Qu'écrivons nous ?
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Qu'écrivons nous ?
Bonsoir tout le monde, voici le texte sur lequel je travaille depuis deux ou trois jours, j'ai dû passé une bonne heure simplement pour la syntaxe et une demi-journée en tout, comme certains l'ont d'ailleurs vu sur un autre fil. Voici donc un texte qu'il faut prendre vraiment au deuxième ou quatrième degré. Il est moins court, pour que chacun y trouve son compte.
Bonne lecture !
Songez un instant ; savez-vous qu’il existe de beaux mots et de belles phrases ? Que pouvez-vous servir grassement en pâture à nos têtes molles ? Ne préféreriez-vous point davantage écrire d’une manière dont vos descendants savoureraient le goût? Une manière pour laquelle votre âme tout entière émanerait d’un élan passionnel et amoureux ?
Il est des moyens de donner avec tact et sensualité. Ôtez-vous l’idée que prendre soin de ce que l’on produit est un fardeau, car cela symbolise l’expression de ce que l’on éprouve.
Trouvez meilleurs propos que vos fantasmes manichéens ou tremblez de n’en avoir d’autres. Il s’agit d’écrire et de donner chose dont on ne peut souligner la moindre incohérence.
Songez un instant ; savez-vous que des écrivains quelque peu hâbleurs ont eu souvent le trésor spirituel de se croire supérieurs ? Seulement, que pouvez-vous tenter lorsqu’un nombre pathétique s’accorde bêtement avec ce propos ? Ne pouvez-vous pas, vous aussi, écrire notre malheur lancinant et réclamer la reconnaissance des autres ?
Il est des écrits qui sont oubliés. Chassez l’intention d’abandonner, car c’est de cette décision puérile que souffrent nos anciens. Ecrivez l’originalité substantifique rabelaisienne et devenez l’ombre de sa main.
Il s’agit de vivre dans l’autre pour le percuter, vivez donc de ce rien.
Songez donc enfin que si vous écrivez pour plaire, il est préférable de vous enfermer dans le pire des mutismes, car c’est par un instinct naturel que doit naître l’écrit et non par la corruption que l’autre exerce sur celui-ci.
Comprenez que le plaisir doit provenir de ce que vous faîtes et pas du jugement de l’autre et que de votre œuvre finie, vous trouviez entière satisfaction. Laissez-moi donc vous imposer cet écrit qui me plaît davantage qu’à vous, qui va à l’encontre du partage, à l’encontre du débat, un aller simple qui ne requiert rien, un anti-littérature, un anti-lecteur, un anti-tout, une idiotie, un sacrifice, un malheur, une chose inutile, une connerie.
Ne trouvez pas en cette tirade le sujet de mes projets futurs mais plutôt l’accès de fièvre qui habite l’homme dans des instants sombres. Et c’est ainsi que je m’apprête à noircir des infinités de pages, pour ne jamais ressembler à ce que j’écris ici, pour éviter à tout prix l’incohérence que je vous livre en ce moment immonde.
Bonne lecture !
Songez un instant ; savez-vous qu’il existe de beaux mots et de belles phrases ? Que pouvez-vous servir grassement en pâture à nos têtes molles ? Ne préféreriez-vous point davantage écrire d’une manière dont vos descendants savoureraient le goût? Une manière pour laquelle votre âme tout entière émanerait d’un élan passionnel et amoureux ?
Il est des moyens de donner avec tact et sensualité. Ôtez-vous l’idée que prendre soin de ce que l’on produit est un fardeau, car cela symbolise l’expression de ce que l’on éprouve.
Trouvez meilleurs propos que vos fantasmes manichéens ou tremblez de n’en avoir d’autres. Il s’agit d’écrire et de donner chose dont on ne peut souligner la moindre incohérence.
