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Le Faucheur d'âmes

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hi wen
Sekril
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Message  Sekril Dim 15 Jan 2012 - 19:08

     Un homme sur un chemin... et combien d'autres hommes, sur combien de chemins ? Tantôt vertueux et emplis de gloire, tantôt vils et empreints de folie. Combien d'autres vagabonds, marcheurs ou coureurs, aventuriers ou guerriers itinérants des routes de leur destinée se sont perdues sur ces voies tortueuses qui percent les nues jusqu'à l'Olympe pour mieux parfois s'enfoncer dans l'écorce d'une terre qui renferme jalousement les flammes... qui peut être t'attendent depuis toujours ? Ainsi est l'impétueux et versatile chemin de la vérité. Mais cet homme qui poursuit ici sa route, ne cherche pas la vérité. Il s'en approche certes, comme chacun de nous à chaque pas, mais il n'est pas, comme toutes ces âmes errantes, les yeux perdus dans l'horizon, entre les nues et la cimes des arbres, embrassant le crépuscule. Il est comme absorbé par son chemin, ce sentier de glace et de métal fumant de froideur qui lui érode la peau pour peu qu'il ait le malheur d'y avancer le pied, jonchant ses arrières d'innombrables traces sanglantes qui se perdent au bout de son passé. La tête basse, enchaînant cette torture inlassablement, il persévère jusqu'aux chairs sa lente marche vers le néant.

     Comme sur un miroir d'argent il voit se refléter sur le sol brumeux des souvenirs, de douloureuses pensées mais qu'il ne chasserait pour rien au monde. Il se rappelle les sombres heures, quand plus une lumière ne paraissait au travers de ce monde de terre qui le surplombait. Il se remémore la naissance des démons qui l'habitent encore aujourd'hui, indélogeables prolongements de son âme comme son doigt de sa main et sa main de son bras. Impossible aussi d'oublier tous ces parfums qui enrobèrent sa vie de mensonges et d'agréables chimères qui s'évaporèrent avec les restes de lui-même. Et ces yeux... ils sont encore là. Ils n'ont pas bougés. Brillant dans la pénombre de son esprit comme deux diamants incandescents, nés du chaos, extirpés à l'imperfection, sauvés de l'impureté. Ces yeux taillés dans le roc de la douleur et ciselés par les marteaux des enfers, vous déshabillant du regard pour mieux vous brûler la peau. Les rubis ardents du tartare transfigurés et pulsant régulièrement, non ce n'est pas un souvenir. Il a refusé d'envoyer ces divines agates dans le monde de ce qui n'est plus, elles le hantent aujourd'hui.

     Les yeux dans les yeux il avance dans une pensée ou dans un rêve, dans lequel chacun de ses soubresauts est un ricochet sur le reflet de cette âme... cette si belle âme. Venu du feu il se rend dans les flammes, chaque nuit il passe et emporte avec lui les esprits perdus qu'il trouve en chemin, maudit, il les emporte avec lui dans le noir éternel, celui dans lequel il n'y a nulle lueur d'espoir ou de clarté. Un feu noir brûle dans ses iris et l'éclairent d'obscurs fantasmes de mort. La cendre qui tombe comme la neige des fanges sous sa longue toge noire s'évapore en fumée de soufre avant même d'avoir touché le sol, se mêlant aux vapeurs glaciales qui en remontent. Depuis la lune sans nom il parcourt les mondes en fauchant les cœurs et les corps. Damné jusqu'à la moindre parcelle de son être aucun remord ne peut le ronger plus que sa propre vilénie, qui déjà investi son fort intérieur jusqu'à lui ressortir par les pores de la peau. Il les prend, comme on prend la mer, comme on prend un chemin, il les fauche, comme la serpe fauche le blé au printemps, et les regarde tomber tristement, comme on voit tomber les feuilles mortes de l'automne.

