Histoire de cul d'été
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Ba
Peter Pan
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Histoire de cul d'été
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.Aux premiers frimas d'après l'été.
Aux premiers frimas d'après l'été d'épouvante,
les feuilles repliantes ont alors craqué, sèches,
attendant encore quelque-peu, mais minces d'espoirs,
une grâce d'échapper au moment de la chute.
D'autres fleurissaient encore effrontées ici :
des fleurs ! tenaces, tremblantes, effarées,
fières comme un boisseau de riz préparé :
à être battu par le rythme saccadé des pluies.
L'automne fut une maison de joie pour le vent,
les loriots détruisirent eux-même leurs nids ;
barbares en vols disjoints vers ces destinations,
dont nul ne sait jamais mais nul n'ignore en fait.
Ils disent ce qu'ils veulent dire et rarement plus,
jusqu'au jour où le regret de leur silence survient.
Parmis les vivants nombre étaient ceux qui,
avaient choisi la charnière opaque d'entre-saisons :
pour aller rejoindre les esprits aériens
du passé, que célèbraient des cris effacés.
L'on se fiche du soleil du feu, des éléments !
importent seules, stridences et rires des clarinettes,
le rouge des lampions, le blanc des bandeaux,
les pleurs épars et des montagnes de chrysanthèmes.
Aux premières grisailles d'en dessous de vingt-et-un,
ils ont sorti châles et parkas, soies, laines aux abois,
rentré un peu de charbon rond, bien en avance,
leur soucis de l'hiver chassant déjà en lambeaux :
la belle saison qui faisait se mirroiter là :
les éclats simples de la terre fluide et rouge,
sur ces lacs noirs de micas ou d'albâtre.
Il aurait fallu pour trouver un pareil sombre !
longer tant de chemins côtiers qu'en guenilles
nous aurions atteind les pins décharné du Kan Hoa,
enraciné d'océans de dunes et mines pour enfants.
Alors on restait là : l'été indien moitié volé.
Aux premier frimas d'après l'épée éprouvante :
des chaleurs ocres si aigües, qu'elle en avaient :
sali les cheveux des mioches jusqu'à la mèche.
On a conduit quelques porcs en plus vers l’abbatoir.
Alors ils couinaient les groins des condamnés.
Les chiens aussi, frémirent dans leurs cages en bois :
montraient les crocs jaunes ,leurs crocs blancs de lutte,
les larmes bavaient d’une truffe mise à prix dans les bouges :
quand l’hiver sera venu : par les vendeurs de sang à la resquille.
Au moindre petit frimas de fin d’été, les chansonnettes,
racontent les souvenirs des Na Xi aux pas perdus,
Les mémoires du Ha Giang, des colonies anciennes :
quand les montagnes s’élèvent : plus hautes que le feu des âtres,
que les femmes ont hurlé des glottes en donnant le sein,
renvoyé les amants à leurs études d’un coup de coude en trombe :
les romans du Nord émeraude et des plateaux denses.
Aux premiers frimas d’après l’été le temps se tasse,
le bal des contes des chants et des sornettes débute :
Il est d’autres histoires.
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.Aux premiers frimas d'après l'été.
Aux premiers frimas d'après l'été d'épouvante,
les feuilles repliantes ont alors craqué, sèches,
attendant encore quelque-peu, mais minces d'espoirs,
une grâce d'échapper au moment de la chute.
D'autres fleurissaient encore effrontées ici :
des fleurs ! tenaces, tremblantes, effarées,
fières comme un boisseau de riz préparé :
à être battu par le rythme saccadé des pluies.
L'automne fut une maison de joie pour le vent,
les loriots détruisirent eux-même leurs nids ;
barbares en vols disjoints vers ces destinations,
dont nul ne sait jamais mais nul n'ignore en fait.
Ils disent ce qu'ils veulent dire et rarement plus,
jusqu'au jour où le regret de leur silence survient.