Songez un instant ; savez-vous que des écrivains quelque peu hâbleurs ont eu souvent le trésor spirituel de se croire supérieurs ? Seulement, que pouvez-vous tenter lorsqu’un nombre pathétique s’accorde bêtement avec ce propos ? Ne pouvez-vous pas, vous aussi, écrire notre malheur lancinant et réclamer la reconnaissance des autres ?
Il est des écrits qui sont oubliés. Chassez l’intention d’abandonner, car c’est de cette décision puérile que souffrent nos anciens. Ecrivez l’originalité substantifique rabelaisienne et devenez l’ombre de sa main.
Il s’agit de vivre dans l’autre pour le percuter, vivez donc de ce rien.
Songez donc enfin que si vous écrivez pour plaire, il est préférable de vous enfermer dans le pire des mutismes, car c’est par un instinct naturel que doit naître l’écrit et non par la corruption que l’autre exerce sur celui-ci.
Comprenez que le plaisir doit provenir de ce que vous faîtes et pas du jugement de l’autre et que de votre œuvre finie, vous trouviez entière satisfaction. Laissez-moi donc vous imposer cet écrit qui me plaît davantage qu’à vous, qui va à l’encontre du partage, à l’encontre du débat, un aller simple qui ne requiert rien, un anti-littérature, un anti-lecteur, un anti-tout, une idiotie, un sacrifice, un malheur, une chose inutile, une connerie.
Ne trouvez pas en cette tirade le sujet de mes projets futurs mais plutôt l’accès de fièvre qui habite l’homme dans des instants sombres. Et c’est ainsi que je m’apprête à noircir des infinités de pages, pour ne jamais ressembler à ce que j’écris ici, pour éviter à tout prix l’incohérence que je vous livre en ce moment immonde.
Le Greico- Nombre de messages : 206
Age : 30
Localisation : Là où le soleil brille encore.
Date d'inscription : 08/11/2009
Re: Qu'écrivons nous ?
Peut-on rajouter le trait d'union au titre s'il vous plaît ? Merci beaucoup ;p
< Votre dernier texte en prose "Salon de chaleur" a été publié le lundi 5.
Le présent texte sera donc rendu disponible aux commentaires à compter de la semaine prochaine.
Merci de votre compréhension.
La Modération >
< Votre dernier texte en prose "Salon de chaleur" a été publié le lundi 5.
Le présent texte sera donc rendu disponible aux commentaires à compter de la semaine prochaine.
Merci de votre compréhension.
La Modération >
Le Greico- Nombre de messages : 206
Age : 30
Localisation : Là où le soleil brille encore.
Date d'inscription : 08/11/2009
Re: Qu'écrivons nous ?
Je suis sincèrement désolé de devoir être si dur, mais pour être simple, j'ai détesté et le regrette, étant donné le travail que vous dites avoir fourni. L'écriture guindée, contrainte, la modalité jussive à la deuxième personne du pluriel, le sujet en lui-même et son traitement pompier ne m'ont guère convaincu. « Laissez-moi donc vous imposer cet écrit qui me plaît davantage qu’à vous, qui va à l’encontre du partage, à l’encontre du débat, [...] une connerie », eh bien non, justement. Ce ton sentencieux me déplaît.
Quelques remarques :
- « j'ai dû passé une bonne heure pour la syntaxe » : c'est louable, merci pour nous ! « Passer », cependant ;
- « savoureraient le goût? » : il faut marquer une espace avant le point d'interrogation ;
- « Ecrivez l’originalité » : « Écrivez » (accent aigu sur la majuscule, Alt + 144) ;
- « doit provenir de ce que vous faîtes » : « faites », sans accent circonflexe ;
- « vous trouviez entière satisfaction. » : pas sûr que le temps soit adéquat ;
- « un anti-littérature » : « une » (ou alors le mot « écrit » est sous-entendu ?).