     Mais pour la première fois, passé des milliers de crimes et de victimes, des éons de cris et de supplications, des lieues de sillon de sang où se noient encore les plaintes et les pleurs, oui pour la première fois cette âme, il ne se contente pas de la voir, de la regarder, de la trouver et de la prendre, car pour la première fois cette âme... il la désire. Mais maudit qu'il est, cette prodigieuse création de l'infini désordre, il ne fit que la croiser. Sur un croisement de leurs deux voies, de leurs deux regards, sur le croisement de cet écho qu'elle lui renvoyait il perdit son pouvoir, sa grandeur, sa malédiction, déchu de toute existence face à cette déconcertante vérité qui n'était peut être pas La vérité mais qui était tout de même... Sa vérité. Et le voilà aujourd'hui marchant dans le doute de son propre but. A chaque pas se dit il, un peu plus il s'éloigne de l'authentique, du vrai. Son corps même le punit de chacun de ses sacrilèges que sont ses pas qui le détournent d'elle. Ecouter la voie de la raison, suivre la voix de la perfection universelle, tel a été son chemin de croix, mais à cet instant la vérité qu'il recherche se trouve inexorablement dans son dos, autant que dans son esprit qui ne sut pas l'effacer.

     Alors maintenant à quoi bon ? Pourquoi suivre cette litanie de non sens qui l'emmène sur les rochers de la perdition de son âme, alors que derrière lui se cache la vérité absolue de lui-même, voilée dans l'écho mystérieux et insondable de son image. Bien décidé à en finir avec le paradoxe de sa vie, il pose la main gauche sur son épaule, agrippant fermement de ses doigts le tissu de sa toge, fait encore quelque pas avant de s'arrêter. Lorsque sa marche se suspend le temps se met en stase, les objets se figent, les feuilles restent en suspension entre les branches et la terre. C'est définitif, plus d'illusion dans sa vie, plus de mensonge, plus de superflu, il ne gardera que l'essentiel. Sur cette pensée l'homme ramène brusquement son bras vers le bas, se détachant de son habit de ténèbre et dévoilant des ailes grises et translucides se déployant dans un nuage de poussière incandescente. Une onde dévastatrice de sable noir et de mica balaye tout sur son passage, les arbres s'émiettent et les nuages se dissolvent comme une peau de chagrin, les feuilles balayées dans un torrent de verre scintillant dégradent le sol qui laisse apparaître au dessous un écran de nuit.

     L'horizon disparaît alors que cieux et méandres des profondeurs ne font plus qu'un. Le vacarme de la déflagration s'essouffle au loin en même temps que la fumée étincelante, seul vestige d'un monde qui a totalement disparu. Même le chemin de métal n'a su résister à la grande épuration. Et aujourd'hui alors que reste t il, quand disparaissent les vanités, quand sont révélés les vrais visages éthérés des mirages, quand les miroirs mystifiants se brisent et que le rideau se lève ? Il ne reste que Toi...Moi... et les étoiles. En haut, en bas, à l'infini comme sous mes pas, un espace de liberté et de création, vierge et pur, une substance magique noire et malléable, habillé tout juste d'une robe de perles blanches. Et parmi les soleils et les planètes qui brûlent au lointain, plus éblouissants que la belle Venus qui guide les voyageurs en détresse, je vois tes yeux qui me regardent, j'entends tes yeux qui m'appellent, je les sens qui m'enivrent, qui m'envoûtent, qui m'investissent de leur pouvoir. Je renais, revis et respire. De mes cendres se nourrit la perle nouvelle de la passion que tu insuffles en mon âme, grandissante, s'arborant de nacre et de brillantes larmes opaline qui suintent à travers ton regard de glace.
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Message  Invité Dim 15 Jan 2012 - 20:14