Parmis les vivants nombre étaient ceux qui,
avaient choisi la charnière opaque d'entre-saisons :
pour aller rejoindre les esprits aériens
du passé, que célèbraient des cris effacés.
L'on se fiche du soleil du feu, des éléments !
importent seules, stridences et rires des clarinettes,
le rouge des lampions, le blanc des bandeaux,
les pleurs épars et des montagnes de chrysanthèmes.
Aux premières grisailles d'en dessous de vingt-et-un,
ils ont sorti châles et parkas, soies, laines aux abois,
rentré un peu de charbon rond, bien en avance,
leur soucis de l'hiver chassant déjà en lambeaux :
la belle saison qui faisait se mirroiter là :
les éclats simples de la terre fluide et rouge,
sur ces lacs noirs de micas ou d'albâtre.
Il aurait fallu pour trouver un pareil sombre !
longer tant de chemins côtiers qu'en guenilles
nous aurions atteind les pins décharné du Kan Hoa,
enraciné d'océans de dunes et mines pour enfants.
Alors on restait là : l'été indien moitié volé.
Aux premier frimas d'après l'épée éprouvante :
des chaleurs ocres si aigües, qu'elle en avaient :
sali les cheveux des mioches jusqu'à la mèche.
On a conduit quelques porcs en plus vers l’abbatoir.
Alors ils couinaient les groins des condamnés.
Les chiens aussi, frémirent dans leurs cages en bois :
montraient les crocs jaunes ,leurs crocs blancs de lutte,
les larmes bavaient d’une truffe mise à prix dans les bouges :
quand l’hiver sera venu : par les vendeurs de sang à la resquille.
Au moindre petit frimas de fin d’été, les chansonnettes,
racontent les souvenirs des Na Xi aux pas perdus,
Les mémoires du Ha Giang, des colonies anciennes :
quand les montagnes s’élèvent : plus hautes que le feu des âtres,
que les femmes ont hurlé des glottes en donnant le sein,
renvoyé les amants à leurs études d’un coup de coude en trombe :
les romans du Nord émeraude et des plateaux denses.
Aux premiers frimas d’après l’été le temps se tasse,
le bal des contes des chants et des sornettes débute :
Il est d’autres histoires.
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Invité- Invité
Re: Histoire de cul d'été
A relire plusieurs fois pour bien s'imprégner de l'atmosphère. Encore un beau voyage dans ton univers Panda (même si la toute fin du poème me paraît moins aboutie dans l'expression que le reste).
Ah, et puis j'aime bien le semblant de provocation initiale du titre.
Ah, et puis j'aime bien le semblant de provocation initiale du titre.
Invité- Invité
Re: Histoire de cul d'été
Oops ! Juste pris connaissance sur Billevesées des conditions d'écriture qui expliquent la syntaxe défaillante par endroits... (sans que cela enlève son charme au texte)
Invité- Invité
Re: Histoire de cul d'été
Oui, il y a une ampleur, mais ne raconte pas que tu écris des alexandrins (dans "Débats, billevesées et causettes"), pandaworks, même bourrés, parce que ce n'est pas vrai, tu ne peux t'empêcher d'éclater le cadre. Du coup pour moi, à la lecture, le rythme était incertain après ton annonce.
J'ai adoré :
"sali les cheveux des mioches jusqu'à la mèche"
"Aux premiers frimas d’après l’été le temps se tasse"
"les éclats simples de la terre fluide et rouge", et j'ai bien aimé la fin où tu laisses franchement béton la contrainte de syllabes, mais j'avoue n'avoir pas été entraînée au loin. Je crois que ce poème a manqué à la fois de travail et d'audace, parce que tu gardais le mythique alexandrin en vue.
