Lorsque nos yeux

ohlala
j'aimerais l'écrire, celui-là
(j'aurais aimé, et j'aimerais encore)

very impressive

Simple et profondément émouvant. Comme quoi la vie nous traîne parfois en longueur alors qu'elle peut faire court pour nous tendre la mort

J'espère que d'autres le liront, ce petit texte bouleversant

ça me fait penser à Verlaine.
J'aime beaucoup.

J'aime.

j'avoue je le fais remonter exprès (mais ne suis pas l'auteur)

Beau poème. Le dernier vers est particulièrement marquant.

Mais c'est vrai que c'est beau!

J'étais passée à côté ... quel dommage !
Ca frappe juste. C'est bouleversant.

Bon , je vais faire le vilain petit canard qui refuse de plonger là .

Non que ce poème soit dépourvu de grâce ou de qualités à mes yeux, mais je n'ai pas été touchée.
La dernier vers n'est pas sur la même tonalité, et l'ensemble trop bref pour que j'aie pu percevoir ce contraste comme un effet.
Ce "j'envisage que ", outre ses sonorités ternes, me déplaît fortement: il insiste trop sur le parallèle visage/figure (pour un apport de sens contestable) et m'emmène, par sa connotation de projet, dans un univers qui n'a rien à voir.

Le deuxième vers, lui aussi, me pose problème: Je ne supporte pas "les couleurs automnales", tu n'y es pour rien!!! et d'autre part, l'homophonie est tellement mise en valeur, qu'elle prend trop de place.

Sans plaisanter, je relis le texte en omettant le 2° et le dernier vers, et je préfère...

Je bute presque sur chaque vers. Pour moi, il y a un problème de syntaxe qui fait que je passe difficilement entre les lignes du début. Et chercher du sens au lieu que ma lecture soit fluide me déstabilise. Quand à "la chute" le lien entre envisager et défigurer m'évoque un jeu de mot à la Devos et dans ce contexte, je ne l'apprécie pas. Désolée.