Triste Noël

J'ai détesté ce Noël,
Je n'ai pas su être prés d'elle,
Je m'emplis de désespoir,
Car je ne peux la revoir,
Je me morfond dans mon lit,
En ne pensant qu'à sa vie,
Elle m'a donné en présent,
Le prénom de son amant,
J'ai pleuré toute la nuit,
Pour qu'elle ait un autre avis,
Mais il n'y a rien à faire,
Donc je vais être suicidaire.

d'après moije, et à la lecture de votre texte, j'entrevois deux angles

soite:
Elle m'a donné en présent,
Le prénom de son amant,
J'ai pleuré toute la nuit,
Pour qu'elle ait un autre avis,
Mais il n'y a rien à faire,
Donc je vais être suicidaire.

soite:
mais il n'y a rien eu à faire
et je m'appelle... Apollinaire !


....

et là
pour un même traumatisme de départ
le macabre final sera l'ouverture...

Amitié
et j'espère que vous me pardonnerez cette intrusion dans votre monde poétique

Je vous remercie pour votre avis !


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Merci de votre compréhension.
La Modération >
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adrien709
vous avez on le voit le sang neuf.
Aller d'amour en suicidie
C'est là de jeune l'envie
Qui nous tient en vie.
Sans vouloir mon ami
Après tant belle mort calami
Vous enduire de tort et vous nuire
Il faut bien l'un de nous à vous dire
Que sur ce forum
On doit pour répondre attendre
A peine de se faire pendre
Que bien des femmes et des hommes
Aient porté au crédit de votre texte
Des commentaires un maximum.
Jeune jeûnez alors de répons
Pendant quelques jours
Même si l'amour vous morfond.
A défaut de cette observance
Je crains malgré votre âge
Qu'on ne vous lance
Non pas un vers ni deux
Mais un bas verrouillage.
Et ce sera vous verrez plus douloureux
Qu'un refus à l'amoureux.
Il est ici par ailleurs seconde coutume
A laquelle il faut tremper votre plume:
Celle qui vous amène
A ne publier chaque semaine
Qu'un seul et solitaire texte
Et non deux ou trois
En aucun prétexte.
A défaut du bois sort alors
Le terrible Mentor

Marvejols

Pas un amour ne vaut d'être suicidaire.
Tant pis si je le dis comme ça.
Mon fils l'a fait un novembre 2003 pour une fille .....Et j'en "meurt" tous les jours.
Le suicide me parle... je ne peux pas rester dans l'indifference.
Je sais qu'on a peut-être pas le droit de mettre des commentaires comme ça... mais je n'ai pas pu...Faire autrement

Pour la forme c'est trop brut de décoffrage, pour le fond c'est inquiétant comme un appel au secours. "Nul ne vit seul pour lui-même, nul ne meurt seul pour lui-même", Adrien la vie vaut la peine d'être vécu.

Oui, je le sais bien. Ne vous inquietez pas. Ce n'est qu'un pauvre poéme.


Lisez svp notre remarque un peu haut, merci !
La Modération
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Ce serait pas mal de varier un peu les titres, merci !

http://www.vosecrits.com/t10309-triste-noel

Des deux tristes tristes Noël
Je préfère celui-ci
Qui me parle d'Elle
Et me montre Lui.

Ce petit bout de texte traduit une belle sensibilité. Pauvre Martin pauvre poème.
"'Jai détesté ce Noël,
Je n'ai pas su être prés d'elle," : tout est dit.
Cet incipit constitue à mon avis avec cet autre passage
"Elle m'a donné en présent,
Le prénom de son amant,
J'ai pleuré toute la nuit,"
les points forts, émotionnels et formels, du texte. Le reste serait à travailler : trop direct, trop plat. Chercher à dire autrement, sans le dire, en le suggérant, en l'imageant, en l'amenant, votre "je vais être suicidaire".