Bon, pour la bonne règle, si tu tiens à savoir où sont ou non les douze papattes :
les-feu-illes-re-pli-an-tes-ont-a-lors-cra-qué-sèches (13 syllabes)
a-tten-dant-en-co-re-quel-que-peu-mais-min-ces-d'es-poirs (14)
u-ne-grâ-ce-d'é-cha-pper-au-mo-ment-de-la-chute (13)
des-fleurs-te-na-ces-trem-blan-tes-e-ffa-rées (11, 12 toutefois, je crois, si on compte à l"hyper-classique "e-ffa-ré-es", mais je n'ai pas eu l'impression que tes vers l'essent été, hyper-classique)
à-ê-tre-ba-ttu-par-le-ry-thme-sa-cca-dé-des-pluies (14)
L'au-to-mne-fut-u-ne-mai-son-de-joie-pour-le-vent (13)
bar-ba-res-en-vols-dis-joints-vers-ces-des-ti-na-tions (13)
Ils-di-sent-ce-qu'ils-veu-lent-di-re et-ra-re-ment-plus (13)
jus-qu'au-jour-où-le-re-gret-de-leur-si-len-ce-sur-vient (14)
Par-mi (et non "Parmis")-les-vi-vants-nom-bre é-taient-ceux-qui (10)
a-vaient-choi-si-la-char-niè-re o-pa-que-d'en-tre-sai-sons (14)
L'on-se-fi-che-du-so-leil-du-feu-des-é-lé-ments (13, mais beau vers, bien balancé je trouve)
im-por-tent-seu-les-stri-den-ces-et-ri-res-des-cla-ri-nettes (15)
les-pleurs-é-pars-et-des-mon-ta-gnes-de-chry-san-thè-mes (13)
Aux-pre-miè-res-gri-sa-illes-d'en-de-ssous-de-vingt-et-un (14)
ils-ont-sor-ti-châ-les-et-par-kas-soies-lai-nes-aux-a-bois (15, ça aussi c'et beau)
leur-sou-ci (et non "soucis")-de-l'hi-ver-cha-ssant-dé-jà-en-lam-beaux (13)
la-be-lle-sai-son-qui-fai-sait-se-mi-roi-ter (et non "mirroiter")-là (13)
sur-ces-lacs-noirs-de-mi-cas-ou-d'al-bâtre (10. Beau)
nous-aurions-a-tteint-les-pins-dé-char-nés-du-Kan-Ho-a (14)
en-ra-ci-né-d'o-cé-ans-de-du-nes-et-mi-nes-pour-en-fants (16)
A-lors-on-res-tait-là-l'é-té-in-dien-moi-tié-vo-lé (14)
des-cha-leurs-o-cres-si-ai-guës-qu'e-lles|/b]-en-a-vaient (13)
On-a-con-duit-quel-ques-porcs-en-plus-vers-l’a-b[b]a-ttoir (13, et non "abbatoir")
Les-chiens-au-ssi-fré-mi-rent-dans-leurs-ca-ges-en-bois (13)
mon-traient-les-crocs-jau-nes-leurs-crocs-blancs-de-lutte (11, 12 si on prononce "montrai-ent", mais là aussi j'ai du mal à y croire)
les-lar-mes-ba-vaient-d’u-ne-tru-ffe-mi-se à-prix-dans-les-bouges (15)
quand-l’hi-ver-se-ra-ve-nu-par-les-ven-deurs-de-sang-à-la-res-quille (17)
Au-moin-dre-pe-tit-fri-mas-de-fin-d’é-té-les-chan-so-nnettes (15)
ra-con-tent-les-sou-ve-nirs-des-Na-Xi-aux-pas-per-dus (14)
Les-mé-moi-res-du-Ha-Giang-des-co-lo-nies-an-ciennes (13)
quand-les-mon-ta-gnes-s’é-lè-vent-plus-hau-tes-que-le-feu-des-âtres (16)
que-les-fe-mmes-ont-hur-lé-des-glo-ttes-en-do-nnant-le-sein (15)
ren-vo-yé-les-a-mants-à-leurs-é-tu-des-d’un-coup-de-cou-de en-trombe (17)
les-ro-mans-du-Nord-é-me-rau-de et-des-pla-teaux-denses (13, très beau)
Aux-pre-miers-fri-mas-d’a-près-l’é-té-le-temps-se-tasse (13)
le-bal-des-con-tes-des-chants-et-des-sor-ne-ttes-dé-bute (14)
J'ai adoré :
"sali les cheveux des mioches jusqu'à la mèche"
"Aux premiers frimas d’après l’été le temps se tasse"
"les éclats simples de la terre fluide et rouge", et j'ai bien aimé la fin où tu laisses franchement béton la contrainte de syllabes, mais j'avoue n'avoir pas été entraînée au loin. Je crois que ce poème a manqué à la fois de travail et d'audace, parce que tu gardais le mythique alexandrin en vue.