Je vous propose cette correction orthotypographique :
– « sur un chemin... » : ce ne sont pas les bons points de suspension « … » (Alt + 0133) ;
– « se sont perdues » : « perdus » ;
– « les flammes... » : points de suspension incorrects ;
– « qui peut être t'attendent » : « peut-être » (trait d'union) ;
– « et la cimes des arbres » : « cime » ;
– « il persévère jusqu'aux chairs sa lente marche » : construction impossible (« persévérer » est intransitif) ;
– « se refléter sur le sol brumeux des souvenirs, de douloureuses » : pas de virgule après « souvenirs », ou alors virgule après « refléter » ;
– « comme son doigt de sa main et sa main de son bras » : « comme le doigt », « et la main » ;
– « qui enrobèrent sa vie de mensonges et d'agréables chimères qui s'évaporèrent » : cette double-relative est pour le moins maladroite ;
– « Et ces yeux... » : points de suspension incorrects ;
– « Ils n'ont pas bougés » : « bougé » ;
– « Brillant dans la pénombre » : « Brillants » ;
– « non ce n'est » : virgule après « non » ;
– « le reflet de cette âme... » : points de suspension incorrects ;
– « l'éclairent d'obscurs fantasmes » : « l'éclaire » ;
– « de son être aucun » : virgule après « être » ;
– « aucun remord ne peut » : « remords », même au singulier ;
– « qui déjà investi » : « investit » ;
– « son fort intérieur » : « son for intérieur » ;
– « oui pour la première fois » : virgule après « oui » ;
– « cette âme... » : points de suspension incorrects ;
– « Sur un croisement » : « croiser sur un croisement » ? Malhabile ;
– « qu'elle lui renvoyait il perdit » : virgule après « renvoyait » ;
– « tout de même... » : points de suspension incorrects ;
– « A chaque » : « À » (Alt + 0192) ;
– « A chaque pas se dit-il » : virgule après « pas » ;
– « de chacun de ses sacrilèges que sont ses pas » : trop de possessifs ;
– « Ecouter » : « Écouter » (Alt + 144) ;
– « Ecouter (sic) la voie » : « la voix » ;
– « suivre la voix de la perfection » : « la voie », justement ! ;
– « mais à cet instant la vérité » : virgule après « instant » ;
– « cette litanie de non sens » : « non-sens » (trait d'union) ;
– « marche se suspend le temps » : virgule après « suspend » ;
– « plus d'illusion dans sa vie » : « d'illusions » ;
– « plus de mensonge » : « mensonges » ;
– « aujourd'hui alors que reste » : virgule après « alors » ;
– « que reste t il » : « reste-t-il » ;
– « Toi...Moi... » : points de suspension incorrects et majuscules inutiles ;
– « habillé tout juste » : « habillée » ;
– « que la belle Venus » : « Vénus » ;
– « de brillantes larmes opaline » : « opalines ».

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Message  Sekril Dim 15 Jan 2012 - 20:50

C'est vrai que la critique n'est pas tendre ici... et encore ce n'est que sur la forme (j'attendais craintivement ce type de commentaire que j'ai repéré sur les autres sujets). Je suis conscient que la typographie ici est plutôt importante j'ai directement copié/collé ce texte de mes fichiers. Cependant j'ai pris bien soin de copier aussi la liste des caractères spécifiques affiché sous votre nom dans un post-it sur mon bureau pour l'avenir.

Si je puis me permettre cependant parmi les remarques très pertinentes sur ma forme il y en a certaines que je me permettrais de contester puisqu'elles sont (rarement) volontaires, ce sont les suivantes et je m'en explique ici :

-Suivre la voix, écouter la voie : Ces deux termes ont été sciemment intervertis. C'était dans le but de créer un bouleversement, à l'image de celui que subit le personnage. Ceci restant toujours de façon allégorique justement interprétable par le fait que d'une part le chemin qu'il suit l'appelle et qu'il le suit un peu comme Ulysse suit les sirènes dans l'odyssée, et que d'autre part ce choix qu'il fait de suivre ce chemin lui est en réalité suggéré par des voix, elles, bien concrètes.

-Plus d'illusion : Je considère ici l'illusion en tant qu'entité métaphysique, je n'irais pas jusqu'à dire personnifié mais je me refusais sur l'instant à parler d'illusion au sens vulgaire du terme mais plutôt comme une ennemie pernicieuse. J'aurais dû en revanche, je le concède, y ajouter une majuscule. (ah par contre à mensonge je vais être honnête… pas d'excuse)

-Toi Moi : C'est aussi volontaire, c'est que le texte parlait d'une personne qui m'est tant importante que je me permets la facétie de mettre une majuscule jusque sur les pronoms. C'est un code.

En tout les cas je précise que j'ai longtemps voulu soumettre ce genre de texte à une critique de qualité et me donner ainsi l'occasion de débattre de tout cela.
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Message  hi wen Dim 15 Jan 2012 - 21:56

A la recherche de l'authenticité perdue.
je ne vois pas très bien pourquoi le fait de gagner un niveau dans le mets-ta-morphose, en décrivant l'historicité de l'inauthentique dans la geste de se regarder soi-même, la rendrait plus, ou moins authentique. c'est drôle, cette croyance.

là, il y aurait un sujet de roman.

enfin, de palabres.




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Message  Sekril Dim 15 Jan 2012 - 22:04

A vos souhaits.