Quelques remarques :
- « j'ai dû passé une bonne heure pour la syntaxe » : c'est louable, merci pour nous ! « Passer », cependant ;
- « savoureraient le goût? » : il faut marquer une espace avant le point d'interrogation ;
- « Ecrivez l’originalité » : « Écrivez » (accent aigu sur la majuscule, Alt + 144) ;
- « doit provenir de ce que vous faîtes » : « faites », sans accent circonflexe ;
- « vous trouviez entière satisfaction. » : pas sûr que le temps soit adéquat ;
- « un anti-littérature » : « une » (ou alors le mot « écrit » est sous-entendu ?).
Invité- Invité
Re: Qu'écrivons nous ?
Je suis désolée aussi mais j'ai également détesté ! J'ai eu l'impression d'une leçon donnée, c'est déjà assez agaçant, mais lorsqu'en plus la leçon est banale comme ici ben... ça passe vraiment pas.
Il y a un travail de la langue qui est net. Beaucoup trop net. Alors du coup ça m'a fait beaucoup sourire lorsque tu as parlé de laisser aller son instinct. J'ai eu l'impression de quelque chose de récité, de convenu.
Pour terminer sur quelque chose de moins négatif, je dirais que c'est plus dans le choix de ton exercice et de ton sujet que tu t'es planté. L'idée était mauvaise, à mon sens, à la base (peut-être qu'il y a d'autres avis, je l'espère..) donc tu ne pouvais t'en sortir sur la réalisation.
Le travail de la langue est réel. Ce style doit devenir plus naturel pour être apprécié. Je te souhaite bon courage pour la suite malgré tout ! Pour t'encourager je te dirais que pour ma part ce sont de mes grands loupés que j'aie le plus appris...
Il y a un travail de la langue qui est net. Beaucoup trop net. Alors du coup ça m'a fait beaucoup sourire lorsque tu as parlé de laisser aller son instinct. J'ai eu l'impression de quelque chose de récité, de convenu.
Pour terminer sur quelque chose de moins négatif, je dirais que c'est plus dans le choix de ton exercice et de ton sujet que tu t'es planté. L'idée était mauvaise, à mon sens, à la base (peut-être qu'il y a d'autres avis, je l'espère..) donc tu ne pouvais t'en sortir sur la réalisation.
Le travail de la langue est réel. Ce style doit devenir plus naturel pour être apprécié. Je te souhaite bon courage pour la suite malgré tout ! Pour t'encourager je te dirais que pour ma part ce sont de mes grands loupés que j'aie le plus appris...
Lifewithwords- Nombre de messages : 785
Age : 32
Localisation : Hauts de Seine
Date d'inscription : 27/08/2007
Re: Qu'écrivons nous ?
oui, j'ai compris l'intention. Une dernière clope avant la promesse de cesser de fumer. Un drôle d'exo, plutôt inutile, sauf à se fatiguer.
Invité- Invité
Re: Qu'écrivons nous ?
Fait tout un comm détaillé que j'ai envolé. Je te le refais quand j'ai plus de temps, le Greico !
Invité- Invité
Re: Qu'écrivons nous ?
Bonne idée de faire des gammes "à la manière de", Le Greico ! C'est de cette façon qu'on apprend à user de la langue en virtuose, décortiquer la façon d'écrire de maîtres et s'essayer à les imiter est une excellente école.
Tu ne maîtrises pas encore bien sûr, mais c'est déjà très stimulant de voir avec quel enthousiasme tu t'y mets ! Aussi, ne te laisse pas décourager et remet sur le métier etc...
Dans ce texte, un peu trop de choses obscures à mon avis. Et quelques fautes ou maladresses d’expression
La phrase suivante est soit fautive soit à tout le moins étrange :
J’ai énormément de mal à comprendre cette phrase
Mais que vient faire ici ce trésor spirituel ?
Pas compris non plus ,
En revanche, j’ai trouvé vraiment tordu ( et je dis ça sur un ton carrément admiratif !) le dernier paragraphe où tu détricotes toute la construction alambiquée que tu viens de faire, d’une façon magistrale qui renvoie le lecteur
« intelligent » à la case départ et le laisse sur le cul !
