Seul parmi les femmes

Si tu pouvais le refaire avec le mode d' emploi, Narbah...
Une étincelle peut-être avec ce paragraphe et le suivant : "Jamais il n'a eut un tel succès. ", mais ça ne suffit pas à éclairer l'ensemble.

Rien compris ! peut-être ce texte a-t-il été écrit après une petite fumette ? :-)))

Heureusement qu'il y a les deux comm précédents, sinon je filais aux urgences me faire trépigner, trop panée, enfin... examiner la matière grise, parce que je ne comprends rien aux babils, rien aux exo, et rien non plus aux textes... Croyez que je suis atteinte d'une maladie mentale fulgurante ? Je m'inquiète...

Je dois dire que ne pas tout comprendre ne me gêne pas, quand c'est de la belle haute écriture de cette facture.
Après tout quand je lis faulkner, je commence par ne rien comprendre et ça permet d'être emportée par la houle des mots, il faut se laisser faire.
Comme la structure est solide, vraiment pour moi ça marche.
Je trouve que il et je sont un autre (un seul autre) dans ce texte

(scuze, je ne sais jamais être concrète dans mes commentaires)

et puis des mots comme chaufferie, terrain vague, fenêtre, qui dessinent le décor, le rythme, la sonorité, tout.
Enfin tu le sais très bien et c'est pourquoi tu trépignais !

ça va comme ça ?

Janis a écrit:(…)Enfin tu le sais très bien et c'est pourquoi tu trépignais !

ça va comme ça ?

Non, ça ne va pas du tout. Ce n'est pas un exercice d'admiration plus ou moins justifié que j'attends avec impatience, mais des arguments pour ou contre solides.

Bonsoir,

C'est un feu d'artifice désarticulé.
Cinq fusées qui s'élancent dans toutes les directions.
Réclamer à cor et à cri des commentaires sur ce genre de production c'est tout de même se moquer un peu de la tête des copains/copines !
Mais c'est vrai aussi que sniffer les vapeurs de vernis à longueur de journée ne doit rien arranger ! A chacun son trip, n'est-ce pas !

Amicalement,
midnightrambler

Qui est "il"?
Qui est "je"?
On n'y voit goutte, et moi, pour lire un texte en prose , il me faut un minimum de clarté. Je demande pas grand-chose, hein..
Par contre , rédhibitoire pour moi : "les femmes"...
Dommage, je reviendrai au prochain texte.

ah ça, c'est vrai, je voulais y venir à travers d'autres trucs lus je ne sais où par ici
Les femmes ? connais pas !
comme si on voulait écrire sur les paysages, les voyages, les hommes
et on sait pas pourquoi tout de suite ça fait pas comme les femmes
(pire : La femme)

Bon, je crois me souvenir que j'avais mis une nuance de provocation dans ce titre. mais je suis ravi de voir que c'est carrément provocateur. Je n'en attendais pas tant !

A l'affût de celles
Qui sont
Seules parmi les hommes
Saule parmi les charmes
A la chasse aux femmes
Je suis allé
Je n'en suis pas encore revenu
Je suis resté coincé à l'apéro


Narbah, ici pour les réponses aux commentaires : http://www.vosecrits.com/t10500-discussions-autour-de-nos-textes
Merci.
La Modération

Bon, je crois me souvenir que j'avais mis une nuance de provocation dans ce titre. mais je suis ravi de voir que c'est carrément provocateur. Je n'en attendais pas tant !

Même pas!
La provocation, en charentaises dans le salon, je pouffe.
C'est donc juste raté.


Polixène, les commentateurs sont tout à fait habilités à répondre sur le fil du texte ; en revanche, il est demandé aux auteurs de ne pas abuser de la pratique et de répondre sur le fil Discussions.
Ce post est donc déplacé à la suite des autres commentaires.
La Modération

Ça ressemble pas mal au cheminement d'un rêve, tout ça.

Ben, j'ai pas mal-aimé.

Salut Lucy


Oui,


On se sent seul
On y réfléchit
On trouve la solution au bar
On sombre dans des rêves
On se réveille

j'ai bien aimé aussi. drôle de format.

Suis revenue du bar, une Canadian et des wings "sweet ch'ais pô quoi" sous le bras. Quand je lirai "sweet" désormais, j'esquiverai.

Reste que les bulles de la blonde apaisent le feu, alors ça l'fait quand même. Quant à y réfléchir ? Faut croire que je suis de la bande des miroirs sans tain. On dirait que ça s'évapore dans la fraîcheur de la nuit.

Dors bien, Mister Panda !

Ça me remet en mémoire cette chanson que je pourrais écouter non-stop des heures durant : I'll live till I diede mon p'tit Cedric Watson et Bijou Creole

"If the whisky don't kill me
I'll live 'til I die"

Ce texte décousu, déjanté, où je et il s'entremêlent, me fait penser à la relation de rêves, pas de rêves éveillés, souhaités, mais de rêves endormis, imposés au dormeur.
Dans ce cas, personne n'est en mesure de décrypter...