Bon, pour la bonne règle, si tu tiens à savoir où sont ou non les douze papattes :
les-feu-illes-re-pli-an-tes-ont-a-lors-cra-qué-sèches (13 syllabes)
a-tten-dant-en-co-re-quel-que-peu-mais-min-ces-d'es-poirs (14)
u-ne-grâ-ce-d'é-cha-pper-au-mo-ment-de-la-chute (13)
des-fleurs-te-na-ces-trem-blan-tes-e-ffa-rées (11, 12 toutefois, je crois, si on compte à l"hyper-classique "e-ffa-ré-es", mais je n'ai pas eu l'impression que tes vers l'essent été, hyper-classique)
à-ê-tre-ba-ttu-par-le-ry-thme-sa-cca-dé-des-pluies (14)
L'au-to-mne-fut-u-ne-mai-son-de-joie-pour-le-vent (13)
bar-ba-res-en-vols-dis-joints-vers-ces-des-ti-na-tions (13)
Ils-di-sent-ce-qu'ils-veu-lent-di-re et-ra-re-ment-plus (13)
jus-qu'au-jour-où-le-re-gret-de-leur-si-len-ce-sur-vient (14)
Par-mi (et non "Parmis")-les-vi-vants-nom-bre é-taient-ceux-qui (10)
a-vaient-choi-si-la-char-niè-re o-pa-que-d'en-tre-sai-sons (14)
L'on-se-fi-che-du-so-leil-du-feu-des-é-lé-ments (13, mais beau vers, bien balancé je trouve)
im-por-tent-seu-les-stri-den-ces-et-ri-res-des-cla-ri-nettes (15)
les-pleurs-é-pars-et-des-mon-ta-gnes-de-chry-san-thè-mes (13)
Aux-pre-miè-res-gri-sa-illes-d'en-de-ssous-de-vingt-et-un (14)
ils-ont-sor-ti-châ-les-et-par-kas-soies-lai-nes-aux-a-bois (15, ça aussi c'et beau)
leur-sou-ci (et non "soucis")-de-l'hi-ver-cha-ssant-dé-jà-en-lam-beaux (13)
la-be-lle-sai-son-qui-fai-sait-se-mi-roi-ter (et non "mirroiter")-là (13)
sur-ces-lacs-noirs-de-mi-cas-ou-d'al-bâtre (10. Beau)
nous-aurions-a-tteint-les-pins-dé-char-nés-du-Kan-Ho-a (14)
en-ra-ci-né-d'o-cé-ans-de-du-nes-et-mi-nes-pour-en-fants (16)
A-lors-on-res-tait-là-l'é-té-in-dien-moi-tié-vo-lé (14)
des-cha-leurs-o-cres-si-ai-guës-qu'e-lles|/b]-en-a-vaient (13)
On-a-con-duit-quel-ques-porcs-en-plus-vers-l’a-b[b]a-ttoir (13, et non "abbatoir")
Les-chiens-au-ssi-fré-mi-rent-dans-leurs-ca-ges-en-bois (13)
mon-traient-les-crocs-jau-nes-leurs-crocs-blancs-de-lutte (11, 12 si on prononce "montrai-ent", mais là aussi j'ai du mal à y croire)
les-lar-mes-ba-vaient-d’u-ne-tru-ffe-mi-se à-prix-dans-les-bouges (15)
quand-l’hi-ver-se-ra-ve-nu-par-les-ven-deurs-de-sang-à-la-res-quille (17)
Au-moin-dre-pe-tit-fri-mas-de-fin-d’é-té-les-chan-so-nnettes (15)
ra-con-tent-les-sou-ve-nirs-des-Na-Xi-aux-pas-per-dus (14)
Les-mé-moi-res-du-Ha-Giang-des-co-lo-nies-an-ciennes (13)
quand-les-mon-ta-gnes-s’é-lè-vent-plus-hau-tes-que-le-feu-des-âtres (16)
que-les-fe-mmes-ont-hur-lé-des-glo-ttes-en-do-nnant-le-sein (15)
ren-vo-yé-les-a-mants-à-leurs-é-tu-des-d’un-coup-de-cou-de en-trombe (17)
les-ro-mans-du-Nord-é-me-rau-de et-des-pla-teaux-denses (13, très beau)