Alors bravo !
Mais j’aimerais quand même bien que tu nous écrives une histoire classique, sans effets de manches un de ces jours, juste gamme parmi tes nombreuses gammes…
Tu ne maîtrises pas encore bien sûr, mais c'est déjà très stimulant de voir avec quel enthousiasme tu t'y mets ! Aussi, ne te laisse pas décourager et remet sur le métier etc...
Dans ce texte, un peu trop de choses obscures à mon avis. Et quelques fautes ou maladresses d’expression
: pourquoi rajouter davantage cette notion étant déjà contenue dans « préféreriez » elle fait redondance.Ne préféreriez-vous point davantage écrire
La phrase suivante est soit fautive soit à tout le moins étrange :
Est-ce l’âme qui émane ou l’élan ? J’ai du mal à concevoir que l’âme puisse émaner d’un élan passionnel ( pour qu’il y ait passion, encore faut−il que l’âme soit déjà présente !) Et sinon émaner est utilisé de manière fautive ( verbe intransitif)Une manière pour laquelle votre âme tout entière émanerait d’un élan passionnel et amoureux ?
J’ai énormément de mal à comprendre cette phrase
Que des écrivains hâbleurs se croient supérieurs, soit (encore qu’on pourrait pinailler : supérieur ne peut s’employer seul, c’est relatif à autre chose !)Songez un instant ; savez-vous que des écrivains quelque peu hâbleurs ont eu souvent le trésor spirituel de se croire supérieurs ?
Mais que vient faire ici ce trésor spirituel ?
Pas compris non plus ,
si tu peux m’expliquer…Chassez l’intention d’abandonner, car c’est de cette décision puérile que souffrent nos anciens.
En revanche, j’ai trouvé vraiment tordu ( et je dis ça sur un ton carrément admiratif !) le dernier paragraphe où tu détricotes toute la construction alambiquée que tu viens de faire, d’une façon magistrale qui renvoie le lecteur
« intelligent » à la case départ et le laisse sur le cul !
Alors bravo !
Mais j’aimerais quand même bien que tu nous écrives une histoire classique, sans effets de manches un de ces jours, juste gamme parmi tes nombreuses gammes…
Invité- Invité
Re: Qu'écrivons nous ?
Le dernier paragraphe donne un autre sens à ce texte qu'un simple élan moraliste, mais cet usage répété de l'impératif à l'adresse du lecteur a quand même rendu la lecture désagréable en ce qui me concerne. Mais tu as un sacré potentiel je pense...
Re: Qu'écrivons nous ?
Ce qui me gêne beaucoup, c'est l'adresse au lecteur (d'une façon générale, je n'aime pas ça, les voyez-vous, savez-vous, etc.). Ça me rebute un peu.
Mais passé ce rebut, il y a quand même de belles choses dans ce texte, de belles envolées.
Le thème ne me parle pas trop mais je trouve que dans l'écriture, ça a bien avancé et je dis, si je peux me permettre : continue d'explorer, d'essayer, de te planter parfois, mais continue.
Mais passé ce rebut, il y a quand même de belles choses dans ce texte, de belles envolées.
Le thème ne me parle pas trop mais je trouve que dans l'écriture, ça a bien avancé et je dis, si je peux me permettre : continue d'explorer, d'essayer, de te planter parfois, mais continue.
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: Qu'écrivons nous ?
Merci à toux ceux qui ont commenté.
