Faut-il ?
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Faut-il ?
Il faut admettre ce monde
Qui à ce jour nous inonde
Malgré nos cris précoces
Et nos questions féroces.
Il faut chercher dans ce monde pourquoi sans raison
L'Homme est venu encombrer l'horizon.
Mais l'orgueilleux bipède
Préfère chevaucher son vélocipède
Ou s'oublier devant un Gin tonic
Afin d'enivrer ses pensées cycliques.
Il faut se résigner, reconnaître
Ce quotidien sans miettes
Où les Sages s'appliquent à paître
La prairie aux sombres étiquettes.
Il faut sourire dès l'aube
Devant la boulangère sans robe
Qui partage, non sans délice,
Le fruit de sa nuit : le corps du vice !
Mais l'orgueilleux bipède
Préfère chevaucher son vélocipède
Ou s'oublier devant un Gin Tonic
Afin d'enivrer ses pensées cycliques.
Il faut se soumettre, sans être fier,
au jeu de dupes
Qui consiste à mettre une jupe
Sur nos questions. Le courant d'air
A l'odeur d'Ether
Brisera trop tôt le rideau de fer,
Ce mur sans saison
Du soir sans horizon.
Mais l'orgueilleux bipède
Préfère chevaucher son vélocipède
Ou s'oublier devant un Bic
Afin d'enivrer ses pensées cycliques.
Qui à ce jour nous inonde
Malgré nos cris précoces
Et nos questions féroces.
Il faut chercher dans ce monde pourquoi sans raison
L'Homme est venu encombrer l'horizon.
Mais l'orgueilleux bipède
Préfère chevaucher son vélocipède
Ou s'oublier devant un Gin tonic
Afin d'enivrer ses pensées cycliques.
Il faut se résigner, reconnaître
Ce quotidien sans miettes
Où les Sages s'appliquent à paître
La prairie aux sombres étiquettes.
Il faut sourire dès l'aube
Devant la boulangère sans robe
Qui partage, non sans délice,
Le fruit de sa nuit : le corps du vice !
Mais l'orgueilleux bipède
Préfère chevaucher son vélocipède
Ou s'oublier devant un Gin Tonic
Afin d'enivrer ses pensées cycliques.
Il faut se soumettre, sans être fier,
au jeu de dupes
Qui consiste à mettre une jupe
Sur nos questions. Le courant d'air
A l'odeur d'Ether
Brisera trop tôt le rideau de fer,
Ce mur sans saison
Du soir sans horizon.
Mais l'orgueilleux bipède
Préfère chevaucher son vélocipède
Ou s'oublier devant un Bic
Afin d'enivrer ses pensées cycliques.
post scriptum- Nombre de messages : 252
Age : 43
Date d'inscription : 18/11/2011
Re: Faut-il ?
Faut il... absolument écrire en rimes quand elles sont forcées à ce point?
Je suis même passé à coté du fond tant la forme ne coule pas.
Loin de ton "Nus lecteurs", vivement ton prochain texte car celui ci est à vite oublier pour moi.
Je suis même passé à coté du fond tant la forme ne coule pas.
Loin de ton "Nus lecteurs", vivement ton prochain texte car celui ci est à vite oublier pour moi.
Terrains Vagues- Nombre de messages : 292
Age : 58
Date d'inscription : 10/09/2011
Re: Faut-il ?
Sympa.
« Il faut sourire dès l'aube
Devant la boulangère sans robe
Qui partage, non sans délice,
Le fruit de sa nuit : le corps du vice ! »
Je me suis projeté à la lecture allant chercher mon pain à l'aube et y rencontrer ainsi ma boulangère... ;-) en + ce matin, elle avait un doigt énorme... à se demander ce qu'elle avait pu en faire la veille... après investigations, ce n'était du qu'à l'huile de sa friteuse. No Comment.
« Mais l'orgueilleux bipède
Préfère chevaucher son vélocipède
Ou s'oublier devant un Gin Tonic
Afin d'enivrer ses pensées cycliques. »
:-)
merci pour la lecture qui m'a miche le sourire, et qui tourne encore, six clics.
Quant au fond, je l'ai lu (aussi).
« Il faut sourire dès l'aube
Devant la boulangère sans robe
Qui partage, non sans délice,
Le fruit de sa nuit : le corps du vice ! »
Je me suis projeté à la lecture allant chercher mon pain à l'aube et y rencontrer ainsi ma boulangère... ;-) en + ce matin, elle avait un doigt énorme... à se demander ce qu'elle avait pu en faire la veille... après investigations, ce n'était du qu'à l'huile de sa friteuse. No Comment.
« Mais l'orgueilleux bipède
Préfère chevaucher son vélocipède
Ou s'oublier devant un Gin Tonic
Afin d'enivrer ses pensées cycliques. »
:-)
merci pour la lecture qui m'a miche le sourire, et qui tourne encore, six clics.
Quant au fond, je l'ai lu (aussi).
Artnow- Nombre de messages : 286
Age : 47
Date d'inscription : 12/12/2010
Re: Faut-il ?
Je ne suis pas totalement en désaccord avec toi Terrains vagues.
Ce texte a 13 ans et je me souviens l'avoir écrit le sourire aux lèvres. En le relisant aujourd'hui, ce sourire est revenu.
Il est parfois lourd, heurté mais il a une valeur affective.
Voilà pourquoi j'ai voulu le partager sans le retoucher.
< On a déjà demandé de regrouper les réponses aux commentaires, histoire de ne pas faire remonter son propre texte en haut de page a détriment des textes des autres auteurs.
Merci donc de bien vouloir respecter ce principe à l'avenir.
La Modération >
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Ce texte a 13 ans et je me souviens l'avoir écrit le sourire aux lèvres. En le relisant aujourd'hui, ce sourire est revenu.
Il est parfois lourd, heurté mais il a une valeur affective.
Voilà pourquoi j'ai voulu le partager sans le retoucher.
< On a déjà demandé de regrouper les réponses aux commentaires, histoire de ne pas faire remonter son propre texte en haut de page a détriment des textes des autres auteurs.
Merci donc de bien vouloir respecter ce principe à l'avenir.
La Modération >
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post scriptum- Nombre de messages : 252
Age : 43
Date d'inscription : 18/11/2011
Re: Faut-il ?
Je partage l'avis de Terrains vagues, STOP les rimes ! oO
(vos rimes forcées vous font utiliser du vocabulaire que vous n'auriez jamais envisagé si vous si ce n'était pas pour cet emploi très précis, on abouti à des aberrations ...)
Par ailleurs, le titre formulé en tant que question m’intéressait, mais au final il n'y a aucun questionnement, que des "réponses", ça m'a déçu.
Mais passant au dessus de cet aspect subjectif, je dirais que vous ne mettez pas en valeur vos mots (par exemple le "il faut" au début, qui suit directement le "faut-il ?" du titre, devrait être plus souligné du coup)
(vos rimes forcées vous font utiliser du vocabulaire que vous n'auriez jamais envisagé si vous si ce n'était pas pour cet emploi très précis, on abouti à des aberrations ...)
Par ailleurs, le titre formulé en tant que question m’intéressait, mais au final il n'y a aucun questionnement, que des "réponses", ça m'a déçu.
Mais passant au dessus de cet aspect subjectif, je dirais que vous ne mettez pas en valeur vos mots (par exemple le "il faut" au début, qui suit directement le "faut-il ?" du titre, devrait être plus souligné du coup)
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