Alors je ne suis pas tout à fait gâteux mais même en n'ayant pas tout saisit de votre réponse je pense qu'il doit y avoir un léger malentendu. Dans le retour en arrière il ne s'agit pas de changer l'inauthentique mais bel et bien de revenir sur ses pas pour retrouver un détail bien concret qui représente le fondement même de l'authentique.
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Message  Invité Dim 15 Jan 2012 - 22:17

Selon moi, ce qu'a voulu signifier hi wen, c'est cette illusion qui consiste à penser que la considération, la conscience d'une chose (en l'occurrence l'inauthenticité) permet sa négation ou du moins son atteinte. Le problème apparaît comme particulièrement complexe, dans le sens où l'inauthenticité (ou l'insincérité) concerne justement le retour sur soi, la conscience qui se regarde elle-même, la tension entre un sujet qui veut se prendre pour objet alors qu'on ne peut être les deux à la fois, l'objectivation passant par la distanciation, par la médiation, et donc par le jeu social même dans un rapport prétendument intime de soi à soi.

Mais je suis sûrement complètement à côté de la plaque. J'ai réagi aux propos de hi wen car ce que j'en ai distingué a trouvé un écho en moi. J'aurais dû lire le texte au préalable. Je le ferai prochainement pour vous donner mon point de vue.

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Message  hi wen Dim 15 Jan 2012 - 22:21

un fondement inventé après coup n'est plus un fondement mais une consolidation


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Message  Modération Dim 15 Jan 2012 - 22:22

Sekril, merci de ne pas répondre à chaque commentaire mais de grouper vos réponses afin de ne pas faire remonter indûment votre texte en haut de page et ce, aux dépens des autres textes. Vous pouvez discuter de votre texte sans restriction sur le fil suivant, dans le forum Conversations : http://www.vosecrits.com/t9766-discussions-autour-de-nos-textes-prose-poesie
Merci de votre compréhension et bienvenue ici.


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Message  Sekril Dim 15 Jan 2012 - 22:23

Pas si on a foi en ce que l'on sait être La Vérité. Mais pour cela il faut être une personne de conviction.

Sekril, merci de tenir compte du post ci-dessus.
La Modération.
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Message  pachyderme Dim 15 Jan 2012 - 22:48

tu devrais lire Lautréamont si c'est pas déjà fait. Il ya un problème de lieu dans ce texte selon moi, on sait pas où ça se passe, on est paumé entre les images et les idées. Le mieux c'est bien sûr les images. à bien des moments on s'approche de quelque chose de fort. c'est peut-être con comme conseil mais je pense que pour écrire mieux il te suffirait de décrire les images que tu as dans la tête. oui c'est con comme conseil
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Message  midnightrambler Dim 15 Jan 2012 - 23:10

Bonsoir,

... et "A deux mains, si vous le voulez bien !"

Amicalement,
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Message  Invité Lun 16 Jan 2012 - 14:00

Le désir de faire du sublime, qui me semble t'animer, ne suffit pas. Il faut faire le tri entre l'emphase et la beauté, ce qui ne va pas de soi...
Ton texte a de beaux élans, mais que c'est verbeux ! Sabre ! Coupe, élague ! Tel quel on dirait un arbre de noël trop chargé , ça clinque tellement de partout qu'on ne voit plus que du clinquant !
Et je ne pense pas qu'il soit possible d'employer le verbe " arborer" comme tu l'utilises.
On ne s'arbore pas de quelque chose. On arbore quelque chose, mais je ne crois pas que la forme réflexive existe.

Je sens bien que ce texte te tient à cœur. Mais si tu cherches des avis, je suppose que ce sont des avis sincères qui t'importent. Tous ne revêtiront pas pour toi la même importance : au fil du temps, on apprend à accorder plus d'importance aux commentaires de ceux dont l'écriture nous semble compatible avec la nôtre. Tu n'as pas encore eu le temps de faire cette sélection. Lis lu-k ; je pense que son monde te parlera. Et ensuite, tu pourras plus facilement tenir compte de ses commentaires.

Et bienvenue sur ce forum.

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Message  Jano Mer 25 Jan 2012 - 16:49

Je n'ai pas tout lu. L'écriture emphatique et nombriliste m'a vite fatigué. Par contre je reconnais une véritable qualité littéraire, une profondeur derrière les mots. J'aimerais vous lire dans un autre registre, plus simple, plus altruiste.
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