Aux-pre-miers-fri-mas-d’a-près-l’é-té-le-temps-se-tasse (13)
le-bal-des-con-tes-des-chants-et-des-sor-ne-ttes-dé-bute (14)
Invité- Invité
Re: Histoire de cul d'été
Pour le petit détail technique socque, à l'"hyper-classique" le E final est muet, donc 11 quoiqu'il arrive.des-fleurs-te-na-ces-trem-blan-tes-e-ffa-rées (11, 12 toutefois, je crois, si on compte à l"hyper-classique "e-ffa-ré-es", mais je n'ai pas eu l'impression que tes vers l'essent été, hyper-classique)
Je relirai plus tard pandaworks, je me le suis mis au chaud...
Peter Pan- Nombre de messages : 3709
Age : 48
Localisation : Pays des rêves et de l'imaginaire
Date d'inscription : 16/04/2009
Re: Histoire de cul d'été
Foin des meules, ce texte dégueule sa paille et son épouvantail. J'aime bien !
Ba- Nombre de messages : 4855
Age : 71
Localisation : Promenade bleue, blanc, rouge
Date d'inscription : 08/02/2009
Re: Histoire de cul d'été
je copie-colle !Ba a écrit:Foin des meules, ce texte dégueule sa paille et son épouvantail. J'aime bien !
Pas original comme commentaire mais voilà, avec PW, j'aime me la jouer brut...
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Histoire de cul d'été
Si, c'est chouette. En effet, à relire pour mieux s'en imprégner. Juste le titre que j'ai pas compris, à moins que ça n'ait à voir avec la recherche littéraire? [private joke]
Je relirai, donc.
Je relirai, donc.
Chako Noir- Nombre de messages : 5442
Age : 33
Localisation : Neverland
Date d'inscription : 08/04/2008
Re: Histoire de cul d'été
je profite que c'est en haut pour parler de mon exo favoris : la rime distante et quand le texte devient long, la contrainte devient abominable. La fin des texte est souvent épuisée des allez-retours de la pèche à la rime, voir même s'en libère. le but c'est de contrôler les sonorités de fin de phrases en prose.
Invité- Invité
Re: Histoire de cul d'été
A force de les relire ces frimas de fin d'été je finirai par en dévider le cocon, j'aurai une illumination, j'en suis sûre !
Mais ne viens pas tout compliquer avec tes explications sur la pêche à la rime, j'ai encore accroché le hameçon dans les branches des fourrés !
Mais ne viens pas tout compliquer avec tes explications sur la pêche à la rime, j'ai encore accroché le hameçon dans les branches des fourrés !
Re: Histoire de cul d'été
C'est vraiment très beau, on imagine bien les métaphores...
Le titre est pas mal aussi
Le titre est pas mal aussi
alexi788- Nombre de messages : 30
Age : 30
Date d'inscription : 16/04/2009
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