements de terrains

terrain .

Le Soleil et ce rocher le remplaça

remplacèrent ;

Il se rendit compte que la Terre et l’Eau ne pouvait

pouvaient ;

crées

créées ;

Elle imita tous ses attitudes

toutes ;

Intrigué et cherchant à fuir, son ombre l’attaqua

intriguée ;

De son existence naquît les 4 éléments

naquirent ;
Bien. Il en reste encore, je te laisse le soin de les trouver.
Une question : Quelle est ta source d'inspiration ?

[mentor]

tu nous refais la création du monde à ta sauce en inventant juste une foultitude de mots et de noms
c'est truffé de maladresses et autres lourdeurs qui rendent la lecture assez pénible
bref, je n'ai pas trouvé grand intérêt à ce texte, désolé
n'ayant pas aimé, j'aurais peut-être mieux fait de me taire, mais là franchement, je préfère être franc pour pas que tu t'imagines que c'est du grand art
attends d'autres avis, moi je ne suis pas fort doué pour dire en détails ce qui va ou pas au niveau fond, juste l'ortho et un peu la grammaire et la construction des phrases si tu veux, et encore, là y aurait du taf ;-)
ne te décourage pas

[kazar]

Iraufe - Auretere le Géant du commencement est né après des jours et des jours de chaos. La foudre tonna 4 fois et frappa le sol au même endroit formant un gouffre de plusieurs mètres au cœur de celui ci. Après que la fumée se soit dissipée, un œuf conique apparu, mais parallèlement au même moment le sol se referma emprisonnant ainsi cet œuf pour le moins, étrange. Les décennies passèrent, lorsqu’un orage s’annonça, il semblait être aussi puissant et intrigant que le précédent. Il frappa à 4 reprises le sol, au même endroit que la fois d’avant, ce sol s’écarta à nouveau et dans un bruit sourd et angoissant une fumée noire, épaisse sortit de la crevasse.

Je ne comprends rien.
Tu vas me dire que c'est de la mauvaise foi, je te répondrai "à moitié".
Je n'ai pas du tout accroché. Impossible de rentrer dans ce texte. La fantasy, c'est déjà assez lourd quand écrit par des pros, alors avant de t'attaquer à ce style il faut être sûr de ses armes.

Et quand je lis ces premières phrases, je ne suis pas certain que tu en sois conscient.

Passons le nom. Il fait partie du folklore. (au passage, ôte les espaces avant et après le tiret !)

L'écriture n'est pas terrible...Mauvais utilisation des temps (la concordance !), tournures alourdies et peu lisibles.

Je pourrais décortiquer ces phrases qui recèlent beaucoup d'erreurs et de maladresses...

D'ailleurs je vais le faire, tiens ^^

"Est né après des jours de chaos. La foudre tonna"
= mauvaise concordance. A tonné.Elle tonne avant sa naissance. Le passé simple est le temps du fait dans le passé. Pendant une action à l'imparfait. Par exemple : je marchais quand je saisis mon téléphone.

"formant un gouffre de plusieurs mètres au cœur de celui ci."
En trop. Tu parles déjà du sol juste avant. Tu pourrais dire "et y forma un cratère de plusieurs mètres".

"Après que la fumée se soit dissipée"
Mauvaise conjugaison et mauvaise concordance. Après que n'est pas suivi du conditionnel. On dit après qu'elle s'est dissipée (ou fut dissipée si au passé)

"un oeuf conique apparut"

"mais parallèlement au même moment le sol se referma emprisonnant ainsi cet œuf pour le moins, étrange."
Cette phrase est grèvée :
- d'une mauvaise ponctuation : un oeuf conique apparut ; ou bien encore " , pour le moins étrange."
- d'une écriture lourde : parallèlement, au même moment, qui-fait-quoi-qui-est-qui...

La phrase suivante est identique, autant de fautes et de maladresses.

Tu comprendras que ton texte est perfectible.

Ce n'est ni méchant, ni méprisant, ou même moralisateur. Juste un avis froid et distant sur la qualité de ton écrit en tant que tel.

Lis, apprends, écris, entraîne-toi, aime ce que tu fais et n'attache pas trop d'importance aux sentiments négatifs de cons comme moi. Ecoute juste leurs conseils. Parle. Echange. Ne va pas trop vite en besogne. Relis tes textes, trouve ce qui cloche, ce qui t'ennuie. Dis-toi que ce sera dix fois pire chez un lecteur lambda.

Bon courage à toi, en attendant de lire quelque chose de plus abouti !

A bientôt

++

[ritalino]

Ok merci pour vos conseils, je vais tenter de tout mettre en application. Pour répondre à Kazar j'ai en effet remarqué qu'il y avait des erreurs d'orthographe et de temps après avoir envoyé le message, le petit hic c'est que je pouvais pas éditer.
En attendant bonnes vacances à vous, je serais de retour dans 1 mois, 1mois et demi.
Ciao

[Sahkti]

le petit hic c'est que je pouvais pas éditer

certes, mais rien n'empêche dans ces cas-là de poster dans le même fuseau une version corrigée qu'un modérateur glissera à la place du texte "fautif" :-)
C'est une pratique courante.

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