Ce n'est pas malin de mourir un premier avril...

Terrible (et très bien) la chute. Les "marronniers" ce sont bien ces papiers que les journalistes écrivent pour faire du remplissage quand il ne se passe rien? ("Article de circonstance publié traditionnellement à certaines dates" me précise à l'oreille le TLFi en ligne): le poisson d'avril = un papier qui ne sert à rien et qui remplit le vide? exercice de vide obligé alors que ce qui se passe est énaurme?

PS: très content de lire ta prose à nouveau après un petit moment; le registre humour dans le grave te va très bien

Quand la douleur s'exprime par l'humour, pour ne pas (trop) dévoiler l'hypersensibilité.
Trois points de suspension en-fin, pudiques, pour ce qui ne peut se dire.

Un petit bijou d'humour triste
Très émouvant

"Je n'ai jamais su rire. Je serai ce que j'ai rêvé ou je ne serai rien" (Antonin Artaud)

Muxu, Pouss'

Un petit passage pour dire que j'aime bien vous lire, en général.

Amitiés, Pouss.

oui

Tristement attendrie. J'aime toujours te lire Pouss.
Là, tu me fais penser à Brel : adieu l'ami, je vais mourir, c'est dur de mourir au printemps, tu sais...

ce que je vais dire n'est pas malin non plus
c'est pourtant du vrai de vrai, je l'ai entendu...

un premier Janvier
quelqu'un m'a dit
... au fait machin, il est mort ce matin, ben il commence mal l'année..

amitié

merdum, en plus c'est du vécu, si je puis dire
condo, Pousse
chouette ton texte pour la messe
simple et oecuménique

Une pensée émue, Pousse.

amitié pouss
et demain
dis-toi que tous ceux qui écrivent
ici ou ailleurs
sont avec toi

une pensée aussi, et même au pluriel
une mère, qui qu'elle soit, on n'en a qu'une et c'est la bonne

c'est tristement beau. Toutes mes pensées t'accompagnent. Comme le dit Janis, une mère, une seule, pour hier, aujourd’hui, demain, à jamais.

Bises Pouss

La double peine en quelque sorte. Avec un sens certain de la dérision.

La troisième aurait été pour moi de retourner à la messe ; mais les gens comme vous me donnent envie de réessayer.

Merci beaucoup. Ü

merci beaucoup , vraiment de vos messages bouées phares dans ses dernières nuits qui ne savent plus finir ...

bah , tu sais , ne pas avoir de foi c'est un peu se priver de la seule chose qu'a de bien la mort ( dirait un vieux comique qui depuis a pu le vérifier , ou pas ) ...

pour ma part , je souhaiterais donner mes organes pour tenter des derniers fous rires posthumes avec de jeunes étudiantes en blouses ... avec ce qui reste si on doit le récupérer une boite en carton, un feu de joie et dispersion sur la route en bas ( c'est un concept qui m'est cher : sur la route en bas , qu'importe où mais sur la route en bas ,
ce qui est dommage c'est qu'avec mon nom prénom similaires je me prive d'une épitaphe-attraction

on vit du mieux qu'on peut , avec une idée d'amour en self service en soi , une lumière pour s'éclairer , pour éclairer ... pour moi sont là les vraies jauges , les vrais bilans , l'idée de foi ,d'espoir le jour de la délivrance ...

puisque dès fois il s'agit bien de délivrance , pour ceux qui portent votre croix , pour la personne qui finit ainsi de la porter ...automatiquement sans croix il faut réapprendre à marcher après ..

si je peux me permettre , comme un dernier hommage et souvenir à partager :

http://www.vosecrits.com/t10565-petite-mort

http://www.vosecrits.com/t9925-elle-est

mille câlins ...

l'esprit Pousse. Du bonheur et de la réflexion. qui a dit que les deux étaient incompatibles ?