Ô Morts, dites-nous
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Ô Morts, dites-nous
Le poème d'Hellian m'a remis en mémoire un petit texte que j'avais écrit en 2007, à la Toussaint ...
O Morts, qui comme nous, êtes passés
Un court instant sur cette Terre,
Dites-nous,
0 Morts, qui maintenant savez
Ce qu'il aurait fallu faire
Dites nous,
Chant du vent dans les cimetières
Et pleurs étouffés des hauts cyprès
Les rêves s'envolant en poussières
Que reste-t-il des hommes, après ?
Dites-nous,
Qui du tombeau, voyez sans colère
Les vivants vivre comme des insensés
Et s'enivrer d'envies si suicidaires
Dites-nous ce qu'il fallait penser.
O Morts, qui reposez en terre
Qu'avez-vous avant tout regretté ?
De votre vie, comme reliquaire
Que donnez-vous à vénérer ?
Dite le nous,
O Morts, qui comme nous, êtes passés
Un jour, une vie, sur cette Terre
Mychelc
O Morts, qui comme nous, êtes passés
Un court instant sur cette Terre,
Dites-nous,
0 Morts, qui maintenant savez
Ce qu'il aurait fallu faire
Dites nous,
Chant du vent dans les cimetières
Et pleurs étouffés des hauts cyprès
Les rêves s'envolant en poussières
Que reste-t-il des hommes, après ?
Dites-nous,
Qui du tombeau, voyez sans colère
Les vivants vivre comme des insensés
Et s'enivrer d'envies si suicidaires
Dites-nous ce qu'il fallait penser.
O Morts, qui reposez en terre
Qu'avez-vous avant tout regretté ?
De votre vie, comme reliquaire
Que donnez-vous à vénérer ?
Dite le nous,
O Morts, qui comme nous, êtes passés
Un jour, une vie, sur cette Terre
Mychelc
mychelc- Nombre de messages : 119
Age : 63
Date d'inscription : 08/01/2010
Re: Ô Morts, dites-nous
bien aimé ce texte. Surtout le dernier vers. La cohérence et le ton. Par contre, je n'adhère pas du tout au postulat de base, mais ça c'est une question de credo.
Invité- Invité
Re: Ô Morts, dites-nous
Comme Vincent, j'ai apprécié le dernier vers saisissant de raccourci.Mais heureusement que les morts ne nous racontent rien !
From too much love of living
From ( trou!)and fear set free
We thanks, with brief thanksgiving
Watever gods may be
That no life leaves for ever,
That deadmen rise up never
That even the worriest river
(...)safe to the sea.
Et comme ma mémoire est constante dans son inconstance, j'ai oublié les mêmes bouts que d'habitude et le nom du poète ( pardon Sahkti !)
From too much love of living
From ( trou!)and fear set free
We thanks, with brief thanksgiving
Watever gods may be
That no life leaves for ever,
That deadmen rise up never
That even the worriest river
(...)safe to the sea.
Et comme ma mémoire est constante dans son inconstance, j'ai oublié les mêmes bouts que d'habitude et le nom du poète ( pardon Sahkti !)
Invité- Invité
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