Alex: Merci d'avoir commenté, on s'est déjà beaucoup parlé sur un autre fil, sache qu'en tout cas, pour ma part, rien n'entrave de quelconques relations. Bonne semaine. J'apprécie beaucoup que tu sois franc.
lifewithwords: Merci d'avoir commenté, merci pour ces encouragements et merci pour les problèmes que tu as pris le temps de m'expliquer. Bonne semaine, également.
pandaworks: Oui c'est un peu ce que j'ai voulu faire. Inutile, sûrement mais utile, pourquoi pas.
coline Dé: Ton commentaire m'a franchement fait très plaisir, tu as pris un certain temps à m'expliquer où est-ce que ça cloche, ce qui ne va pas, et même si tu n'as pas été emballé par le texte, ton commentaire m'a bien remonté le moral. Merci beaucoup. Ensuite pour la petite explication sur la phrase : "Chassez l'idée d'abandonner car c'est de cette décision puérile que souffrent nos anciens", c'est de la décision d'abandonner l'écriture que souffrent nos anciens. Et "anciens" renvoie à nos parents, ancêtres etc... Je sais plus si j'arrive à me faire comprendre :p.
Enfin je te promets que mon prochain texte sera une histoire, un début de roman peut-être pas, une nouvelle pourquoi pas.
Bonne semaine !
Kash Prex: Merci d'avoir commenté, oui c'est vrai que le dernier casse avec le rythme des deux premiers, c'est sûrement ce que tu as aimé. Ensuite, oui j'ai bien compris que ce ton moralisateur posait un problème, en tout cas il n'y avait vraiment rien de prétentieux là-dedans, je t'assure. Bonne semaine.
Janis: Merci d'avoir commenté, j'essaierai d'éviter de trop utiliser ce genre de locutions, ce qui est paradoxal c'est que je ne les aime pas non plus, c'est dire si ce texte est incohérent ! En revanche je suis content que certains moment t'aient plu. Oui, comme dirait lifewithwords, ce sont des plus gros échecs que l'on apprend le plus, je pense que tu as raison. Mais le prochain, je le veux carabiné ;P
Alex: Merci d'avoir commenté, on s'est déjà beaucoup parlé sur un autre fil, sache qu'en tout cas, pour ma part, rien n'entrave de quelconques relations. Bonne semaine. J'apprécie beaucoup que tu sois franc.
lifewithwords: Merci d'avoir commenté, merci pour ces encouragements et merci pour les problèmes que tu as pris le temps de m'expliquer. Bonne semaine, également.
pandaworks: Oui c'est un peu ce que j'ai voulu faire. Inutile, sûrement mais utile, pourquoi pas.
coline Dé: Ton commentaire m'a franchement fait très plaisir, tu as pris un certain temps à m'expliquer où est-ce que ça cloche, ce qui ne va pas, et même si tu n'as pas été emballé par le texte, ton commentaire m'a bien remonté le moral. Merci beaucoup. Ensuite pour la petite explication sur la phrase : "Chassez l'idée d'abandonner car c'est de cette décision puérile que souffrent nos anciens", c'est de la décision d'abandonner l'écriture que souffrent nos anciens. Et "anciens" renvoie à nos parents, ancêtres etc... Je sais plus si j'arrive à me faire comprendre :p.
Enfin je te promets que mon prochain texte sera une histoire, un début de roman peut-être pas, une nouvelle pourquoi pas.
Bonne semaine !
Kash Prex: Merci d'avoir commenté, oui c'est vrai que le dernier casse avec le rythme des deux premiers, c'est sûrement ce que tu as aimé. Ensuite, oui j'ai bien compris que ce ton moralisateur posait un problème, en tout cas il n'y avait vraiment rien de prétentieux là-dedans, je t'assure. Bonne semaine.
Janis: Merci d'avoir commenté, j'essaierai d'éviter de trop utiliser ce genre de locutions, ce qui est paradoxal c'est que je ne les aime pas non plus, c'est dire si ce texte est incohérent ! En revanche je suis content que certains moment t'aient plu. Oui, comme dirait lifewithwords, ce sont des plus gros échecs que l'on apprend le plus, je pense que tu as raison. Mais le prochain, je le veux carabiné ;P
Le Greico- Nombre de messages : 206
Age : 30
Localisation : Là où le soleil brille encore.
Date d'inscription : 08/11/2009
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